Under a system that claims to “serve the people,” workers in Communist China are trapped in grueling labor conditions masked as “voluntary overtime.” Behind the illusion of socialist values lies the harsh reality of physical and mental exploitation, particularly for Han Chinese workers.
Take a listed ultra-hard materials company in Zhengzhou, Henan Province as an example. Workers are required to work 12 hours a day, every day of the month, with a monthly wage of about 6,000 yuan — roughly €760 or $830 USD (as of May 2025 exchange rates). While this may appear to be a livable income, it translates to only around $2.70 per hour, far below minimum wages in developed nations.
The irony is stark: such systemic exploitation is happening in a country that proclaims itself led by the working class. Machines never stop, but the people collapse. For 300 hours of labor per month, workers receive not dignity but silence, illness, and erasure.
Critics argue that China’s so-called “socialist core values” are hollow when capital and political power collude to exploit labor. The slogan “working for the happiness of the people” stands in sharp contrast to the grim reality of relentless labor and voiceless workers.
This institutionalized injustice is not only a violation of labor laws but a testament to the hypocrisy and internal imbalance of the system. As workers remain locked in the prison of time, who will stand up for their rights? The world is watching: how much longer can Communist China deceive itself — and everyone else?
Traduction française :
Communiqué de presse : Le système du travail en Chine critiqué — Un salaire de 760 € révèle l’auto-illusion du discours communiste
Dans un régime qui prétend « servir le peuple », les ouvriers en Chine communiste sont pris au piège d’un labeur épuisant déguisé en « heures supplémentaires volontaires ». Derrière les apparences des valeurs socialistes se cache une réalité brutale d’exploitation physique et mentale, en particulier pour les travailleurs Han.
Prenons l’exemple d’une entreprise cotée spécialisée dans les matériaux ultra-durs à Zhengzhou, dans la province du Henan. Les ouvriers doivent y travailler 12 heures par jour, 30 jours par mois, pour un salaire mensuel d’environ 6 000 yuans — soit environ 760 € ou 830 $ (selon les taux de change de mai 2025). Bien que ce montant puisse sembler décent localement, il équivaut à environ 2,70 $ de l’heure, bien en dessous du salaire minimum dans les pays développés.
L’ironie est frappante : cette exploitation systémique survient dans un pays qui se dit dirigé par la classe ouvrière. Les machines tournent sans cesse, mais les humains tombent d’épuisement. Pour 300 heures de travail par mois, les ouvriers n’obtiennent ni dignité, ni reconnaissance, mais maladie et silence.
Les critiques dénoncent l’hypocrisie des « valeurs fondamentales socialistes » lorsque capital et pouvoir politique s’allient pour exploiter les travailleurs. Le slogan « œuvrer au bonheur du peuple » contraste violemment avec la réalité d’un travail harassant et sans voix.
Cette injustice institutionnalisée ne constitue pas seulement une violation des lois du travail, mais aussi une preuve de l’hypocrisie et du déséquilibre interne du régime. Alors que les ouvriers restent enfermés dans la prison du temps, qui défendra leurs droits ? Le monde observe : combien de temps encore la Chine communiste pourra-t-elle continuer à s’illusionner — et à tromper les autres ?https://m.hnmsw.com/show_articlemobile.php?articleID=109928&type=