Au primaire, un jeune marron jouait au timide devant les maitresses pour devenir en douce un véritable persécuteur auprès des faibles et des filles (notez la perversion de type sémitique des marronoïdes).
Avec un camarde un jour on a voulu tester "in vivo" nos compétences en karaté (du haut de notre ceinture orange) : on l'a mis dans une poubelle qu'on a fait rouler sur la légère pente qui constituait la moitié de la cour de récréation en lui expliquant que la place naturelle des marrons malodorants était la poubelle (logique, non ?).
"Au XXIème siècle, le racisme n'est plus admissible" : voilà la punition que nous avons eu à copier en 50 exemplaires. Magnanime, maman ne m'a pas puni.
Traumatisé, le marron n'a plus jamais remis les pieds dans notre école (pourtant assez "diversement" peuplée).
Le bon vieux temps…
"Nous avons, il est vrai, nations corrompues,
Aux peuples anciens des beautés inconnues:
Des visages rongés par les chancres du cœur,
Et comme qui dirait des beautés de langueur;
Mais ces inventions de nos muses tardives
N'empêcheront jamais les races maladives
De rendre à la jeunesse un hommage profond,
- A la sainte jeunesse, à l'air simple, au doux front,
A l'œil limpide et clair ainsi qu'une eau courante,
Et qui va répandant sur tout, insouciante
Comme l'azur du ciel, les oiseaux et les fleurs,
Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs!"