292ea0 No.48126
072245 No.48127
Piero (((sans giorgo))) a le dernier livre de Guillaume Faye en pdf. Je suis sûr qu'il y a un moyen de le récupérer
d37382 No.48128
d37382 No.48129
e05076 No.48130
Sexe et caractère d'Otto Weininger.
Ce livre parle non seulement des femmes mais aussi des juifs.
L'auteur est lui-même juif et cité dans Mein Kampf comme le seul juif
"respectable" je crois.
4154eb No.48133
Mein Kampf est obligatoire à lire, et il est disponible gratuitement en pdf en français. Belle initiative de DP.
67c9dd No.48135
Je donne un conseil, sans donner de titre, je pense qu'il est primordiale de lire sur les «chocs de civilisations», L'Espagne musulmane, la guerre d'Algérie, pourquoi pas l'Afrique du sud, la rhodesie etc…
Personnellement un livre que j'ai adoré c'est «sous l'uniforme allemand» c'est l'histoire d'un engagé dans la LVF.
45bb25 No.48138
"Révolte contre le monde moderne" de Julius Evola.
Tous les pamphlets de Céline.
"La Révolution Française" de Pierre Gaxotte.
"Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens" de Jean Mabire.
"Histoire des Croisades" de René Grousset (la synthèse ou les trois tomes, au choix).
"Aristote au Mont Saint Michel" de Sylvain Gouguenheim.
"Histoire et tradition des Européens" de Dominique Venner.
"Ordre Nouveau" de François Duprat.
"Nuremberg I et II" de Maurice Bardèche.
"Les modérés" d'Abel Bonnard.
Les livres de Bernard Lugan, au choix.
"Technique du coup d'état" de Curzio Malaparte.
"Mahomet, contre enquête" de René Marchand.
"Les décombres" de Lucien Rebatet (Edition intégrale)
"Les espérances planétariennes" d'Hervé Ryssen.
Etc.
d37e3e No.48141
>>48130
Ce livre est-il en PDF quelque part ?
d37e3e No.48142
>>48135
Ces livres ne traitent pas de racisme.
67c9dd No.48143
Pourquoi Dp ne mettrait pas en disponibilité une bibliothèque PDF gratuite ?
Dans les livres gratuit il y a déjà de quoi faire, ne serait ce que les pamphlets de Celine
bce5cb No.48144
Sur le rôle des banques centrales: The History of Central Banking and the enslavement of mankind. Par Stephen Mitford Goodson.
Egalement:
Le juif international, Henry Ford.
bc267f No.48145
35ebfb No.48146
d0cdb0 No.48148
SERVIAM – La Pensée politique d’Adrien Arcand
Qui, en France, connaît Adrien Arcand ? Très peu de monde.
Né en 1899 à Montréal, Adrien Arcand est décédé en 1967. Il a été un brillant journaliste (notamment au Montreal Star et à La Presse), a fondé le Syndicat Catholique des Journalistes de Montréal, premier syndicat de journalistes au Québec, a lancé plusieurs hebdomadaires à succès, puis est devenu un homme politique canadien redouté.
En 1933, il fonde le Parti national social chrétien, ainsi qu’un journal ayant pour devise ” Le Canada aux Canadiens “. Le 30 mai 1940, alors qu’il est innocent de tout crime, Adrien Arcand est arrêté et interné jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale au camp concentrationnaire canadien de Fredericton, avec plusieurs cadres de son mouvement politique. Un internement de plusieurs années sans la moindre inculpation, sans procès, sans condamnation, uniquement parce que l’on prétendait qu’Adrien Arcand et ses amis présentaient ” un risque pour le Canada “. Durant sa captivité, Adrien Arcand contracta une affection rénale dont il ne se remit jamais complètement. Après la guerre, ni lui ni les autres membres de son partis emprisonnés injustement ne reçurent jamais la moindre ” réparation “.
En 1949, puis en 1953, Adrien Arcand se présente aux élections et reçoit même le soutien de l’Union Nationale de Maurice Duplessis, au pouvoir à Québec.
Fidèle serviteur de Dieu et de la Patrie, Adrien Arcand reçut autrefois le soutien d’un clergé lucide et courageux. Le Catéchisme national du mouvement d’Adrien Arcand avait reçu l’imprimatur du Cardinal Rodrigue Villeneuve, archevêque de Québec.
De France, Mgr Jouin, directeur de la Ligue Franc-Catholique et de la Revue internationale des sociétés secrètes, adressa ses encouragements à Adrien Arcand. Il dit notamment à son sujet que ” la dynamique et courageuse campagne du Canadien Adrien Arcand contre les forces du mal pourrait servir d’exemple à nos groupes similaires en France “.
SERVIAM – La Pensée politique d’Adrien Arcand, Anthologie élaborée par Paul Beaumont, préface de M. l’abbé Olivier Rioult, essai de Joseph Mérel, biographie par Rémi Tremblay, éditions Reconquista Press, 320 pages, 20 euros
—————————————-
Fascisme et Monarchie de Jospeh Merel.
-doctrine de fond
—————————————–
Combat pour Berlin, de Joseph Goebbels
072998 No.48152
OUI! Excellente initiative.
DP pour mille an!
=HEIL!=
e05076 No.48157
3e40b2 No.48160
d37382 No.48161
>>48156
il y a un article de DP sur Les Décombres je crois
ea9714 No.48163
>>48156
>- Les libres propos sont des notes publié par François Genoud selon les notes de Bormann, Heim et Picker
>- Bormann-Vermerke sont les notes complètes mais seulement de Bormann, disponible en pdf (en allemand)
>- Hitler cet inconnu publié par Henry Picker lui même selon ses propres notes et certaine de Heim/Bormann.
L'historien Mikael Nilsson, docteur et enseignant-chercheur à l'université d'Upssala, en Suède, a publié très récemment (en janvier 2019) le résultat de 3 ans de recherches sur les Libres Propos.
Ses conclusions sont sans appel :
« Si on en fait usage, il faut rester considérablement sceptique face aux Libres Propos, garder une distance critique vis-à-vis d'eux, et ne jamais les citer comme s'ils étaient les propres mots de Hitler. Ces sources sont, au mieux, des résumés de remarques, provenant principalement de la mémoire des secrétaires, et comme nous ne disposons d'aucune méthode pour décider lesquelles de ces déclarations sont basées sur des transcriptions directes et lesquelles ne le sont pas, nous devons toutes les considérer comme étant suspectes.
(...)
En tant qu'historien et scientifique, nous ne pouvons pas nous permettre de continuer à ignorer le profond contraste pouvant exister entre la transcription sténographique d'une conversation longue et une reconstruction post-factuelle de cette conversation, parfois effectuée longtemps après la conversation consignée. C’est une conclusion cruciale, qui se dégage des résultats de cet examen. Il est tout à fait compréhensible que les historiens continuent de citer ces sources [les "Libres Propos"], même si le doute a longtemps circulé sur leur authenticité et leur fiabilité ; en effet, c'est un matériau tellement riche et fantastique qu'il est facile d'être séduit par celui-ci et de le prendre pour un enregistrement verbatim, simplement parce qu'il y ressemble et donne cette impression. En ce sens, ces "Propos" sont trop beaux pour être vrais. Les historiens doivent être plus minutieux qu'avant lorsqu'il s'agit de citer ces sources.
(…)
Dans le présent essai, de nombreux exemples ont été donnés, selon lesquels le contenu des Propos de table ne reproduit pas de manière fiable les vues de Hitler. »
Hitler redivivus, dans le vol. 67, 1 de la revue Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte (1er janvier 2019)
https://www.degruyter.com/view/j/vfzg.2019.67.issue-1/vfzg-2019-0004/vfzg-2019-0004.xml
(l'article est payant mais accessible gratuitement via sci-hub)
(original :
Wenn man von ihnen Gebrauch macht, muss man den Tischreden mit erheblicher Skepsis und kritischem Urteil gegenübertreten, und man darf sie niemals als Hitlers eigene Worte zitieren. Bei diesen Quellen handelt es sich bestenfalls um Zusammenfassungen seiner Äußerungen, meist aus der Erinnerung, und da wir über keine Methode verfügen, mit deren Hilfe wir entscheiden könnten, welche dieser Äußerungen auf unmittelbaren Niederschriften beruhen und welche nicht, müssen wir sie sämtlich als gleichermaßen verdächtig betrachten. (p. 143)
(...)
Als Historiker und Wissenschaftler können wir es uns nicht leisten, weiterhin
den profunden Gegensatz zwischen der stenografischen Niederschrift einer stundenlangen
Unterhaltung und einer post facto-Rekonstruktion dieser Unterhaltung
zu ignorieren, die manchmal erst lange nach der aufgezeichneten Unterhaltung
stattfand. Dies ist eine entscheidende Schlussfolgerung, die sich aus den Ergebnissen
des vorliegenden Aufsatzes ergibt.
Es ist durchaus verständlich, dass Historiker weiterhin diese Quellen zitiert haben,
auch wenn seit langer Zeit Zweifel an ihrer Authentizität und Zuverlässigkeit
kursierten; es handelt sich einfach um ein derart reiches und phantastisches
Quellenmaterial, dass man sich sehr leicht davon verführen lässt und sie als Verbatim-
Aufzeichnungen nimmt, einfach weil sie so aussehen und diesen Eindruck
vermitteln. In diesem Sinne sind sie tatsächlich zu schön, um wahr zu sein. Die
Historiker müssen genauer sein als bisher, wenn es um das Zitieren dieser Quellen
geht. (p.144)
(…)
Im vorliegenden Aufsatz
wurden etliche Beispiele dafür angeführt, dass der Inhalt der Tischreden Hitlers
Ansichten nicht zuverlässig wiedergibt (p.144)
292ea0 No.48172
Tout ca c'est poubelle sans hésiter
304ff3 No.48173
"My Awakening" ("Mon éveil" à la question raciale) et "Jewish Supremacism" de David Duke. Ces livres n'ont pas été traduits en français, hélas.
891dd3 No.48174
>>48126
Rappel journalier que ce joyeux luron considérait hautement le peuple d'Israël.
ea9714 No.48175
>>48172
Dans ce cas, tu peux aussi jeter Aristote, Platon, Plotin et quelques autres.
