>>12604
(Pour les nombres, je parle bien évidemment des juifs comparés au nombre total d'habitants.)
>>12566
>According to historian Richard Pipes, during this turbulent times of infighting, “Mussolini would have been glad as late as 1920–21 to take under his wing the Italian Communists, for which he had great affinities.”
Et ?
Les nationaux-socialistes aussi essayaient de faire entendre raison aux communistes allemands, et ils ont rejoint en masse le parti une fois qu'Hitler a pu leur montrer ses mesures.
Un correspondant de la revue Esprit s'en lamentaient dans la seconde moitié des années 1930 (je n'ai plus la source sous la main, mais l'article était cité par Vincent Reynouard), triste de voir que ses anciens camarades portaient leur casquette des années antifascistes avec le brassard du NSDAP.
« Camarades ! Regardez-moi en face, camarades ! Vous vous demandez si je suis le même agitateur socialiste, le fondateur du Parti communiste, l’ami de Lénine que j’ai été pendant un temps. Eh bien oui messieurs, je suis toujours le même ! Je n’ai pas renié les idéaux pour lesquels j’ai lutté et pour lesquels je lutterai toujours. J’étais aux côtés de Lénine lors des journées radieuses de la révolution, je croyais que le bolchévisme était à l’avant-garde du triomphe ouvrier, mais par la suite je me suis rendu compte de mon illusion. »
Nicola Bombacci
Voilà pourquoi il n'y a rien de mal à ramener les gens de bonne volonté à nous.
Leur montrer que leur gauchisme n'est pas une véritable solution aux problèmes qu'ils soulignent avec justesse (les ravages du capitalisme sur la nation) et les ramener à nous, c'est une attitude saine. On ne base pas sa politique sur l'exécution de l'intégralité de ses opposants, on en convertit le plus possible en leur montrant qu'ils avaient tort. Ceux qui refusent de voir la réalité, s'ils ne sont pas violents et s'ils ne font pas de propagande pour leurs bêtises, on peut les laisser relativement tranquilles.