C'est plutôt une attaque féministe que raciale, en l'occurence. Nos guerriers de la justice sociale reprochent à Zeiss d'avoir fait poser une cosplayeuse qui tient l'objectif, plutôt que de l'utiliser, comme une femme indépendante et libérée. C'est vrai qu'une cosplayeuse qui joue la sirène de son propre gré et qui se prête au jeu, c'est si machisto-patriarcal. On est en 2019, merde.
Mais bien sûr, on pourra s'attendre à l'avenir et après le film de (((Disney))), si des sirènes sont blanches, aux protestations du genre "we wuz mermaidz".