292ea0 No.48177
>>48175
Nope, je fais la différence entre les philosophes grecs ( qui'étaient pas infaillibles) et les rois de la scolastique pompeuse
292ea0 No.48179
194ee5 No.48185
>>48121
Je ne suis pas trop formé politiquement, mais y'a bien une énorme bibliographie à recueillir sur le national-socialisme.
Je suis surtout porté sur l'histoire.
S'il y a des thèmes que je recommande voire que j'impose, sur l'histoire, ce sont les suivants :
-La Grèce classique
-La Rome Antique, mère de l'Occident et mère de l'Europe. Surtout la période républicaine et le Principat. Pour comprendre les fondements mécaniques de notre civilisation, et pas uniquement sa philosophie.
-L'histoire de France, bien évidemment
-L'histoire de la France et l'Europe depuis 1789.
-L'histoire du monde au XXème siècle.
Plus on avance dans le temps, plus il va falloir s'écarter de la doxa et de ce qu'on trouve facilement en France, pour se diriger vers des livres issus du monde anglo-saxon, surtout sur le National-Socialisme, et tout ce qu'il s'est passé dans l'Europe post-1918, ce qui est essentiel pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.
d37e3e No.48186
Il est demandé des livres sur la question raciale exclusivement avec le lien PDF associé.
Pour l'heure, pas encore de liens en rapport avec la demande.
f213b6 No.48187
ea9714 No.48188
>>48177
>la scolastique pompeuse
Que tu connais très bien, j'imagine.
Qu'en as-tu lu ?
D'ailleurs, la Somme Théologique est loin d'être dans le même style (questions-objections-réponses) que les commentaires d'Aristote qui sont des commentaires très classiques, éclairants selon tous les philosophes qui les ont lus.
60bacd No.48192
L'ordre ss : éthique et idéologie de Edwige Thibaut. Il est disponible en pdf. C'est une véritable mine d'or de la pensée du bon Waffen SS. L'ouvrage consiste en une compilation d'articles issus des cahiers de la ss. Il y a des articles sur la question raciale bien évidemment mais pas uniquement et je conseil fortement de le lire dans son intégralité.
157874 No.48203
"Imperium" de Francis Parker Yockey existe en PDF, il s'agit d'un très bon bouquin traitant de la création d'un empire européen.
Un livre de Sir Oswald Mosley pourrait être une idée aussi, peut-être sa biographie "My Life" ou un de ses nombreux livres politiques.
Un ouvrage de Léon Degrelle serait probablement indispensable, traitant de préférence la campagne de Russie ou bien de la ligne idéologique.
Les pamphlets de Céline sont bien évidemment indispensable ici.
"La gerbe de force" d'Alphonse de Chateaubriant, au sujet de l'Allemagne des années 30 pourrait être une idée intéressante aussi.
"Psychologie des foules" de Gustave Le Bon pour comprendre les ressorts de la propagande et du leadership. Je vois souvent Andrew Anglin mentionner le psychologue Carl Gustav Jung, à voir s'il peut nous être utile.
Un livre de Ernst Jünger ou d'Oswald Spengler pourrait fournir des photos intéressantes sur les idées du mouvement de la révolution conservative allemande.
Evola bien évidemment, reste à définir encore lequel… Peut-être un ouvrage au sujet du fascisme Italien.
"La garde de Fer" /"For my legionaries" de Codreanu, à voir quel version est la plus facile d'accès. On peut aussi ajouter une livre José Antonio Primo de Rivera pour rester dans la même veine.
Ne pas oublier des livres d'histoire, que ce soit au sujet de la Reconquista, la guerre l'Algérie ou l'Afrique du Sud. On pourrait faire appel à Kemp pour cela, et s'intéresser aussi à "Bâtir le foyer blanc".
"White identity" de Jared Taylor peut-être aussi.
"L'homme, cet inconnu" du bon docteur Alexis Carrel, prix Nobel de médecine et ami de la cause, semble être une idée à creuser.
"Les races humaines" de Claude Nancy.
Nietzsche, Heidegger, Platon et Aristote pour la philosophie. Peut-être Machiavel et Saint Thomas d'Aquin en complément.
Archéofuturisme de Guillaume Faye.
"La France Juive" de Drumont, la série "The Ruling Elite" de Singola pour question juive.
881c13 No.48210
La controverse de sion de Douglass reed le livre contre sémitique le plus rationnel pour justifier l'hostilité à la tribu.
292ea0 No.48213
>>48188
Excuse moi, mais j'ai des lecture plus intéressantes et prioritaires que les pavés inbuvables de théologie de Thomas d'Aquin, genre du Evola ou du Bardèche ou du Mabire…
9b6393 No.48220
615a66 No.48227
"Le petit livre blanc" de Ben Klaasen, un grand classique
Tous les pamphlets de Louis Ferdinand Céline
"Mein Kampf" evidemment, le best seller du patron
"Le Juif international" de Henry Ford
"Le déclin de la grande race" de Madison Grant 'je ne sais pas si il est dispo en PDF par contre…)
"Hunter" et "Les carnets de Turner" de William Luther Pierce
Tous les bouquins de Pierre Antoine Cousteau, de Lucien Rebatet
"Essai sur l'inégalité des races Humaines" arthur de Gobineau
Lisez ça,et vous serez un raciste 5 étoiles
73647f No.48234
Le mythe du XXe siècle d'Alfred Rosenberg doit faire partie des 10 premiers.
615a66 No.48238
>>48130
A quelle page Weiniger est il cité dans Mein Kampf? Je crois que tu te trompes…
59d642 No.48247
Bonjour,
Bien que déjà proposé, je conseille vivement "Hunter" d'Andrew MacDonald (aka du regretté William Pierce). Disons le tout de suite, c'est un roman et donc il se lit très facilement.
Il est très formateur puisque le héros est une sorte de militant à Génération Identitaire, c'est à dire résolument contre le métissage mais tout à fait judéocompatible. Or, dans son combat, qui s'oppose le plus à lui ? Tout le monde l'aura compris, le petit peuple qui a bcp souffert ! Il prend petit à petit conscience du vrai ennemi à combattre pour lutter contre le métissage, le suspens est très bon et tout cela se lit très facilement car encore une fois, c'est un roman !
Voici la quatrième de couverture :
<blockquote>Comment un homme d’honneur doit-il se conduire face au mal ? Doit-il l’ignorer, sous prétexte qu’il n’en est pas responsable ? Doit-il s’allier à lui, car c’est là qu’est l’argent facile ? Ou doit-il prendre les armes contre lui – quitte à lutter seul – et le combattre de toutes ses forces au mépris des risques personnels ? Oscar Yeager, ancien pilote de chasse au Viêt-Nam, reconverti en jeune cadre dynamique, avec un emploi confortable au ministère de la Défense, dans la banlieue virginienne de la capitale du pays, est confronté à ce choix. Il observe le mélange des races, l’homosexualité débridée, le pouvoir grandissant de la drogue, la négrification des villes, consécutive aux vagues d’immigrations non blanches. Il constate que, pour lui, il n’existe pas vraiment de choix : il est appelé à combattre le mal qui, dans les années 1990, afflige l’Amérique ; sa conscience ne lui permettant pas de l’accepter, il devra le combattre. Il déclare la guerre aux politiciens corrompus et irresponsables qui président à la destruction de sa race et de son pays. Il déclare la guerre aux maîtres de la magouille médiatique qui sont les principaux agents de cette destruction. Il déclare la guerre aux malades mentaux, adeptes de la diversité qui sont leurs collaborateurs zélés. Et quand Oscar Yeager est sur le sentier de la guerre, mieux vaut ne pas être en face de lui !</blockquote>
On peut le trouver ici https://www.akribeia.fr/nationalisme/1568-hunter.html
Bonne lecture !
ea9714 No.48269
>>48213
>pavés inbuvables de théologie de Thomas d'Aquin
Sauf que les bouquins que je conseille sont des bouquins de philosophie, pas de théologie.
a95f60 No.48288
ea9714 No.48289
>>48234
Goebbels qualifiait ce livre de "rot idéologique".
Hitler disait quant à lui dans un discours à Munich, en 1936, que "Le livre de Rosenberg n’est pas une publication officielle du Parti. Au surplus, je vous affirme que l’Église catholique possède une force vitale qui se prolongera au delà de notre vie à nous tous réunis ici."
Dans l'ouvrage "Dans la bibliothèque privée d'Hitler", on apprend plus de détails sur l'aversion qu'Hitler éprouvait pour les écrits de Rosenberg.
039617 No.48295
>>48271
Collabo bamboulesque.
690d6b No.48297
>>48153
Concernant Louis Ferdinand Céline, j'ajoute aux "pamphlets" (Bagatelles pour un massacre, L'école des cadavres et Les Beaux Draps ; qui ne sont en réalité pas des pamphlets mais une vérité vécu et décrite chirurgicalement) les trois derniers romans "conventionnels" :
- D'un Château l'autre
- Nord
- Rigodon
Qui ne sont pas véritablement "gratuits" (en livres de poche) mais trouvables sur torrent.
Et s'ils ne le sont pas ou plus, je les mettrai.
d37e3e No.48298
>>48289
>Hitler disait quant à lui dans un discours à Munich, en 1936, que "Le livre de Rosenberg n’est pas une publication officielle du Parti. Au surplus, je vous affirme que l’Église catholique possède une force vitale qui se prolongera au delà de notre vie à nous tous réunis ici."
C'est possible d'arrêter de nous gaver de catholicisme ?
ea9714 No.48303
>>48298
Je dis ça à titre informatif, pour que les gens sachent qu'au sein du NSDAP il existait plusieurs ailes, et que l'aile hitlérienne (qui est saine) n'est pas la même que la ligne Himmler/Rosenberg/Bormann
d37e3e No.48307
>>48303
Saine, ça veut dire quoi ? Le clergé nous empoisonnait déjà, le même clergé allemand qui est à la pointe de la dégénérescence. A un moment donné : stop.
ea9714 No.48308
>>48307
Libre à toi d'être anti-hitlérien.
Mais il ne faut pas se la jouer "Heil Hitler" si on ne connaît pas ce dont on parle.
d37e3e No.48313
>>48308
Que savez-vous de ce que je sais d'Adolf Hitler, si je suis hitlérien ou non ? Mais vous ne ferez certainement pas passer Hitler pour un catholique croyant et pratiquant.
4a249f No.48329
>>48138
Pas Julius ni Guenon
certainement pas l'un est un dadaïste foireux l'autre un franc mac gnostique qui a fini muzz
non merci!!!
