Honnêtement je pense que la tactique qui a le plus de chance de marcher serait de définir un endroit quelconque en France, de préférence une ancienne ville industrielle désertée avec beaucoup de logements vacants à prix ridiculement bas et de s'y implanter en masse. Des villes de Lorraine sont passées de 3000 à 500 habitants (donc 90% de vieux), je vous laisse imaginer le prix de l'immeuble dans une telle ville.
Bâtir un mini ethno-état de manière cordiale, s'industrialiser, se militariser, se communautariser (tout ça légalement bien sûr), et une fois qu'on sera assez nombreux la machine va s'auto-alimenter.
En premier lieu, il faut bâtir avec une centaine de premiers colons les 3 structures qui forment la colonne vertébrale d'un projet de ce type :
1) une compagnie coloniale au sens authentique du terme qui se chargerait de la gestion de l'immobilier de la ville. Une SCI peut parfaitement faire l'affaire par exemple.
2) une association/entreprise qui se chargerait du recrutement. Association de boulistes du dimanche, qui recrute en fait des travailleurs blancs.
3) du travail, de préférence productif/industriel : on peut commencer par s'implanter en faisant du télétravail avec son ancien boulot, et ensuite partir sur des associations d’artisans/faire des PME industrielles de mécanique/électricité/informatique/..
Avec ça on attire/sélectionne les hommes, on leur attribue des logements et on les fait bosser.
Il faut proposer des ensemble travail-logement-communauté aux mecs (comme nous) d'extrême-droite qui n'en peuvent plus de vivres avec des métèques, et on fait la promesse simplissime suivante : une ville blanche, un travail pour des entreprises blanches, des services à une communauté blanche, de l'entraide entre blancs.
Tout le reste (politique de la ville, monnaie, défense communautaire, vie de la communauté etc.) découlerait naturellement des points précédents.
Sinon on peut toujours espérer une révolution "nationale", "mondiale" ou que sais-je. Pour moi la vérité est que 90% des blancs européens de l'ouest vont disparaître de manière plus ou moins lente ou plus ou moins rapide, et qu'il faut d'urgence se bâtir un foyer national blanc où notre existence est assurée.
Ma conviction est que l'heure n'est plus à la reconquête, réémigration ou autre, mais à sauver ce qui peut l'être et à se débarrasser en urgence de nos parasites (gauchistes, métèques, juifs).