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/dempart/ - Blabla général

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7688eb  No.60486

Comme le savent les habitués du lieu, il existe une contreverse entre les catholiques "sédévacantistes" et les rationalistes/païens au sujet de la compatibilité et du rapport historique entre leur secte et le régime NS.

Pour résumer, ils minimisent les déclarations innombrables de Pie XI et de Pie XII à l'encontre du NS en jouant sur le fait qu'ils faisaient preuve de prudence de peur des représailles contre leur secte et leurs adeptes en Allemagne. Je pense notamment à l'encyclique Mit Brennender Sorge, dont le ton et plus encore les conditions exceptionnelles de diffusion sont pourtant éclairantes. Certains de ces sophistes vont jusqu'à prétendre que c'était le grand amour réciproque entre le Reich, Hitler et leur secte judaïque.

Je viens de découvrir un document permettant de mettre un terme définitif à leurs arguties, une allocation de Pie XII du 2 juin 1945 où celui-ci revient en toute franchise, en toute liberté (rien ne l'obligeait à s'exprimer à ce sujet, moins encore de la sorte), sur la position et la pensée profonde de sa secte durant ces années : http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/es/cct.htm

Le régime NS est carrément qualifié de satanique !

***

En Europe la guerre est finie : mais quels stigmates elle y a imprimés ! Le divin Maître avait dit : « Tous ceux qui mettront injustement la main à l'épée périront par l'épée » (cf. Matth. Mt 26,52). Or, que voyez-vous ?

Vous voyez ce que laissent derrière elles une conception et une action de l'Etat qui ne tiennent aucun compte des sentiments les plus sacrés de l'humanité, qui foulent aux pieds les principes inviolables de la foi chrétienne. Le monde entier contemple aujourd'hui, stupéfait, l'écroulement qui en est la conséquence.

Cet écroulement, Nous l'avions vu venir de loin, et bien peu, croyons-Nous, ont suivi avec une plus grande tension d'esprit l'évolution et le rythme précipité de cette chute inévitable. Plus de douze années, qui comptent parmi les meilleures de Notre âge mûr, Nous avons vécu, par devoir de la charge qui Nous était confiée, au milieu du peuple allemand. Durant cette période, avec la liberté que permettaient les conditions politiques et sociales d'alors, Nous Nous sommes employé à consolider la situation de l'Eglise catholique en Allemagne. Nous eûmes ainsi l'occasion de connaître les grandes qualités de ce peuple et Nous Nous trouvâmes en relations personnelles avec ses meilleurs représentants. C'est pourquoi Nous avons confiance qu'il pourra s'élever une fois encore à une nouvelle dignité et à une nouvelle vie, quand il aura repoussé de lui le spectre satanique (!) exhibé par le national-socialisme et quand les coupables (comme Nous avons déjà eu l'occasion de l'exposer d'autres fois) auront expié les crimes qu'ils ont commis.

'

Tant qu'il restait encore une lueur d'espoir que ce mouvement pût prendre une tournure différente et moins pernicieuse, soit par la résipiscence de ses membres plus modérés, soit par une opposition efficace de la partie non consentante du peuple allemand, l'Eglise a fait tout ce qui était en son pouvoir pour opposer une digue puissante à l'envahissement de ces doctrines aussi délétères que violentes.

a) Le Concordat avec l'Allemagne.

Au printemps de 1933, le gouvernement allemand pressa le Saint-Siège de conclure un concordat avec le Reich, idée qui rencontra aussi l'assentiment de l'épiscopat et de la plus grande partie tout au moins des catholiques allemands. En effet, ni les concordats déjà conclus avec quelques Etats particuliers de l'Allemagne (Lander) ni la Constitution de Weimar ne leur semblaient assurer et garantir suffisamment le respect de leurs convictions, de leur foi, de leurs droits et de leur liberté d'action. Dans de telles conditions, ces garanties ne pouvaient être obtenues qu'au moyen d'un accord, dans la forme solennelle d'un Concordat avec le gouvernement central du Reich. Il faut ajouter qu'après la proposition faite par celui-ci la responsabilité de toutes les conséquences douloureuses seraient retombées, en cas de refus, sur le Saint-Siège.