4b89c1 No.48404
Il n'y a pas de pdf pour celui que je vais conseiller, mais "Le crépuscule de l'occident" d'Olivier Piacentini est très pertinent sur le sujet, d'un point de vue culturel et économique
4e0b9d No.48406
Carl Schmitt - Les trois types de pensée juridiques
La notion de politique
parlementarisme et démocratie
361cbe No.48410
2ba5ce No.48411
Je conseille "La colonisation de l'Europe : Discours vrai sur l'immigration et l'Islam" de Guillaume Faye. Livre pour lequel il a été condamné par la justice. C'est un livre qui m'a marqué et qui m'a vraiment ouvert les yeux quand je l'ai lu il y a une quinzaine d'années.
http://www.histoireebook.com/index.php?post/Faye-Guillaume-La-colonisation-de-l-Europe
d37e3e No.48415
>>48411
On peut retrouver "Pourquoi Nous Combattons" en PDF ?
def75c No.48464
9dbf21 No.48473
Bonsoir,
Je vais avoir un enfant bientôt et je profite de l'article pour utiliser vos ressources si vous le voulez bien. Quels auteurs pour très petits ou jeunes enfants pourraient d'après-vous s'orienter vers nos idéaux ?
D'avance merci à ceux qui répondront
78ddb1 No.48482
Si on parle strictement de racisme le fameux passage des "Inédits politiques" d'Abel Bonnard reste un grand classique. Effet assuré sur un normie.
78ddb1 No.48489
Tous ces topics tombent malheureusement dans le name dropping… Restez concret et pratique.
af7c74 No.48490
Les Carnets de Turner, de William Pierce. Ce livre traite d'une guerre raciale entre les blancs et les noirs(et juifs).
78ddb1 No.48512
>>48490
Les américains ont pondu des livres assez accessibles et efficaces. Un mélange de pragmatisme et de candeur, en dehors du chaudron politique, idéal pour un bleu.
Je l'ai jamais lu mais le "Vivre en tant que blanc" de Robert S. Griffin a bonne côte. J'ai souvent entendu des fafs raconter que c'est ce livre qui leur a donné une conscience raciale.
9180c9 No.48524
pour lire les pdf cité dans la planche vous conseillez quel liseuse pas cher (moins de 150 euros si possible)
les liseuses amazon sont aux format propriétaire et j'ai lu sur un article qu'amazon voyait nos bibliothèque et pouvait supprimer des bouquins , et lire sur les écran LED des ordi/smartphone fait mal aux yeux
d7754c No.48545
Reynouard Vincent - Plaidoyer pour le racisme - 2009.
Lien de téléchargement : Reynouard_Vincent_-_Plaidoyer_pour_le_racisme.zip & http://www.histoireebook.com/index.php?post/Reynouard-Vincent-Plaidoyer-pour-le-racisme
«Dans cette brochure, Vincent Reynouard fait le point sur le racisme dans le lllème Reich. Il démontre en outre que le racisme bien compris (à ne pas confondre avec le matérialisme biologique) n'est pas en désaccord avec la doctrine catholique.»
61067d No.48582
>>48127
Cela serait bien d'avoir un lien pour Guerre Civile Raciale en effet.
73647f No.48593
>>48289
>Goebbels qualifiait ce livre de "rot idéologique".
D'après (((Ralf George Reuth))) né en 1952
>Hitler disait quant à lui dans un discours à Munich, en 1936, que "Le livre de Rosenberg n’est pas une publication officielle du Parti. Au surplus, je vous affirme que l’Église catholique possède une force vitale qui se prolongera au delà de notre vie à nous tous réunis ici."
Je peux me tromper mais il me semble que la seule source qui l'affirme sont les table talks d'Hitler, rédigés par (((Hugh-Trevor Roper))).
>Dans l'ouvrage "Dans la bibliothèque privée d'Hitler", on apprend plus de détails sur l'aversion qu'Hitler éprouvait pour les écrits de Rosenberg.
D'après (((Timothy W. Ryback))).
Un ouvrage qui est autant calomnié par les juifs mérite qu'on s'y attarde. Je le dis et je le répète.
LE MYTHE DU XXE SIÈCLE DOIT FAIRE PARTIE DES 10 PREMIERS.
5f22fa No.48595
J'ajouterais également le site « Evola As He Is » :
https://evolaasheis.wordpress.com
3dd354 No.48602
En anglais par Dr.E.Michael Jones
>The Jewish Revolutionary Spirit
> Libido Dominandi: Sexual Revolution as Political Control
>Barren Metal: The Conflict between Labor and Usury
> The Slaughters of Cities: Urban Renewal as Ethnic Cleasing
> Degenerate Moderns
Et pleins d'autres.
Il y a une chaine youtube très active ou il dénonce les Juifs haut et fort régulièrement.
https://www.youtube.com/channel/UCqu-4AY-501xV5iCtt7dMKQ
:
fa67bc No.48610
White power de George Lincoln Rockwell
90e160 No.48611
90e160 No.48613
Sinon, pour les germanophones, les amateurs de cartes raciales européennes, de photos, profils, portraits typiques par race,
la célèbre série des RASSENKUNDE de Hans Günther, grand inspirateur de la Belle Epoque NS.
Sert beaucoup à s'y reconnaître dans les rues de nos jours…
5f22fa No.48622
Bonjour,
Julius Evola, le dernier grand auteur racialiste européen, a publié quatre ouvrages au sujet de la race.
Le premier est « Trois aspects du problème juif », dont une traduction en anglais, préfacée et postfacée, est accessible à http://the-eye.eu/public/Books/4chan_pol_Archives/PDFs/Philosophy/Julius%20Evola/Other/Three%20Aspects%20of%20the%20Jewish%20Problem.pdf.
Une critique de cet ouvrage est lisible en français à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/08/31/la-question-juive-dans-lantiquite-2/.
Le second est « Le mythe du sang », dont l’originel en italien est accessible à https://archive.org/details/ILMITODELSANGUE/.
Le livre peut se trouver traduit en français à https://editions-hommelibre.fr/achat/produit_details.php?id=56.
Le troisième est « Éléments pour une éducation raciale », qui a en partie été traduit en français à https://elementsdeducationraciale.blogspot.com/.
Le quatrième est « Synthèse de doctrine de la race », qui est accessible à https://archive.org/download/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201941%20-%20synthese_de_doctrine_de_la_race.pdf.
Une introduction de ces livres est lisible à https://evolaasheis.wordpress.com/, qui comporte de nombreuses publications au sujet de la race.
En ce qui concerne les autres ouvrages de Julius Evola, on peut en trouver certains à https://archive.org/details/EvolaFR et https://archive.org/search.php?query=Julius%20Evola&and[]=mediatype%3A%22texts%22.
Cordialement.
5f22fa No.48623
Post-scriptum :
L'ouvrage « Synthèse de doctrine de la race » est également accessible à http://www.histoireebook.com/index.php?post/Evola-Julius-Synthese-de-doctrine-de-la-race.
5f22fa No.48627
061f11 No.48628
Claude Nancy Vers un matérialisme biologique https://www.akribeia.fr/nature/1663-vers-un-materialisme-biologique.html
Alfred Rosenberg le mythe du XXeme siècle
Francis Parker Yockey Impérium
Savitri Devi Autobiographie d'une aryenne ( tous ses livres sont excellents, style limpide, femme d'exception)
Thibaut Edwige L'ordre SS
061f11 No.48629
Claude Nancy Vers un matérialisme biologique https://www.akribeia.fr/nature/1663-vers-un-materialisme-biologique.html
Alfred Rosenberg le mythe du XXeme siècle
https://m.youtube.com/watch?v=Ps2aKRz5r20
Francis Parker Yockey Impérium
Savitri Devi Autobiographie d'une aryenne ( tous ses livres sont excellents, style limpide, femme d'exception)
Thibaut Edwige L'ordre SS
Tout Nietzsche. Obligatoire. Sera aussi une porte pour vous vers l'antiquité classique.
1f2357 No.48639
Les plus importants sont
Essaie sur l’inégalité des races humaines de Arthur de Gobineau
La genèse du XIXème siècle de Houston Stewart Chamberlain
Ce sont les deux considérés comme les prémices du nazisme.
Et ensuite Le Mythe du XXème siècle d’Alfred Rosenberg(pendu à Nuremberg pour ce livre) et c’est un livre extrêmement important où il cite d’innombrables grands cerveaux européens, ce livre est à mes yeux le plus important et comme il était ultra best seller dans les années 30 et qu’il y à critiqué le vieux Vatican pourris il à été mit à l’index par celui ci.
1f2357 No.48640
>>48593
ESSAIE SUR L’INÉGALITÉ DES RACES HUMAINES DE ARTHUR DE GOBINEAU!
ET LA GENÈSE DU XIXÈME SIÈCLE DE HOUSTON STEWART CHAMBERLAIN DOIVENT AUSSI FAIRE PARTIS DES 10 premiers car ce sont eux les premiers vraies grands racialistes et les principaux inspirateurs de ce qui allait devenir le nazisme.
Alfred Rosenberg s’est énormément inspiré de Chamberlain tout comme Htiler qui est aller à son enterrement.
Ce sont de loin les plus importants.
87bdd9 No.48641
- "L'Afrique noire est mal partie", par René Dumont, publié en 1962, qui dénonce les vrais problèmes de l'Afrique, qui sont toujours les mêmes en 2019. Je l'ai lu quand j'avais 20 ans, et il m'a transformé, de gauchiste écolo-bobo, en droitiste raciste.
fe4f27 No.48642
fe4f27 No.48643
87bdd9 No.48644
- "Le sapeur camembert", par Christophe. Cette bande dessinée m'a appris qu'il faut être plus intelligent qu'un militaire qui fait un trou pour enterrer un problème, car il crée alors un autre problème.
fe4f27 No.48645
608c54 No.48646
>>48178
>>48644
Je pense aussi qu'il faudrait des livres pas trop compliqués à lire. Sinon, ça risque de dégouter pas mal de personnes (ouvriers, fermiers,…). Il faut rester simple!
608c54 No.48647
Le but principal étant de les réveiller, ils pourront faire d'autre recherches, par la suite, si ils le désirent!
608c54 No.48649
Le but de ce topic n'est pas de montrer qui a la plus grosse paire de couilles ou qui a lu le plus de livres! On est là dans un but de réinformation générale!
