>>60540
>https://docplayer.fr/40032107-Une-encyclique-singuliere.html
L'auteur est un authentique débile mental qui pratique le pilpoul pour refuser l'évidence.
Par sa connerie et son incohérence, il déshonore à la fois le Reich et sa secte du Vatican.
Il prétend :
<Pie XII était le rédacteur de la note du 30 avril 1937 sur l'interprétation authentique de Mit brennender Sorge, analysée plus haut, et il savait donc fort bien que le national-socialisme n'avait pas été condamné en tant que tel par Mit brennender Sorge, et encore moins déclaré d'origine satanique.
Alors que dans discours du 2 juin 1945, il explique justement tout : tant que le Reich était là avec ses armées, lui et son prédécesseur Pie XI (celui qui a dit que les chrétiens étaient "spirituellement sémites") avaient peur des représailles, cherchaient à défendre les intérêts matériels de leur secte et agissaient en conséquence – tel était le sens de la note du 30 avril 1937 : faire du damage control.
Ses arguties sans intérêt et de mauvaise foi entre jugement "théorique" et "pratique" ne changent rien à cette réalité.
<La réaction, pourtant, ne pouvait faire défaut de la part de ceux qui avaient été frappés ; et, de fait, l'année 1937 fut précisément, pour l'Eglise catholique en Allemagne, une année d'indicibles amertumes et de tempêtes terribles.
Mais ce mongolien essaie de se convaincre de la sincérité de cette note (privée, alors que l'encyclique, elle, était publique, exceptionnellement rédigée en Allemand et diffusée en secret pour ne pas être interceptée et toucher un maximum de "brebis"), parce qu'il refuse l'évidence, à savoir qu'il adopte une position contradictoire et incohérente.
En juin 1945 cette menace ayant disparu, il se lâche et explique sans ambiguité ce que lui et son prédécesseur pensaient vraiment depuis toujours.
Cf. ce qu'il a dit en <<60491 au sujet de l'objectif et de la portée de l'encyclique Mit Brennender Sorge :
<Une encyclique se rattache à la mission d'enseignement du pape. Elle est destinée à exposer à ses destinataires la position officielle de l'Église catholique sur un thème précis.
qui engage bien l'infaillabilité pontificale contrairement à ce que tu prétends – bien qu'on rentre là dans des arguties hypocrites de juristes.
C'est simple, évident, logique, cohérent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d%27Ockham
D'ailleurs, c'était déjà avoué à demi-mot dans Mit Brennender Sorge :
<Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat, que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, et quand, à votre universel contentement, Nous la terminâmes par un accord solennel, Nous étions guidé par le souci, que Notre devoir Nous impose, d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église et le salut des âmes qui lui sont confiées, mais encore par le désir sincère de rendre au peuple allemand un service essentiel pour son développement pacifique et sa prospérité.
<C’est pourquoi, en dépit de nombreuses et graves considérations, Nous Nous sommes alors décidé à ne pas lui refuser Notre consentement. Nous voulions épargner à Nos fidèles fils et filles d’Allemagne, dans la mesure des possibilités humaines, les angoisses et les souffrances que dans l’autre hypothèse les circonstances du temps faisaient prévoir avec pleine certitude. Nous voulions prouver à tous par des actes que, cherchant uniquement le Christ et les intérêts du Christ, Nous ne refusions pas de tendre la main pacifique et maternelle de l’Église à quiconque ne la repousse pas.
Il ne dit rien de différent en 1945 : <<60491
<Ce n'est pas que, de son côté, l'Eglise se laissât leurrer par d'excessives espérances ou que, en concluant le Concordat, elle entendît approuver de quelque manière que ce soit, la doctrine et les tendances du national-socialisme, comme déclaration et explication en furent alors expressément données. Toutefois il faut reconnaître que le Concordat, dans les années suivantes, procura quelque avantage ou du moins empêcha des maux plus grands. En effet, malgré toutes les violations dont il fut bientôt l'objet, il laissait aux catholiques une base juridique de défense, un camp où se retrancher pour continuer à affronter, tant qu'il leur serait possible, le flot toujours croissant de la persécution religieuse.