440e0d  No.60487

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Salut Thriel2.


d61b8b  No.60489

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D&C

sage & signalement


e3993f  No.60490

>>60486

Merci pour le lien


7688eb  No.60491

b) Persécution religieuse et violation du Concordat.

Ce n'est pas que, de son côté, l'Eglise se laissât leurrer par d'excessives espérances ou que, en concluant le Concordat, elle entendît approuver de quelque manière que ce soit, la doctrine et les tendances du national-socialisme, comme déclaration et explication en furent alors expressément données. Toutefois il faut reconnaître que le Concordat, dans les années suivantes, procura quelque avantage ou du moins empêcha des maux plus grands. En effet, malgré toutes les violations dont il fut bientôt l'objet, il laissait aux catholiques une base juridique de défense, un camp où se retrancher pour continuer à affronter, tant qu'il leur serait possible, le flot toujours croissant de la persécution religieuse.

En fait, la lutte contre l'Eglise allait toujours s'aggravant : c'était la destruction des organisations catholiques ; c'était la suppression progressive des écoles catholiques, publiques et privées, si florissantes ; c'était la séparation forcée de la jeunesse d'avec la famille et l'Eglise ; c'était l'oppression exercée sur la conscience des citoyens, particulièrement des employés de l'Etat ; c'était le dénigrement systématique, au moyen d'une propagande habilement et rigoureusement organisée, de l'Eglise, de son clergé, de ses fidèles, de ses institutions, de sa doctrine, de son histoire ; c'était la fermeture, la dissolution, la confiscation de maisons religieuses et d'autres institutions ecclésiastiques ; c'était l'anéantissement de la presse et de l'édition catholiques.

Pous résister à ces attaques, des millions de vaillants catholiques, hommes et femmes, se serraient autour de leurs évêques, dont la voix courageuse et sévère ne manqua jamais de se faire entendre jusqu'en ces dernières années de guerre ; autour de leurs prêtres, pour les aider à adapter sans cesse leur apostolat aux nécessités et aux circonstances nouvelles ; jusqu'à la fin, avec patience et fermeté, ils opposèrent au front de l'impiété et de l'orgueil le front de la foi, de la prière, de la conduite et de l'éducation franchement catholiques.

Pendant ce temps, le Saint-Siège, sans hésiter, multipliait auprès des gouvernants allemands ses instances et ses protestations, les rappelant avec énergie et précision au respect et à l'accomplissement des devoirs dérivant du droit naturel lui-même et confirmés par le Concordat. Dans ces années critiques, Notre grand prédécesseur Pie XI, joignant à la vigilance attentive du Pasteur la patiente longanimité du Père, remplit avec une force intrépide sa mission de Pontife suprême.

Lorsque néanmoins, après avoir vainement essayé toutes les voies de la persuasion, il se vit de toute évidence aux prises avec les violations délibérées d'un pacte officiel et d'une persécution religieuse, dissimulée ou manifeste, mais toujours durement menée, le dimanche de la Passion 1937, dans son encyclique Mit brennender Sorge 4, il dévoila au regard du monde ce que le national-socialisme était en réalité : l'apostasie orgueilleuse de Jésus-Christ, la négation de sa doctrine et de son oeuvre rédemptrice, le culte de la force, l'idolâtrie de la race et du sang, l'oppression de la liberté et de la dignité humaine.

Comme un coup de trompette qui donne l'alarme, le document pontifical, vigoureux — trop vigoureux, comme le pensait déjà plus d'un — fit sursauter les esprits et les coeurs.