608c54 No.48651
>>48121
Chef, on pourrait créer des étapes, non? Genre une fois que tu a lu les livres de l'étape 1, tu passes à l'étape 2… Je dis ça, je dis rien…
608c54 No.48654
>>48651
>>48121
Ne m'en veut pas pour les "ent" et les "s" qui manquent!
ecf3dd No.48659
YouTube embed. Click thumbnail to play.
>>48639
>>48642
>>48593
>>48234
>Ctrl-f le mythe
>9 matches
based. Version française, très fidèle à l'original : http://www.freepdf.info/public/ebook/Rosenberg_Alfred_-_Le_mythe_du_XXe_siecle.zip
Le mythe est un prodigieux effort de réappropriation de l'histoire européenne par les européens. Vid related, la partie 1 de sa retranscription résumée par la sunwheel society.
5f3740 No.48661
>>48524
Je recherche aussi, peut-être une Bookeen
32add5 No.48663
purée, c'est pas ce qui manque, des livres sur les juifs ! en veut tu en voila
31a468 No.48678
"La Russie juive", indispensable pour comprendre le Kahal
c8472a No.48680
>>48659
Je suis en train de regarder
>la sonate au clair de lune
>le ton solennel du narrateur
>les fresques classiques soigneusement choisies pour illustrer le propos
Cette vidéo est juste splendide. Je connaissais le mythe, mais elle donne un tout nouveau prisme de lecture. Magnifique. Il nous faut une version française. Un démocrate à la belle voix grave et virile de porte volontaire ?
ecf3dd No.48694
31664d No.48704
>>48121
Avant de lire tout écrits politiques, commencez par lire nos anciens mythes et textes sacrés, en apprendre plus sur la culture en Europe, sur l'histoire
Je n'ai jamais lu un livre politique et je vais très bien
31664d No.48709
>>48490
Je l'ai lu et franchement ce n'est pas très fin, c'est répétitif et non-réaliste
31664d No.48713
Au passage pensez au fait que quand vous créez une bibliothèque, vous la créez aussi pour vos enfants.
Avoir de beaux livres qui parlent de l'Europe est important pour leur donner l'envie de s'y intéresser.
Un livre sans illustrations ou en PDF ne créera que rarement des émotions ou sentiments forts vis à vis de l'Europe.
C'est un investissement sur l'avenir
1b396e No.48716
>>48713
Exactement, c'est ce qu'a fait une personne en créant une bibliothèque en ligne qui reprend beaucoup de livre que vous connaissez.
31664d No.48720
>>48714
Lol oui, vers la fin c'est baclé en 3 secondes "ouais bon les chintok sont morts c'est bon"
31664d No.48724
Pour être raciste il faut déjà avoir une identité propre, donc il faut la connaître, cela vaut mieux que 300 livres qui traitent de la race, concept assez inaccessible pour un jeune je trouve, trop abstrait.
Acquérir de ma fierté est très important, car quand tu es fier de ce que tu es tu ne devient pas un déchet moderne, tu ne twerk pas, tu te défonce pas au shit, et tu as des valeurs en lien avec le passé. Tu as conscience de ce que tu vaux, d'où tu viens, de ce qui est à toi.
292ea0 No.48751
>>48749
Je te rasure je ne prend que le bouquins réédités chez KK
Les trucs qu'ils éditent, à par 2, 3 exceptions, ça mérite la poubelle
>En plus tu files tes coordonnées a son équipe
Même pas, comme c'était une livraison en point relais je fichais une fausse adresse. de toute façon,nul doute que la volaille peut avoir sur demande toutes les coordonnées des acheteur sur telle ou telle boutique en ligne hébergée en France, alors bon...
5f22fa No.48808
L'ouvrage d'Alfred Rosenberg mériterait effectivement d'être dans le « top 10 » des ouvrages racistes. Il est accessible traduit en français aux adresses suivantes :
https://archive.org/details/LeMytheDuXxeSiecle
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/05/12/Rosenberg-Alfred-Le-mythe-du-XXe-siecle
Il conviendrait néanmoins d'y faire correspondre en tant que contrepartie l'ouvrage de Julius Evola « Synthèse de doctrine de la race », accessible à http://www.histoireebook.com/index.php?post/Evola-Julius-Synthese-de-doctrine-de-la-race, car il y critique certaines considérations d'Alfred Rosenberg, particulièrement la conception de celui-ci de la race de l'âme et son exaltation, notamment en tant qu'espèce de totémisme du "clan" comme on le trouve chez les races non-blanches comme les amérindiens et les nègres. À ce sujet, voir https://la-dissidence.org/2014/04/07/julius-evola-des-theories-de-la-race-a-la-recherche-dune-anthropologie-aristocratique/.
« Le cadre de l’anthropologie aristocratique formulée par le penseur traditionaliste ayant ainsi été précisé, voyons à présent quelles furent les relations d’Evola avec les autres courants racistes ou simplement antisémites de son temps: les païens «mystiques», les biologistes et les catholiques. A l’égard des premiers, Evola formula dès la seconde moitié des années trente de sérieuses réserves dans plusieurs articles bien documentés publiés, non seulement dans des publications que nous avons déjà citées, comme Vita Nova et Bilychnis, mais aussi dans d’autres revues comme La Vita italiana ou Bibliografia fascista. Comme on le sait, le mouvement païen à nuance mystique se développa au sein du national-socialisme principalement autour d’Alfred Rosenberg, auteur du très fantaisiste Mythe du XXe siècle. Les critiques formulées par Evola au sujet des idées de ce groupe sont, pour l’essentiel, au nombre de trois et visent à démasquer le fond moderniste implicite qui caractérise ce néopaganisme. Parmi les aspects les plus contradictoires de ce courant, Evola dénonce en premier lieu le nationalisme jacobin, niveleur et totalitaire, préconisé par Rosenberg et son entourage, puis son immanentisme naturaliste, aussi nébuleux qu’ambigu, et enfin son rationalisme scientiste. Dans un certain sens, le racisme néopaïen du national-socialisme a constitué une sorte d’avatar du totémisme propre à l’Europe du XXème siècle, une sorte de redéfinition «moderne» de ce totémisme sous la forme d’un «matérialisme divinisé». Ici, le rôle central revient au mythe du sang, entité apparemment biologique mais qui exprime en fait une trouble réalité mystico-collectiviste — d’où précisément la référence évolienne au totémisme. Dans ce racisme, écrit Evola, «nous avons une émergence du substrat prépersonnel, indifférencié, d’une souche qui, en tant qu’âme de la race, acquiert une auréole mystique, s’arroge un droit souverain et ne reconnaît de valeur à l’esprit, à l’intellectualité et à la culture, que dans la mesure où ceux-ci peuvent être transformés en instruments au service d’une entité politique temporelle». » (https://la-dissidence.org/2014/04/07/julius-evola-des-theories-de-la-race-a-la-recherche-dune-anthropologie-aristocratique/)
5f22fa No.48810
Au sujet des critiques émises par Julius Evola à l'encontre du racisme national-socialiste en tant que simple racisme biologique, voire zoologique, il convient toutefois de citer la publication suivante qui en rectifie certaines erreurs, sans doute dues à une mauvaise connaissance par l'auteur des travaux des raciologues et racistes nationaux-socialistes :
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/12/02/apercu-sur-le-racisme-national-socialisme/
dac083 No.48817
Personne ne cite "the culture of critique" de Kevin macdonalds?
Décevant. Si il n'y a qu'un seul livre à lire pour un militant moderne cest celui la
Fame of a dead man deeds. Biographie sur William luther Pierce. Homme d'exception dont il faut s'inspirer.
Savitri devi est à lire aussi pour son integrisme idéologique et sa grande intelligence.
Archipel du goulag et Une journée dans la vie d'ivan denissovitch de Soljenitsine pour bien comprendre ce qu'était l'URSS juif et la gratuité de sa violence contre les meilleurs d'entre nous.
Obertone est aussi un excellent point d'entrée. La France orange mécanique, Big bother et utoya sont des chefs d'oeuvres.
Céline et ses pamphlets.
et tant d'autres…
157874 No.48906
>>48817
Kevin Macdonald a effet très bien analysé la question juive à l'aune de notre époque actuelle.
5f22fa No.49334
Bonjour,
Suite aux précédents messages postés, je recommande à l’équipe de « Démocratie Participative » les ouvrages suivants en tant que lectures fondamentales pour la formation intellectuelle de tout racialiste Blanc, ouvrages classés selon moi par ordre d’importance. Les cinq premiers me semblent être indispensables à toute liste d’ouvrages racialistes sérieuse.
1) Arthur de Gobineau, Essai sur l'inégalité des races humaines
http://classiques.uqac.ca/classiques/gobineau/essai_inegalite_races/essai_inegalite_races.html
Il s’agit de l’ouvrage fondateur de la pensée racialiste. Cet ouvrage est celui que Julius Evola avait en plus haute estime parmi l’ensemble des publications racialistes qu’il a lu, de par son caractère aristocratique. Sa lecture est indispensable.
2) Julius Evola, Synthèse de doctrine de la race
http://www.histoireebook.com/index.php?post/Evola-Julius-Synthese-de-doctrine-de-la-race
Cet ouvrage a posé les fondements d’une doctrine de la race. La race y est comprise comme une réalité tripartite composée d’un corps, d’une âme et d’un esprit. Contrairement à ce qui est souvent déclaré diffamatoirement ou par ignorance, l’auteur n’affirme à aucun moment qu’un juif, jaune, nègre ou sémite pourrait être juif, jaune, nègre ou sémite de corps et aryen d’âme et d’esprit, mais qu’il existe chez un individu de race pure normalement constitué une adéquation entre les races du corps, de l’âme et de l’esprit. Il explique également, d’après le principe de « Ce qui peut le plus peut le moins, mais ce qui peut le moins ne peut pas le plus », qu’il est possible qu’un Aryen de corps, de par certaines influences négatives émanant d’individus non-aryens, puisse ne pas être (entièrement) aryen d’âme et d’esprit ; mais, au contraire, qu’un juif, jaune, nègre ou sémite ne peut pas être aryen d’âme et d’esprit. La réalité des faits à laquelle nous assistons en est une preuve patente. Une introduction à la doctrine racialiste de Julius Evola est lisible à https://evolaasheis.wordpress.com.
