La consanguinité n'est pas mauvaise. Elle l'est seulement aujourd'hui parce que la population n'est pas génétiquement pure.
Le seul problème avec la consanguinité est la présence de mauvais gènes dans les gens. Concrètement, beaucoup de maladies génétiques sont portées par des allèles récessifs, c'est à dire que la maladie n'a lieu que si l'allèle mauvais du gène est présent en deux exemplaires chez la personne. Lorsqu'il y a relation consanguine, les chances pour que les enfants aient deux allèles malades du gène -et que donc l'enfant ait la maladie- sont plus élevées. Voilà pourquoi la consanguinité est génétiquement mauvaise.
Mais si on appliquait une politique eugéniste jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucun gène malsain dans la population (soit en stérilisant massivement les individus porteurs de mauvais allèles, soit en avortant tous les enfants de ceux-ci portant un mauvais allèle). Dès que la population sera entièrement purifiée, il n'y aura, d'un point de vue biologique, plus aucun problème à la consanguinité.
En omettant les maladies génétiques, fondamentalement, plus un individu est le fruit de deux individus génétiquement proches, plus il sera fort et intelligent, car génétiquement cohérent.
A l'inverse, plus un individu est le fruit de deux êtres génétiquement éloignés, plus il sera faible et stupide, car plus la durée d'évolution séparée entre les deux parents est grande, plus les gènes se sont différentiés. Par exemple, on peut imaginer que dans le cas d'un métis noir/blanc, des récepteurs sont codés par tel gène, et les signaux que se transmettent sont codés par tel autre gène; si les gènes d'un parent codent les récepteurs et les gènes de l'autre parents codent les signaux, ça fera des récepteurs inadaptés aux signaux, ce qui aura pour conséquence une difficulté des signaux à traverser le corps, ce qui donnera un individu plus stupide, plus faible et moins réactif.
Ainsi, dans la hiérarchie génétique, nous avons l'homme de race pure, issu de deux parents de la même race, puis le métis (viable et peux se reproduite), puis le métis incapable de se reproduire (si on avait fait se reproduire une femme japonaise avec un homme aborigène, la descendance aurait peut-être été infertile), puis enfin l'individu non viable.
Ce n'est pas pour rien si les métis sont connus pour être physiquement mous et psychologiquement instables.
Il faut donc à tout prix lutter contre le métissage et promouvoir la pureté raciale et l'amélioration de la race par eugénisme.