7688eb  No.60492

Beaucoup — même hors des frontières de l'Allemagne — qui, jusqu'alors, avaient fermé les yeux sur l'incompatibilité de la conception nationale-socialiste et de la doctrine chrétienne, durent reconnaître et confesser leur erreur.

Beaucoup, mais pas tous ! D'autres, dans les rangs mêmes des fidèles, étaient par trop aveuglés par leurs préjugés ou séduits par l'espoir d'avantages politiques. L'évidence des faits signalés par Notre prédécesseur ne réussit pas à les convaincre, encore moins à les décider à changer de conduite. Est-ce une simple coïncidence ? Certaines régions, qui furent ensuite les plus durement frappées par le système national-socialiste, furent précisément celles où l'encyclique Mit brennender Sorge avait été le moins ou même n'avait été aucunement entendue.

Aurait-il été possible alors de freiner une fois pour toutes, par des mesures politiques opportunes et adaptées, le déchaînement de la violence brutale et de mettre le peuple allemand en état de se dégager des tentacules qui l'étreignaient ? Aurait-il été possible d'épargner de cette manière à l'Europe et au monde l'invasion de cette immense marée de sang ? Personne n'oserait se prononcer avec certitude. En tout cas, pourtant, personne ne pourrait reprocher à l'Eglise de n'avoir pas dénoncé et indiqué à temps le vrai caractère du mouvement national-socialiste et le danger auquel il exposait la civilisation chrétienne.

« Quiconque érige la race, ou le peuple, ou l'Etat, ou une de ses formes déterminées, les dépositaires du pouvoir ou d'autres éléments fondamentaux de la société humaine… en règle suprême de tout, même des valeurs religieuses, et les divinise par un culte id'olâtrique, celui-là pervertit et fausse l'ordre des choses créé et voulu par Dieu. »

Cette phrase de l'encyclique résume bien l'opposition radicale qui existe entre l'Etat national-socialiste et l'Eglise catholique. Au point où en étaient venues les choses, l'Eglise ne pouvait plus, sans manquer à sa mission, renoncer à prendre position devant le monde entier. Par cet acte, pourtant, elle devenait, une fois de plus, un « signe de contradiction » (Lc 11,34), devant lequel les esprits s'affrontèrent et prirent position en deux groupes opposés.

Les catholiques allemands, on peut le dire, furent d'accord pour reconnaître que l'encyclique Mit brennender Sorge avait apporté lumière, direction, consolation, réconfort à tous ceux qui prenaient au sérieux et pratiquaient de manière conséquente la religion du Christ.


440e0d  No.60493

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>>60491

>>60492

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7688eb  No.60494

d) Hostilité croissante contre l'Eglise.

La réaction, pourtant, ne pouvait faire défaut de la part de ceux qui avaient été frappés ; et, de fait, l'année 1937 fut précisément, pour l'Eglise catholique en Allemagne, une année d'indicibles amertumes et de tempêtes terribles.

Les grands événements politiques qui marquèrent les deux années suivantes et ensuite la guerre n'atténuèrent aucunement l'hostilité du national-socialisme contre l'Eglise, hostilité qui se manifesta jusqu'en ces derniers mois, quand ses adhérents se flattaient encore de pouvoir, la victoire militaire une fois remportée, en finir pour toujours avec l'Eglise. Des témoignages autorisés et incontestables Nous tenaient informé de ces desseins ; ceux-ci, du reste, se dévoilaient d'eux-mêmes par les mesures réitérées et toujours plus hostiles prises contre l'Eglise catholique en Autriche, en Alsace-Lorraine et surtout dans les régions de la Pologne qui, déjà pendant la guerre, avaient été incorporées à l'ancien Reich ; tout y fut frappé, anéanti ; tout, c'est-à-dire tout ce qui pouvait être atteint par la violence extérieure °.

e) Les messages du pape durant la guerre.