Les chapitres du livre sont les suivants :
Présentation
Introduction
Premier chapitre : La race comme idée révolutionnaire
Deuxième chapitre : Les trois degrés de la doctrine de la race
Troisième chapitre : La race de l’âme et de l’esprit
Quatrième chapitre : La race aryenne et le problème spirituel
Cinquième chapitre : La race et le problème de la nouvelle « élite »
Index
3) Vladimir Avdeyev, Raciology
https://archive.org/details/Raciology
Il s’agit probablement de l’ouvrage racialiste qui traite le plus exhaustivement et le mieux ce qui relève de la race d’un point de vue biologique et zoologique.
4) Arthur Kemp, March of the Titans: The Complete History of the White Race
http://the-eye.eu/public/Books/4chan_pol_Archives/PDFs/Miscellaneous%20Unsorted/Propertarianism%20Library%20-%20The%20Great%20Books%20of%20the%20Aristocracy/March%20of%20the%20Titans%3B%20History%20of%20the%20White%20Race.pdf
L’édition dont j’ai posté le lien est une édition pirate qui n’a pas été approuvée par l’auteur.
Malgré tout ce qu’il y aurait à y redire, il s’agit du seul ouvrage traitant exhaustivement et intégralement de l’histoire de la race blanche.
La dernière édition peut être achetée à http://marchofthetitans.com/.
5) Julius Evola, Les hommes au milieu des ruines
https://archive.org/details/MenAmongTheRuins_20181028
https://archive.org/details/MenAmongTheRuins_201810
Il s’agit d’un essai politique contre-révolutionnaire et « méta-fasciste ». Je le considère comme étant le plus grand essai politique qui ait été écrit. La thématique de la race n’est pas centrale dans cet ouvrage mais abordée épisodiquement et subsidiairement.
6) Julius Evola, Révolte contre le monde moderne
https://archive.org/stream/EvolaFR/Evola-Revolte
https://archive.org/stream/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201934%20-%20R%C3%A9volte%20contre%20le%20monde%20moderne
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/01/15/Evola-Julius-Revolte-contre-le-monde-moderne
Il s’agit du principal ouvrage de Julius Evola.
7) Alfred Rosenberg, Le Mythe du vingtième siècle
https://archive.org/details/LeMytheDuXxeSiecle
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/05/12/Rosenberg-Alfred-Le-mythe-du-XXe-siecle
Il s’agit sans doute de l’ouvrage le plus important ayant été rédigé par un auteur national-socialiste. Il convient néanmoins de prendre connaissance des critiques émises par Julius Evola sur cet ouvrage, notamment grâce à des publications dont j’ai déjà indiqué la référence dans les précédents messages.
8) Francis Parker Yockey, Imperium.
https://archive.org/details/Imperium_182
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/03/09/Yockey-Francis-Parker-Imperium
Un ouvrage politique essentiel.
5f22fa No.49336
9) Fustel de Coulanges, La Cité antique
http://classiques.uqac.ca/classiques/fustel_de_coulanges/cite_antique/cite_antique.html
Une étude classique et très importante sur les peuples dits « indo-européens » de l’Antiquité, en particulier ceux Hellènes et Romains, qui permet de mieux comprendre l’État et la société de ces peuples.
10) Jean Haudry, Les Indo-Européens.
http://www.histoireebook.com/index.php?post/Haudry-Jean-Les-indo-europeens
Il s’agit d’un ouvrage essentiel sur les Indo-Européens. Le lien renvoie à une ancienne édition, la dernière édition peut être achetée à http://www.leseditionsdelaforet.com/nos-publications/histoire/7-les-indo-europeens.html.
11) Madison Grant, The Passing of The Great Race
https://archive.org/details/passingofgreatra00granuoft
Un ouvrage classique de raciologie.
12) Lothrop Stoddard, The Revolt Against Civilization: The Menace of the Under Man.
https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.22462
Ouvrage fondamental dont deux chapitres ont été traduits et annotés à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/04/11/le-leurre-de-la-primitivite et https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/04/30/la-nemesis-de-linferieur.
13) Hans Günther, The Racial Elements of European History
https://archive.org/details/TheRacialElementsOfEuropeanHistory_201902
Il s’agit de l’ouvrage de référence quant à la composition raciale de l’Europe.
14) David Astle, The Babylonian Woe
http://www.jrbooksonline.com/pdf_books/the_babylonian_woe.pdf
https://archive.org/download/TheBabylonianWoeByDavidAstle/Babylonian_Woe.pdf
The Babylonian Woe est une étude de l’origine de certaines pratiques bancaires d’origine sémitique et de leurs effets sur les évènements de l’histoire antique, écrite à la lumière des jours présents. Elle explique que durant les époques les plus reculées pour lesquelles des traces écrites ont été conservées, à l’époque de Babylone et même avant, une prétendue science monétaire existait indubitablement, n’étant alors, comme de nos jours, rien de plus qu’un instrument grâce auquel ses maîtres cyniques et dissimulés influençaient sciemment les destinées des individus, des nations et des empires pour les mener vers la gloire (matérielle et temporaire) ou le désastre final.
Cet ouvrage explique comment la finance d’origine babylonienne a étendu ses « tentacules » sur le reste du monde, et en particulier l’Europe, pour en venir à finalement asservir les peuples Blancs.
Une introduction, une préface, un résumé du livre, ainsi qu’une traduction annotée du chapitre « Sparte, les pélanors, la richesse et les femmes » est lisible à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/10/18/sparte-les-pelanors-la-richesse-et-les-femmes.
15) Charles Letourneau, La condition de la femme dans les diverses races et civilisations
http://www.histoireebook.com/index.php?post/Letourneau-Charles-La-condition-de-la-femme-dans-les-diverses-races-et-civilisations
Ouvrage intéressant notamment par la description qu’il fait de la condition de la femme dans les sociétés dites indo-européennes et foncièrement patriarcales.
16) Heinrich Himmler, Discours au Gruppenführer sur l’homosexualité.
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/12/31/discours-au-gruppenfuhrer-sur-lhomosexualite/
Édition préfacée et annotée du texte le plus important qui ait été écrit sur l’homosexualité d’un point de vue aryen.
5f22fa No.49338
17) Chinweizu, Anatomie du pouvoir féminin, une dissection féminine du matriarcat.
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/10/07/anatomie-du-pouvoir-feminin-une-dissection-masculine-du-matriarcati/
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/11/13/anatomie-du-pouvoir-feminin-une-dissection-masculine-du-matriarcat-ii/
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/12/10/postface-a-anatomie-du-pouvoir-feminin/
Il s’agit d’une traduction préfacée, postfacée et annotée de l’ouvrage d’un auteur noir sur le matriarcat et le pouvoir de la femme. Y sont exposées la nature foncièrement matriarcale des civilisations non blanches et la nature intrinsèquement patriarcale des civilisations aryennes.
18) Anthony Ludovici, The False Assumptions of "Democracy".
https://scribd.com/document/105785996/Ludovici-The-False-Assumptions-of-Democracy
Ouvrage important de critique de la démocratie et de ses pseudo-« valeurs » et pseudo-« principes » fallacieux.
L’œuvre d’Anthony Ludovici est accessible à http://www.anthonymludovici.com/.
19) Anthony Ludovici, The Specious Origins of Liberalism The Genesis of a Delusion.
http://www.anthonymludovici.com/so_pre.htm
Ouvrage important de critique du libéralisme et de ses pseudo-« valeurs » et pseudo-« principes » fallacieux.
20) Anthony Ludovici, Lysistrata: or, Woman's Future and Future Woman.
https://archive.org/details/lysistrataorwoma00ludouoft
Essai visionnaire sur l’avènement du matriarcat et le rôle décisif joué par le progrès des sciences appliquées et de la technologie par rapport à celui-ci.
21) Revilo Oliver, The Jewish Strategy
https://archive.org/details/TheJewishStrategy
Une excellente étude exposant la stratégie juive visant à nous asservir.
22) Benjamin Isakhan, Stephen Stockwell, The Secret History of Democracy
http://the-eye.eu/public/concen.org/01052018_updates/Historical%20Controversies%20and%20Revisionism%20-%20Collection%2010/Isakhan%20%26%20Stockwell%20%28Eds.%29%20-%20The%20Secret%20History%20of%20Democracy%20%282011%29.pdf
Ouvrage important qui expose les origines non-blanches de la démocratie. Un de ses chapitres a été traduit à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/04/30/les-racines-pheniciennes-de-la-democratie-en-grece/.
23) Bal Gangadhar Tilak, The Arctic Home in the Vedas.
https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.56978
https://archive.org/details/TilakLokamanyaTheArcticHomeInTheVedas1903470P.
http://www.freepdf.info/index.php?post/Lokamanya-Tilak-The-Arctic-Home-in-the-Vedas
Il s’agit d’une étude fondamentale sur l’origine circumpolaire des premiers Indo-Européens, c’est-à-dire des Aryens.
24) Dom Hisoard, La propriété et la communauté des biens depuis l’antiquité jusqu’à nos jours
https://books.google.fr/books?id=VkgOAAAAYAAJ&printsec=frontcover
https://books.google.fr/books?id=iOw8AAAAcAAJ&printsec=frontcover
Une étude pionnière et très importante de l’origine de la communauté des biens, et en particulier de l’importance du christianisme dans l’apparition de ce que l’on nomme aujourd’hui « communisme ». L’auteur commet cependant quelques erreurs, en affirmant par exemple que les Spartiates pratiquaient la communauté des biens, ce qui est faux : « La place du mythe spartiate est centrale et doit être abordée avec beaucoup de précaution dans un enseignement car presque chaque siècle a repris le mythe à son compte afin de l’utiliser à des fins idéologiques et/ou politiques. Ainsi en est-il des monarchomaques protestants des XVIe-XVIIe siècles qui remettent en cause la nature du pouvoir absolu de droit divin des rois de France en mettant en avant le rôle des éphores chargés de contrôler les deux rois lacédémoniens. Ou bien de Robespierre qui reprend le mythe de Sparte transmis par Plutarque d’une société qui serait « inégalement organisée, où les citoyens désintéressés sont conduits par la seule vertu ». Plus contemporain de Fustel de Coulanges, c’est Karl Marx qui reprend le modèle spartiate comme exemple et y voit un communisme primitif. Contre cette idée, le professeur démontre dans ses leçons que la propriété privée existe bel et bien ainsi que les inégalités entre Spartiates. Est ainsi écarté, sources à l’appui, le mythe d’une Cité communiste primitive. Plus proche de nous, certains mettraient en avant l’austérité de la Cité ou encore son système éducatif comme des modèles à suivre, à l’historien de nuancer cela. » (https://journals.openedition.org/lectures/11894)
Un résumé préfacé du premier volume est lisible à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2012/09/30/les-racines-asiatiques-du-mondialisme/.
