Le Figaro, 10 juillet 2019, extraits :
- En 2017, sur 100 naissances, 81,2 % étaient de « mère native » et 18,8 % de « mère immigrée »
- Le taux de fécondité est de 1,8 enfant par femme pour les Françaises et de 2,6 pour les immigrées
- « 3,5 enfants par femme pour les immigrés originaires du Maghreb »
Dans "mères natives" ou "Françaises", l'INED inclue évidemment les crouillettes de 2e, 3e, 4e génération, qui n'ont de français que les papiers.
« Laissons de côté les aspects idéologiques »
Je dirais même qu'il s'agirait d'abolir les maths.
Synthèse :
- Les pondeuses immigrées dépassent de loin les deux enfants par femme ;
- Environ 400.000 migrants débarquent annuellement ;
- La population locale, même augmentée de métèques "natifs", n'atteint pas le seuil de renouvellement ;
MAIS IL N'Y A PAS DE GRAND REMPLACEMENT.
Les maths et la logique sont des fantasmes d'extrême droite.