Continuant l'oeuvre de Notre prédécesseur, Nous n'avons pas cessé, Nous-même, durant la guerre, spécialement dans Nos messages, d'opposer les exigences et les règles indéfectibles de l'humanité et de la foi chrétienne aux applications dévastatrices et inexorables de la doctrine nationale-socialiste, qui en arrivaient à employer les méthodes scientifiques les plus raffinées pour torturer ou supprimer des personnes souvent innocentes. C'était là, pour Nous, le moyen le plus opportun et, pourrions-Nous dire, le seul efficace de proclamer devant le monde les principes immuables de la 'loi morale et d'affermir, parmi tant 'd'erreurs et de violences, les esprits et les coeurs des catholiques allemands dans l'idéal supérieur de la vérité et de la justice. Cette sollicitude ne resta pas sans effet. Nous savons, en effet, que Nos messages, surtout celui de Noël 1942, malgré toutes les défenses et tous les obstacles, furent pris comme sujets dans les conférences diocésaines du clergé en Allemagne et ensuite exposés et expliqués au peuple catholique.

Mais si les dirigeants de l'Allemagne avaient résolu de détruire aussi l'Eglise catholique dans l'ancien Reich, la Providence en avait disposé autrement. Les tribulations infligées à l'Eglise par le national-socialisme se sont terminées avec la fin soudaine et tragique du persécuteur !


7688eb  No.60495

f) Dans les camps de concentration.

Des prisons, des camps de concentration, des bagnes affluent maintenant, avec les détenus politiques, les phalanges de ceux, tant clercs que laïques, dont l'unique crime fut la fidélité au Christ et à la foi de leurs pères ou l'accomplissement courageux des devoirs sacerdotaux. Pour eux tous, Nous avons ardemment prié et Nous Nous sommes appliqué par tous les moyens, chaque fois que ce fut possible, à leur faire parvenir Nos paroles de réconfort et les bénédictions de Notre coeur paternel.

En effet, plus se lèvent les voiles qui cachaient jusqu'à maintenant la douloureuse passion de l'Eglise sous le régime national-socialiste, plus apparaissent la fermeté, souvent inébranlable jusqu'à la mort, d'innombrables catholiques et la part glorieuse que le clergé a eue dans ce noble combat. Bien que nous ne possédions pas encore de statistiques complètes, Nous ne pouvons pas pourtant Nous abstenir de mentionner ici, à titre d'exemple, quelques-unes au moins des nombreuses nouvelles qui Nous parviennent de prêtres et de laïques internés au camp de Dachau, qui furent dignes d'endurer des affronts pour le nom de Jésus (Ac 5,41).

En première place, pour le nombre et pour la dureté des traitements subis, se trouvent les prêtres polonais. Entre 1940 et 1945, 2800 ecclésiastiques et religieux de ce pays furent emprisonnés dans ce camp, parmi lesquels l'évêque auxiliaire de Plock, qui y mourut du typhus. En avril dernier, il en restait seulement 816 ; tous les autres étaient morts, à l'exception de deux ou trois transférés dans un autre camp. Durant l'été de 1942, on y signala rassemblés 480 ministres du culte de langue allemande dont 45 protestants et tous les autres prêtres catholiques. Malgré l'afflux continuel de nouveaux internés, spécialement de quelques diocèses de Bavière, de Rhénanie et de Westphalie, leur nombre, en raison de la forte mortalité, ne dépassait pas, au début de cette année, 350. Et on ne peut passer sous silence ceux qui appartenaient aux territoires occupés : Hollande, Belgique, France (parmi eux l'évêque de Clermont), Luxembourg, Slovénie, Italie. Beaucoup de ces prêtres et de ces laïques ont eu à supporter d'indicibles tourments à cause de leur foi et de leur vocation. En une occasion, la haine des impies contre l'Eglise en vint au point de parodier sur un prêtre interné avec des fils de fer barbelés la flagellation et le couronnement d'épines du Rédempteur.