5f22fa No.49340
25) Gene Heck, Charlemagne, Muhammad, and the Arab Roots of Capitalism.
https://scribd.com/doc/54795008/Charlemagne-Muhammad-the-Arab-Roots-of-Capitalism
Il s’agit d’une étude pionnière sérieuse et bien documentée des origines arabo-musulmanes du capitalisme libéral spéculatif.
26) Eugène Gellion-Danglar, Les sémites et le sémitisme aux points de vue ethnographique, religieux et politique
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57900502?rk=21459;2
Une étude sur les Sémites et le sémitisme. Elle est citée dans « La France juive » d’Édouard Drumont.
27) Joel Rogers, Sex and Race.
https://archive.org/details/sexAndRacevol.1
Ouvrage important d’un auteur noir qui discute du mélange racial entre Blancs et non-blancs au cours de l’Histoire. Il semble que seul le premier volume soit disponible sur internet, le livre en comprenant trois.
28) Peter Joseph, Dorothy Murdock, The ZEITGEIST sourcebook.
http://www.stellarhousepublishing.com/zeitgeistsourcebook.pdf
Il s’agit d’une étude très importante sur ce que le christianisme doit aux cultes négro-sémites, foncièrement matriarcaux.
29) Thomas Doane, Bible Myths And Their Parallels In Other Religions
https://archive.org/details/DoaneTWBibleMythsAndTheirParallelsInOtherReligions1882/page/n9
Une étude sur les parallèles entre les mythes bibliques et ceux des cultes négro-sémites.
30) Revilo Oliver, The Origins of Christianity
http://www.revilo-oliver.com/rpo/RPO_NewChrist/toc_ol.htm
http://docshare.tips/origins-of-christianity-revilo-p-oliver_584ad871b6d87fb8408b4b90.html
Une étude importante sur les origines du christianisme.
31) Kenneth Howard, Jewish Christianity in the Early Church: How the Church Lost Its Jewish Roots
http://www.saintnicks.com/upload/Book/Jewish%20Christianity%20in%20the%20Early%20Church.pdf
Une première étude des origines juives du christianisme.
32) Jeffrey Harrison, The Jewish Roots of Christianity
http://www.totheends.com/Jewish%20Roots%20of%20Christianity--Lecture%201.pdf
Une seconde étude des origines juives du christianisme.
5f22fa No.49343
33) Joseph Wheless, Forgery in Christianity
https://archive.org/details/ForgeryInChristianity
Une étude des falsifications de la religion chrétienne.
34) Louis Rougier, Celse contre les chrétiens.
https://books.google.fr/books?id=WPviFG8avT8C&printsec=frontcover
Il s’agit d’un ouvrage fondamental au sujet de la critique du christianisme, qui se constitue de la traduction du « Discours véritable » de Celse, précédé par plusieurs articles.
Le « Discours véritable » est quant à lui accessible à https://arbredor.com/ebooks/DiscoursVeritable.pdf.
35) Friedrich Nietzsche, L’Antéchrist.
http://www.verlaine.pro.br/txt/critica-religiao/nietzsche-anticristo-frances.pdf
https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Ant%C3%A9christ_(Nietzsche)
Une critique importante du christianisme.
36) William Bond, Freemansonry and the Hidden Goddess
http://www.themasonictrowel.com/ebooks/freemasonry/eb0049.pdf
Il s’agit d’un ouvrage pionnier qui prouve par l’étude de la symbolique maçonnique que cette symbolique est – tout comme les enseignements de la franc-maçonnerie – matriarcale et centrée sur la Déesse Mère, et que les francs-maçons rendent donc, consciemment ou non, un culte à la Déesse Mère.
37) L’Arabie noire et l’origine africaine de l’islam
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/11/13/larabie-noire-et-lorgine-africaine-de-lislam/
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/12/07/larabie-noire-et-lorigine-africaine-de-lislam-ii/
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/12/30/larabie-noire-et-lorigine-africaine-de-lislam-iii/
Il s’agit d’une traduction préfacée, postfacée et annotée de l’ouvrage d’un auteur noir de la Nation of Islam. Il est important dans le sens où il montre tout ce que doit ce qui en est venu à prendre le nom d’ « islam » aux cultes matriarcaux et infra-humains des peuples négro-sémites.
38) Olaf, Le grand secret de l'islam
https://legrandsecretdelislam.files.wordpress.com/2015/08/le-grand-secret-de-lislam.pdf
Cet ouvrage est un résumé du livre « Le Messie et son Prophète » d’Édouard-Marie Gallez : http://www.lemessieetsonprophete.com/, qui étudie les origines judéo-chrétiennes de l’islam.
39) William Tisdall, The Original Sources of the Quran
https://archive.org/details/TheOriginalSourcesOfTheQuran
Une étude des origines du Coran.
40) Yoel Nathan, Moon-o-theism
http://www.yoel.info/moonotheismv1andv2.pdf
Un livre qui expose ce que l’islam doit aux cultes négro-sémites lunaires préislamiques.
5f22fa No.49344
41) Louis Ferdinand Destouches (Céline), Mea Culpa
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/05/06/Celine-Mea-Culpa2
Le premier pamphlet de Céline.
42) Louis Ferdinand Destouches (Céline), Bagatelles pour un massacre
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/05/06/Celine-Bagatelles-pour-un-massacre2
Le second pamphlet de Céline.
43) Louis Ferdinand Destouches (Céline), L’école des cadavres
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/05/06/Celine-L-ecole-des-cadavres2
Le troisième pamphlet de Céline.
44) Louis Ferdinand Destouches (Céline), Les beaux draps
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/05/06/Celine-Les-beaux-draps2
Le quatrième pamphlet de Céline.
45) Lucien Rebatet, Les Décombres
https://archive.org/details/LesDecombre
Le pamphlet de Lucien Rebatet.
46) Lucien Rebatet, Les juifs et l’antisémitisme
https://archive.org/details/LesJuifsEtLantisemitisme
Écrits sur les juifs de Lucien Rebatet.
47) Édouard Drumont, La France juive
https://archive.org/details/FranceJuive_Drumont
Ouvrage classique sur la France juive.
48) Pierre-Antoine Cousteau, L’Amérique juive.
https://archive.org/details/LameriqueJuive
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/02/25/Cousteau-Pierre-Antoine-L-amerique-juive
Un petit joyau sur l’Amérique juive.
5f22fa No.49345
49) William Joyce, Twilight over England.
https://archive.org/details/TwilightOverEngland_552
Une excellente étude historique, politique et économique de l’Angleterre juive.
50) Julius Evola, Metaphysics of War
http://www.freepdf.info/index.php?post/Evola-Julius-Metaphysics-of-war
Il s’agit d’un recueil d’articles sur la spiritualité guerrière des peuples d’origine aryenne et sur la dégradation de cette spiritualité et de ce qu’est la guerre, étudié du point de vue du principe de la « régression des castes ».
51) Julius Evola, La Doctrine de l’Éveil
http://www.juliusevola.com/julius_evola/texts/The_Doctrine_of_Awakening.rtf
http://www.freepdf.info/index.php?post/2012/01/15/Evola-Julius-The-Doctrine-of-Awakening
https://archive.org/details/in.gov.ignca.6993
Il s’agit d’une étude du Sutta Pitaka, qui constitue le recueil des discours et paroles attribués au Bouddha. Il y est montré l’origine aryenne du Bouddha et de l’ascèse bouddhique. L’enseignement primordial de la doctrine bouddhique y est exposé, très fréquemment en contradiction avec l’ensemble des courants du bouddhisme (asiatique) qui se sont formés après la mort du Bouddha.
52) Charles-Louis Cadet de Gassicourt, Le Tombeau de Jacques de Molay, ou Histoire secrète et abrégée des initiés anciens et modernes, templiers, francs-maçons, illuminés.
https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2013/02/08/le-tombeau-de-jacques-de-molay/
Ouvrage important qui expose les activités des Templiers, dont les croyances et pratiques sont issues des Sémites.
53) René Guénon, La crise du monde moderne
https://archive.org/download/ReneGuenonFR/Rene%CC%81%20Gue%CC%81non%20-%20La%20Crise%20du%20Monde%20moderne%20-%2090%20pages%20.pdf
Un ouvrage important pour ses considérations d’ordre métaphysique.
54) René Guénon, Le règne de la quantité et les signes des temps.
https://archive.org/download/ReneGuenonFR/Rene%CC%81%20Gue%CC%81non%20-%20Le%20Re%CC%80gne%20de%20la%20Quantite%CC%81%20et%20les%20Signes%20des%20Temps%20-%20205%20pages%20-%202013%2005%2017.pdf
Un ouvrage important pour ses considérations d’ordre métaphysique.
Cordialement.
Post-scriptum :
Les sites internet suivants contiennent également de nombreuses publications ayant trait à la race qui sont particulièrement importantes :
http://elementsdeducationraciale.blogspot.com
https://evolaasheis.wordpress.com
5f22fa No.49409
Deuxième post-scriptum :
Comme indiqué dans d'autres commentaires, il est vrai que « L’Ordre SS » d’Edwige Thibaut est un ouvrage assez important. Cet ouvrage est accessible à https://archive.org/details/LordreSsthiqueEtIdologie.
