/dempart/ - Blabla général

>>118649

go >>118603

Pour moi il est évident qu'il y a beaucoup trop d’énergie dépensée en dissimulation et répression, pour que ce soit la vérité.

L'avantage avec la vérité c'est qu'elle se démontre très bien d 'elle même, il suffit de fournir les faits, le dogme lui, nécessite de croire, pas de comprendre, ce qui ne convient qu'aux intellects limités.

Leur nez est très sensible. Ils ont l'odorat bien développé. Le gaz est nauséabond.

Mais ils commencent à abandonner la Shoah par gaz pour la Shoah par balles. Récemment, Badinter et BHL en ont parlé, dans deux émissions différentes.

De toutes manières, ils trouveront toujours un prétexte pour pleurnicher, mendier, censurer et brimer les autres.

>>118649

>Au fond peu importe la vérité dans cette histoire, tout est question de stratégie.

Pour imposer leur loi à leur peuple ils ont inventé leur dieu. Les juifs sont tout autant victimes de leur gvt que nous et reçoivent le gaz incapacitant suivant : "Regardez comme ils vous haïssent et vous persécutent depuis 2000 ans ces sales goyim !" Gazage général constant, permanent, qui constitue l'essentiel du narratif que leur gvt produit à usage interne.

Leur gvt ? Ce sont les intellectuels juifs qui l' ont reconstruit suite à 70 et l'émergence du christianisme, secte juive qui, arrivée au pouvoir dans l'Empire romain (330), les menaçait d'extermination (la vraie…)

Comme toute les sectes juives, le christianisme ne voulait voir qu'une seule tête.

Seulement, la dimension ethnique du judaïsme n'a pas été perçue par les chrétiens gréco-romains. Le concept de "race" n'existait pas. Ce sont les juifs qui l'ont inventé : l'usage interne qu'ils en ont fait (peuple séparé, etc) devait fatalement avoir de l'écho un jour où l'autre.

Pour valider le fait que leur dieu soit le créateur de l'univers (donc de tous les hommes, le Dieu universel) cette narration devenait un problème, il était obligatoire d'établir une hiérarchie pour l’accommoder : ceci était conforme à la mentalité de l'époque où les sociétés étaient très hiérarchisées. Ils devenaient le "peuple prêtre" qui devaient guider l'humanité et leur inculquer la Loi de Moise mais ADAPTEE puisqu'ils ne faisaient pas partie du peuple élu : beaucoup de Gréco-romains de Palestine-Syrie, étaient attirés par le mode de vie juif, beaucoup allaient à la synagogue: ils étaient appelés les Craignant Dieu.

C'est le NOACHISME qui sera lentement théorisé par les intellectuels juifs : le dernier en date, c'est Lévinas.

Seulement le grain de sable dans cette belle mécanique, c'est le christianisme. Tant que celui-ci vivotait tout allait bien : les juifs se moquaient de lui, faisaient de la provoc, attiraient les chrétiens dans les synagogues ( les sermons de Jean Chrysostome 4e s. Antioche, etc). Mais une fois au pouvoir, c'est devenu une catastrophe. Les chrétiens ont décidé la SHOAH (la vraie).

Pour les intellectuels juifs, c'était la disparition du peuple juif. Un juif converti était un juif de moins. Un juif mort.

Le véritable ennemi du judaisme, ce n'est pas Hitler, où l'islam (il a sauvé le judaisme…)

C'est le christianisme. Vatican II est la résultante de l'accusation juive qui a inventé le narratif qu' Hitler était la suite logique de la catastrophe de l'arrivée au pouvoir de la secte juive rivale.

Les chrétiens se sont couchés.

En parlant de chambre à air, Vincent Reynouard avait débunké magistralement il y a quelques années cette photo d'illustration issue de la propagande soviétique prise sur le toit d'une blanchisserie à Maïdanek il me semble.

Elle ne s'est pas cristallisée autour de ça : il y a juste une poignée de suicidaires et leurs suiveurs débiles qui brassent de l'air. C'est un tabou du système, c'est interdit d'en parler, mais en la masse n'en a plus rien à foutre de ce truc.

Le principe d'un mythe, c'est moins sa véracité que l'importance qu'on lui accorde. Aujourd'hui, à part les juifs et les révisionnistes, plus personne n'en a rien à branler. Inutile donc de s'attarder sur cette question-là pour redpiller les gens.

Rendre la populace raciste, consciente des enjeux ethniques et raciaux, est infiniment plus urgent (et plus efficace) que les débats sans fin sur les 6 millions.