Les victimes généreuses qui, durant douze ans, depuis 1933, en Allemagne, ont fait au Christ et à son Eglise le sacrifice de leurs biens, de leur liberté, de leur vie, élèvent vers Dieu leurs mains en une oblation expiatoire. Puisse le juste Juge l'agréer en réparation de tant de crimes commis contre l'humanité, non moins qu'au détriment du présent et de l'avenir de leur propre peuple, spécialement de l'infortunée jeunesse, et abaisser finalement le bras de son ange exterminateur.

Avec une insistance toujours croissante, le national-socialisme a prétendu dénoncer l'Eglise comme ennemie du peuple allemand. L'injustice manifeste de l'accusation aurait frappé au plus vif les sentiments des catholiques allemands et les Nôtres si elle était sortie d'autres lèvres ; mais sur celles de tels accusateurs, loin d'être une charge, elle est le témoignage le plus éclatant et le plus flatteur de l'opposition ferme et constante, soutenue par l'Eglise contre des doctrines et des méthodes si pernicieuses pour le bien de la vraie civilisation et du peuple allemand lui-même. A celui-ci Nous souhaitons que, délivré de l'erreur qui l'a précipité dans l'abîme, il puisse retrouver son salut aux sources pures de la vraie paix et du vrai bonheur, aux sources de la vérité, de l'humilité, de la charité, qui ont jailli avec l'Eglise du Coeur du Christ.


7688eb  No.60502

>>60489

>sage & signalement

Signalement pourquoi ? Parce que je cite tels quels les propos du Vicaire du Christ, l'infaillible pape traditionnel Pie XII qui permettent de faire pénétrer les Lumières de la Très Sainte Eglise Catholique ?

Tu devrais au contraire être reconnaissant de me voir propager la Très Sainte doctrine catholique.


958080  No.60540

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>>60489

>D&C

Ceci.

>>60502

>l'infaillible pape traditionnel Pie XII

Ces propos n'engagent pas l'infaillibilité du pape. Le domaine de l'infaillibilité papale n'est pas illimité, bien au contraire.

https://docplayer.fr/40032107-Une-encyclique-singuliere.html


7688eb  No.60575

>>60540

>https://docplayer.fr/40032107-Une-encyclique-singuliere.html

L'auteur est un authentique débile mental qui pratique le pilpoul pour refuser l'évidence.

Par sa connerie et son incohérence, il déshonore à la fois le Reich et sa secte du Vatican.

Il prétend :

<Pie XII était le rédacteur de la note du 30 avril 1937 sur l'interprétation authentique de Mit brennender Sorge, analysée plus haut, et il savait donc fort bien que le national-socialisme n'avait pas été condamné en tant que tel par Mit brennender Sorge, et encore moins déclaré d'origine satanique.

Alors que dans discours du 2 juin 1945, il explique justement tout : tant que le Reich était là avec ses armées, lui et son prédécesseur Pie XI (celui qui a dit que les chrétiens étaient "spirituellement sémites") avaient peur des représailles, cherchaient à défendre les intérêts matériels de leur secte et agissaient en conséquence – tel était le sens de la note du 30 avril 1937 : faire du damage control.

Ses arguties sans intérêt et de mauvaise foi entre jugement "théorique" et "pratique" ne changent rien à cette réalité.

<La réaction, pourtant, ne pouvait faire défaut de la part de ceux qui avaient été frappés ; et, de fait, l'année 1937 fut précisément, pour l'Eglise catholique en Allemagne, une année d'indicibles amertumes et de tempêtes terribles.

Mais ce mongolien essaie de se convaincre de la sincérité de cette note (privée, alors que l'encyclique, elle, était publique, exceptionnellement rédigée en Allemand et diffusée en secret pour ne pas être interceptée et toucher un maximum de "brebis"), parce qu'il refuse l'évidence, à savoir qu'il adopte une position contradictoire et incohérente.