Une remarque, toutefois : « Ouvrage de référence sur la SS, il se distingue également par une introduction à la hauteur du sujet. Ce qu’il convient de souligner ici, dans le cadre, donc, d’une étude sur les idées fabriquées de toutes pièces, répandues à loisir et (complaisamment) reçues sur l’idéologie de l’Allemagne national-socialiste, c’est que « (j)amais dans aucun texte ne se sont trouvées (l)es expressions fausses et sans grande signification (de « surhomme » ou de « peuple de seigneurs ») qui sont le fruit de mentalités américanisées et complexées. Le « surhomme » ou « super-héros », produit des fantasmes américains, est totalement étranger à (l’) environnement (de l’homme de la SS)… Sa supériorité n’est nullement l’œuvre de son travail sur lui-même et ne mérite donc aucune admiration. Au terme de « seigneur »… les nationaux-socialistes préféraient le terme de « héros », c’est-à-dire d’homme enraciné dans sa communauté, responsable, donnant l’exemple par sa faculté à se dépasser et capable de recréer le type humain primordial à partir de ses propres valeurs (p. 27). En dépit de tout ce que ces remarques ont de juste, il convient également de préciser que leur auteur, peut-être influencé par le recours fréquent de Léon Degrelle à l’expression paulinienne d’« homme nouveau » [Éphésiens 4:22-24] dans la préface, n’est pas sans tomber dans le travers qu’il met en évidence, en reprenant précisément cette expression, gravée dans le faux marbre de l’historiographie des vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, pour qualifier le SS. Pas plus que le terme d’« Übermensch » « Der neue Mann » n’apparaît dans la littérature nationale-socialiste. » (https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/12/02/apercu-sur-le-racisme-national-socialisme/)
89e522 No.49519
A ceux qui se posent des questions sur les tablettes, sachez qu'il existe sur le net des sites convertisseurs ebook (tapez ça sur un moteur de recherche).;
Rien ne vous oblige à garder ces fichiers sous le contrôle d'Amazion, une clé USB ou un disque amovible suffit. Le transfert sur la tablette est facile.
7b8e96 No.49535
Petit hors sujet, mais je recommande aux democrates d'investir dans une liseuse pour les livres en format pdf, beaucoup plus confortable pour la lecture qu'une tablette.
c8472a No.49562
>>49535
Un modèle non vérolé à conseiller ?
5f22fa No.49664
Troisième post-scriptum :
En complément des ouvrages que j’ai déjà indiqués, et dont « L’Ordre SS » peut constituer le cinquante-cinquième, les ouvrages suivants sont également recommandables :
56) Eustace Mullins, Les secrets de la réserve fédérale.
https://archive.org/details/TheSecretsOfTheFederalReserve_294
Ouvrage indispensable qui explique comment la « haute » finance juive en est venue à prendre le contrôle des États-Unis d’Amérique et à étendre son pouvoir sur le reste du monde.
57) Otto Weininger, Sexe et caractère.
http://www.theabsolute.net/ottow/schareng.pdf
http://brittlebooks.library.illinois.edu/brittlebooks_open/Books2009-06/weinot0001sexcha/weinot0001sexcha.pdf
https://en.wikisource.org/wiki/Sex_and_Character
Il s’agit d’une étude des hommes et des femmes d’un point de vue physique, psychique et mental ; des relations entres les femmes et les hommes d’un point de vue physique, psychique et mental ; et du « peuple » juif comme étant fondamentalement féminin.
58) Julius Evola, Métaphysique du sexe.
https://archive.org/stream/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201958%20-%20M%C3%A9taphysique%20du%20sexe
Initialement paru en 1958, Métaphysique du sexe est un livre singulièrement intemporel qui n’a pas d’équivalent à notre époque. Il a pour objet l’étude de ce que signifient, d’un point de vue absolu, les sexes et les relations entre les sexes. Il vise aussi à cerner tout ce qui, dans l’expérience amoureuse, mène à un changement de niveau de la conscience ordinaire et à un certain dépassement des conditionnements du Moi individuel. Pour l’auteur, les potentialités les plus élevées de l’eros sont passées, à l’époque moderne, par suite d’une régression et comme par atrophie, à l’état latent. Il s’agit de les redécouvrir, notamment pas l’analyse des expressions constantes du langage des amants et des formes récurrentes de leur comportement.
S’appuyant sur l’ontologie et l’anthropologie « traditionnelles », Evola affirme que les sexes existent d’abord en tant que principes transcendants, antérieurs et supérieurs à l’humain. La clé du sens ultime de l’eros doit donc être cherchée dans l’univers du mythe, du sacré, des hiérogamies, et la psychologie de l’éternel masculin et de l’éternel féminin ne s’explique qu’à la lumière de l’ontologie. À travers l’eros se manifeste le besoin irrépressible de l’homme d’échapper à sa finitude, comme l’enseignent le mythe de l’androgyne et celui de Poros et de Pénia. En reprenant conscience de la primordialité métaphysique du sexe, l’homme occidental pourra sortir de ses bas-fonds psychiques et spirituels, où c’est le fait même d’être homme ou femme qui est destiné à s’effacer.
Cette nouvelle traduction intégrale comprend un appendice sur l’homosexualité et un index des auteurs cités, qui ne figuraient pas dans les éditions précédentes.
59) Adolf Hitler, Mon Combat.
https://beq.ebooksgratuits.com/Propagande/Hitler-combat-1.pdf
https://beq.ebooksgratuits.com/Propagande/Hitler-combat-2.pdf
Le principal ouvrage d’Adolf Hitler.
60) Plutarque, Vies parallèles.
https://fr.wikisource.org/wiki/Vies_des_hommes_illustres
Ouvrage à lire absolument par sa richesse d’enseignements sur les grands hommes Hellènes et Romains.
61) Hans Günther Religiosité indo-européenne.
https://archive.org/details/TheReligiousAttitudesOfTheIndo-europeans_621
Malgré ce qu’il y aurait à y redire et que l’auteur commette quelques erreurs, il s’agit d’un ouvrage important sur la « religiosité » des peuples dits indo-européens. Il ne s’agit pas de la dernière édition, qui a été revue et augmentée et accessible à http://docplayer.org/48835010-Froemmigkeit-nordischer-artung.html et https://scribd.com/document/176407166/Guenther-Froemmigkeit-Nordischer-Artung.
Plusieurs ouvrages d’Hans Günther sont accessibles à https://de.metapedia.org/wiki/G%C3%BCnther,_Hans_F._K.#Schriften.
62) Arthur de Gobineau, Histoire des Perses
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61282732
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6128162x
Ouvrage d’Arthur de Gobineau le plus important après son « Essai sur l’inégalité des races humaines ».
5f22fa No.49668
Quatrième post-scriptum :
Voici un extrait de la traduction en français de la sixième édition de « Frömmigkeit nordischer Artung » de Hans Günther, ouvrage indiqué en soixante-et-unième position de la liste qui précède :
« Prenons d'abord quelques exemples a contrario pour montrer comment la religiosité indo-européenne ne s'exprime jamais, de manière à pouvoir reconnaître ultérieurement comment elle s'exprime spécifiquement, de la façon la plus pure et la plus indéterminée. Je tenterai, dans la mesure du possible, de faire abstraction du contenu de la religion de chaque peuple indo-européen pris en particulier et de décrire seulement les sentiments caractéristiques communs qui président au face-à-face de l'homo indo-europeanus avec le divin, quelle que soit la forme dans laquelle il imagine ce divin. S'il fallait décrire cela par des mots, je dirais que ce n'est pas tant la religion ou les religions des Indo-européens qui m'intéressent, mais leur religiosité; c'est elle que je m'efforcerai de cerner.
Tout d'abord, il convient de savoir que la religiosité des Indo-européens ne dérive d'aucune espèce de crainte, que ce soit la crainte de la divinité ou la crainte de la mort. Les paroles d'un poète romain du Bas-Empire, signalant que la crainte fut jadis la matrice des dieux (Statius, Thebais III, 661 : primus in orbe fecit deos timor) ne révèlent d'aucune façon la sensibilité religieuse indo-européenne. La « crainte du Seigneur » (cf. Proverbes, Salomon, IX, 10 ; Psaume, 111, 30) n'a jamais constitué le commencement de la sagesse ou de la foi, dans les pays où s'est déployée librement la religiosité indo-européenne.
Une telle crainte, génératrice de religiosité, ne pouvait survenir chez les Indo-européens car ceux-ci ne se percevaient pas comme les « créatures » d'une divinité et ne concevaient pas le monde comme une « création », comme l'œuvre d'un dieu créateur, commencée à un début hypothétique des temps. Pour l'Indo-européen, le monde est davantage un « ordre intemporel », dans lequel tant les dieux que les hommes ont leur place, leur temps et leur fonction. L'idée de création est orientale, principalement babylonienne, tout comme l'idée d'une « fin du monde » (venue d'Iran mais non de l'esprit indo-iranien), avec un « jugement » inaugurant un Règne de Dieu, au cours duquel tout sera transformé de fond en comble. Les Indo-européens croyaient, devinant ainsi par anticipation les connaissances et les présupposés de la physique et de l'astronomie modernes, à une succession sans début ni fin de naissances et de déclins de mondes, à des crépuscules de dieux suivis de rénovations de mondes et de panthéons ; l'Edda et la Völuspa décrivent ce sentiment de manière particulièrement poignante. Les Indo-européens croyaient donc en des cataclysmes successifs (ainsi que les dénommaient les Hellènes) qui seraient suivis de nouveaux dieux et de nouveaux mondes. En Iran, sous l'influence des croyances proche-orientales, est née, de l'idée de succession de naissances et de déclins de mondes, la représentation d'une unique fin du monde à venir ; d'une fin du monde qui serait précédée de la venue d'un « Sauveur » (Saoshyant) et accompagnée d'un « jugement ». Venue d'Iran, cette vision religieuse se serait implantée dans le monde judaïque en déclin. Dans les sphères de civilisations où l'homme ne perçoit pas le monde comme une création (c'est le cas chez les Indo-européens) et ne conçoit pas Dieu comme un créateur, le sentiment d'être une créature, liée et déterminée par la volonté d'un créateur, ne pouvait en aucune façon marquer la religiosité et imprégner essentiellement la piété.
De ce fait, ne pouvait se manifester ici aucune religiosité qui aurait perçu l'homme comme un esclave soumis à un Dieu absolu. La soumission servile de l'homme à Dieu est une caractéristique des peuples de langues sémitiques. Les noms de Baal, Adon, Melech (Moloch), Rabbat et autres désignent des avatars d'un Dieu absolu devant lequel se prosternent, le front collé au sol, des hommes-esclaves : ses créatures. Pour l'Indo-européen au contraire, honorer Dieu, prier une divinité, c'est encourager et cultiver toutes les impulsions nobles de l'homme : le Romain utilisera le verbe colere, et le Grec le verbe therapeuein. Dans les langues sémitiques, le terme « prier » dérive de la racine abad qui signifie « être esclave ». Hanna (1. Samuel, 1, 11) demande à Yahvé, au départ dieu de la tribu des Hébreux, de lui offrir un fils, à elle, son esclave ; David se définit lui-même (2. Samuel, 7, 18) comme un serviteur de son Dieu, tout comme Salomon (2. Rois, 3, 6). C'est la crainte, la terreur, qui constitue l'essence de Yahvé (cf. 2. Moïse, 23, 27 ; Isaïe, 8, 13). Les Indo-européens n'ont jamais perçu leurs dieux de cette manière. Les Hymnes à Zeus de stoïcien Cléanthe d'Assos (331-233), dont Paul de Tarse s'est inspiré afin de s'adapter au mental hellénique, contredit radicalement la religiosité exprimée notamment dans le Psaume 90.