En juin 1945 cette menace ayant disparu, il se lâche et explique sans ambiguité ce que lui et son prédécesseur pensaient vraiment depuis toujours.

Cf. ce qu'il a dit en <<60491 au sujet de l'objectif et de la portée de l'encyclique Mit Brennender Sorge :

<Une encyclique se rattache à la mission d'enseignement du pape. Elle est destinée à exposer à ses destinataires la position officielle de l'Église catholique sur un thème précis.

qui engage bien l'infaillabilité pontificale contrairement à ce que tu prétends – bien qu'on rentre là dans des arguties hypocrites de juristes.

C'est simple, évident, logique, cohérent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d%27Ockham

D'ailleurs, c'était déjà avoué à demi-mot dans Mit Brennender Sorge :

<Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat, que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, et quand, à votre universel contentement, Nous la terminâmes par un accord solennel, Nous étions guidé par le souci, que Notre devoir Nous impose, d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église et le salut des âmes qui lui sont confiées, mais encore par le désir sincère de rendre au peuple allemand un service essentiel pour son développement pacifique et sa prospérité.

<C’est pourquoi, en dépit de nombreuses et graves considérations, Nous Nous sommes alors décidé à ne pas lui refuser Notre consentement. Nous voulions épargner à Nos fidèles fils et filles d’Allemagne, dans la mesure des possibilités humaines, les angoisses et les souffrances que dans l’autre hypothèse les circonstances du temps faisaient prévoir avec pleine certitude. Nous voulions prouver à tous par des actes que, cherchant uniquement le Christ et les intérêts du Christ, Nous ne refusions pas de tendre la main pacifique et maternelle de l’Église à quiconque ne la repousse pas.

Il ne dit rien de différent en 1945 : <<60491

<Ce n'est pas que, de son côté, l'Eglise se laissât leurrer par d'excessives espérances ou que, en concluant le Concordat, elle entendît approuver de quelque manière que ce soit, la doctrine et les tendances du national-socialisme, comme déclaration et explication en furent alors expressément données. Toutefois il faut reconnaître que le Concordat, dans les années suivantes, procura quelque avantage ou du moins empêcha des maux plus grands. En effet, malgré toutes les violations dont il fut bientôt l'objet, il laissait aux catholiques une base juridique de défense, un camp où se retrancher pour continuer à affronter, tant qu'il leur serait possible, le flot toujours croissant de la persécution religieuse.


9dcfc6  No.60589

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Y a pas à dire, Shaoul a fait un excellent travail, mieux la secte du Vatican a dépassé ses espérences !


440e0d  No.60594

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>>60589

>C'est Shaoul les goyim, pas Saint Paul


8d13c0  No.60599

>>60594

>>C'est Shaoul les goyim, pas Saint Paul

Shaoul n'a jamais été appelé "Paul" de son vivant.

C'est comme si les nègres se mettaient à appeler Hitler M'bubi et que tu sortais : "c'est Hitler les nègres, pas M'bubi :'("


8d13c0  No.60601

>>60599

<Paul de Tarse ou saint Paul, portant aussi le nom juif de Saul qui se prononce « Shaoul » ([ʃaul]) (né probablement à Tarse en Cilicie au début du Ier siècle et mort vers 67 - 68 à Rome), est un apôtre de Jésus-Christ, tout en ne faisant pas partie des « Douze ». Il est citoyen romain de naissance et juif pharisien.


440e0d  No.60604

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>>60599

>Shaoul n'a jamais été appelé "Paul" de son vivant.

Sage.


8d13c0  No.60608

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>>60604

"Oh non, il énonce une vérité historique factuelle et incontestée concernant le vrai nom des youpins que je vénère comme un gros cuck débile, au secours, sage".


9dcfc6  No.60614

>>60604

>>60594

La dissonance cognitive dans toute sa splendeur, ce n'est pas de ma faute si tu vénères des juifs et que vous n'assumez pas derrière. Tu n'as qu'à apostasier au lieu de te voiler la face par l'emploi de leurs noms occidentalisés.

Y a pas d'inquisition pour vous cramer vif, donc plus aucune pression. La balle est dans votre camp…


958080  No.60661

>>60608

J'imagine que quand tu parles de Clovis, tu dis Hlodwig, quand tu parles de César, Iouliousse Kaessar Divousse, quand tu parles de , quand tu parles de Thucydide, Thoukudidesse, etc.


5a0318  No.60666

"En relisant Homère je commence à mesurer tout le mal que nous a fait le fatras juif. Si nous n'avions jamais connu ni les péchés de Sodome, ni les chimères de l'Egypte et de Babylone, Homère serait resté notre Bible. Quelle tout autre figure l'humanité n'aurait-elle pas gagnée là !"

Goethe, 1790


958080  No.60681

File: 39aa470f7e7baed⋯.jpg (164,82 KB, 954x864, 53:48, Marie.jpg)

>>60666

« Ô Mère de douleurs, abaisse miséricordieusement Tes yeux sur ma souffrance. Le glaive dans le cœur, et déchirée de mille peines, Tu élèves Ton regard vers le Ciel, quand ton Fils expire. Tu élèves Ton regard vers le Père, et Tu demandes avec gémissement qu’Il Vous assiste tous deux. Qui donc pourrait comprendre quel désespoir ronge mes os ? Tout ce que mon cœur éprouve de tortures, de craintes, d'espérances, Toi seule, Toi Seule peux le savoir. Partout où je vais, combien mal, combien mal, combien mal est mon cœur ! A peine seule, je pleure, je pleure ; mon âme se brise en moi. Ce matin, en les cueillant pour Toi, j'arrosais de mes larmes ces fleurs qui croissaient sur ma fenêtre. Les premiers rayons du jour, qui pénètrent dans mon réduit, me trouvent assise sur la couche confidente de ma douleur. Viens à mon secours, sauve-moi de la honte et de la mort ; ah ! Mère de douleurs, abaisse miséricordieusement Tes yeux sur ma souffrance ».

Ainsi soit-il.

Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832)

Faust


c812d1  No.60717

>>60661

>J'imagine que quand tu parles de Clovis, tu dis Hlodwig, quand tu parles de César, Iouliousse Kaessar Divousse, quand tu parles de , quand tu parles de Thucydide, Thoukudidesse, etc.

Ils sont de ma race, donc je n'en ressens pas le besoin.

J'en ressens davantage le besoin concernant les gens d'autres races, a fortiori si leur race est ennemie de la nôtre.

Par exemple ce mec-là : https://fr.wikipedia.org/wiki/Adolphe_Cr%C3%A9mieux

Pour moi, c'est Isaac-Jacob, pas "Adolphe".

Mais pour en revenir aux gens que tu as cité :pourquoi pas.

Ca ne me gêne pas d'appeler César par son vrai nom. Clovis par contre était un traître à notre race.

Par contre, vous piquez une crise si l'on appelle les youpins circoncis par leurs vrais noms Shaoul, Yashouah, Myriam… parce que vous n'aimez pas ce qu'ils étaient réellement, vous aimez l'image fausse et idéalisée qui a été donnée d'eux.

Vous avez honte d'eux, ce que votre gourou détestait pourtant : https://saintebible.com/luke/9-26.htm

<Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles, le Fils de l'homme aura honte de lui, quand il viendra dans sa gloire, et dans celle du Père et des saints anges.


440e0d  No.60719

File: 30a59522d555971⋯.gif (1,84 MB, 480x360, 4:3, 137572.gif)


c812d1  No.60729

File: ab392eaa844fb8a⋯.jpg (31,96 KB, 404x274, 202:137, siegfried.jpg)




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