5f22fa No.49669
Dans le christianisme également, l'attitude du croyant devant Dieu se désigne très souvent par l'adjectif humilis, montrant par là que l'humilité, le sentiment de servilité constitue le noyau ultime de cette religiosité. Une telle attitude n'est en rien indo-européenne; elle dérive d'une religiosité orientale. Parce qu'il n'est pas « serviteur » ou « esclave » d'un Dieu jaloux et absolu, l'Indo-européen ne prie généralement pas à genoux ou ployé en direction de la terre, mais debout avec le regard tourné vers le haut, les bras tendus vers le ciel.
Comme un homme total, à l'honneur intact, l'Indo-européen honnête (honestus : homme de rectitude en latin) se tient debout devant son Dieu ou ses dieux. Toutes les religiosités qui voudraient ôter quelque chose à l'homme, afin de le diminuer par rapport à une divinité devenue toute-puissante et opprimante, sont non-indo-européennes. Toute religiosité qui considère l'une ou l'autre partie du monde ou de l'homme comme dépourvue de valeur, comme inférieure ou « souillante », toute religiosité qui cherche à « racheter » l'homme et à le préparer pour des valeurs « supra-terrestres » ou « supra-humaines » n'est pas authentiquement indo-européenne. Chaque fois que « ce monde » se voit désacralisé au profit d'un « Autre Monde », supposé contenir le « Bien éternel », nous quittons le domaine de la religiosité indo-européenne. La religiosité indo-européenne est en conséquence une religiosité de « l'ici-bas », de l'immanence. Toutes les formes dans lesquelles elle s'exprime l'attestent.
C'est pourquoi il nous est très difficile de comprendre correctement la grandeur de la religiosité indo-européenne, car nous sommes habitués à mesurer toute religiosité par rapport aux valeurs et formes d'expression de religiosités essentiellement non-indo-européennes. La plupart des critères par lesquels nous jugeons les religiosités dérivent d'univers mentaux étrangers à l'indo-européanité, généralement orientaux ; ce sont surtout les christianismes primitif et médiéval qui président à nos approches des autres religiosités. Notre évaluation de la religiosité indo-européenne en pâtit ipso facto ; c'est en fait comme si nous tentions d'expliquer la structure linguistique des parlers indo-européens au moyen de ces mêmes éléments qui se sont avérés pertinents pour expliquer les structures linguistiques des langues sémitiques. Ainsi nous sommes habitués à ne voir véritable religiosité que dans une religiosité de l'au-delà et à considérer toute religiosité de l'en-deça (de l'immanence) comme quelque chose de lacunaire ou de sous-développé ou de n'y voir qu'une étape en direction de quelque chose de plus accompli.
Les représentations d'essence judéo-chrétienne, imposées à nos peuples, nous empêchent en conséquence de reconnaître la grandeur et la noblesse de la religiosité indo-européenne. Cet handicap est si prononcé que même dans les travaux scientifiques qui ont pour objet de comparer les religions, les conceptions religieuses indo-européennes sont considérées comme inférieures en importance parce que l'auteur, généralement, utilise des critères de comparaison calqués sur les valeurs orientales. Cette remarque vaut particulièrement pour un texte de Rudolf Otto, Das Heilige. La grandeur et la plénitude du monde spirituel indo-européen demeurent donc largement méconnues. Quiconque cherche à mesurer une quelconque religiosité par rapport au degré d'abaissement que s'inflige l'homme devant la divinité ; quiconque veut évaluer une quelconque religiosité à la manière dont elle juge combien « ce monde » doit apparaître problématique pour l'homme, [monde] dépourvu de valeur ou « souillé » face à « l'autre monde » ; quiconque tente de jauger une quelconque religiosité par la façon dont elle pose l'homme essentiellement comme « cassure » entre un corps périssable et une âme indestructible, entre la chair (sarx) et l'esprit (pneuma), trouvera effectivement que la religiosité des Indo-européens est pauvre et élémentaire.
Les dieux d'une part, et les hommes d'autre part, ne sont pas, chez les Indo-européens, des êtres incomparables, éloignés les uns des autres. Et certainement pas chez les Hellènes. Les dieux y apparaissent comme des hommes immortels, à « grandes âmes » (cf. Aristote, Métaphysique, III, 2, 997b), et les hommes, s'ils sont des descendants bien nés de tribus nobles et illustres, possèdent en eux quelque chose de divin et peuvent prétendre représenter, avec leur famille et tribu, une part du divin : « Agamemnon, pareil aux dieux ». Dans la nature même de l'homme — la divinité le veut — résident des potentialités qui lui permettent quelquefois d'apparaître comme diogenes, c'est-à-dire issu des dieux. C'est pourquoi tous les peuples indo-européens ont tenté, littéralement, d'incarner les valeurs aristocratiques et populaires dans leurs familles ; c'est ce que les Grecs nommaient la kalokagathia.
5f22fa No.49670
La religiosité indo-européenne n'est nullement servitude ; elle n'implique nullement les pleurs de l'esclave foulé aux pieds devant son maître inaccessible et impitoyable, mais bien l'accomplissement dans la confiance d'une réelle communauté englobant et les dieux et les hommes. Platon parle dans son Banquet (188c) d'une « communauté (philia) réciproque entre les hommes et les dieux ». Le Germain, lui, savait qu'une amitié le liait à son dieu, son fulltrui (celui en qui il avait pleine confiance). Chez les Grecs de l'Odyssée (24, 514), on retrouve la même confiante certitude dans l'expression theoi philoi (dieux-amis). Dans la Baghavad-Gita des Indiens (IV, 3), le dieu Krishna nomme l'homme Arjuna son ami. La plus haute divinité est honorée, comme Zeus, en tant que « père des dieux et des hommes », en tant que père selon l'image du maître de logis dans les grandes fermes ; tel est Zeus Herkeios. Rien de semblable, donc, à un Dieu unique, jaloux et absolu. Le nom même du dieu exprime cet état: chez les Indiens il est Dyaus-pitar [« Père des Cieux »], et chez les Romains il est Jupiter. » (https://fr.metapedia.org/wiki/Hans_G%C3%BCnther#.E2.96.BA_Religiosit.C3.A9_des_Hommes_libres)
f5b938 No.49672
>>49535
Erreur de ma part, lire liseuse au lieu de tablette
7b8e96 No.49711
>>49562
Evites Kindle (Amazon), perso j'ai une kobo.
a6dc02 No.49742
>>48153
Connais-tu d'autres livres en faveur de la compatibilité entre christianisme et NS ?
5f22fa No.49874
Bonjour,
Le national-socialisme est une idéologie fondamentalement raciste, racialiste et nationaliste, tandis que le christianisme est une religion foncièrement anti-raciste, anti-racialiste, anti-nationaliste. Le national-socialisme et le christianisme sont donc incompatibles. Afin de savoir pourquoi, je demanderai aux lecteurs et aux chrétiens de lire http://www.vivaeuropa.info/index.php?post/Christianisme-racialisme-combat , qui explique tout cela en détail de façon irréfutable, en citant le Magistère Ordinaire et Universel infaillible qui avait cours bien avant Vatican II. Si toutefois certaines personnes sont en désaccord avec cette publication, elles pourront alors rédiger une réfutation de celle-ci et la publier.
Une sauvegarde de cette publication a également été réalisée à https://web.archive.org/web/20190419160645/http://www.vivaeuropa.info/index.php?post/Christianisme-racialisme-combat.
Pour information, comme indiqué dans cette publication, « Par le Christ, et dans le Christ, nous sommes de la descendance spirituelle d'Abraham. Non, il n'est pas possible aux chrétiens de participer à l'antisémitisme. Nous reconnaissons à quiconque le droit de se défendre et de prendre les moyens de se protéger contre tout ce qui menace ses intérêts légitimes. Mais l'antisémitisme est inadmissible. Nous sommes spirituellement des sémites. » (Pape Pie XI, 9 septembre 1938).
« Toutes ces citations techniques, que beaucoup de lecteurs trouveront sans doute ennuyeuses, n'ont d'autre but que de faire comprendre pourquoi il n'y a aucun changement à attendre de la part des chrétiens en général, et des catholiques en particulier, sur toute question relative au racialisme. Les citations suivantes ont pour vocation de démontrer que le christianisme identitaire n'existe pas, n'a jamais existé et n'existera jamais. Ceux qui, sincèrement, possèdent des aspirations raciales en se revendiquant également du christianisme sont dans l'erreur, ils font preuve d'une méconnaissance complète de la religion à laquelle ils adhèrent. Ces erreurs volontaires et involontaires sont en partie les causes de nos échecs politiques.
[…] Le Magistère est explicite sur cette question, et tous les chrétiens sont en accords sur cette thématique, quels que soient les courants chrétiens auxquels ils appartiennent. »
Le triptyque « Liberté, égalité, fraternité » est certes maçonnique, il est également aux fondements du christianisme puisque « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. » (Galates 5:1), « Que votre abondance donc supplée maintenant à leur indigence, afin que leur abondance serve aussi à votre indigence, et qu’ainsi il y ait de l’égalité. » (Corinthiens 8:14), « Mais vous, ne vous faites pas appeler « Maître ». En effet, vous avez un seul Maître et vous êtes tous frères. » (Matthieu 23:8).
Le substrat dans lequel le christianisme se développa était essentiellement sémite, comme je l’ai indiqué dans ma traduction de « Le changement de race dans la Rome antique » : https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/02/18/le-changement-de-race-dans-la-rome-antique/.
L’Europe fut en partie évangélisée par des moines sémites. Voir Abdallah Naaman, Histoire des Orientaux de France : du Ier au XXe siècle, Ellipses Marketing, 2004, p. 18 et sqq.
« Sous les Mérovingiens, vers 591, ils [les Syriens] avaient suffisamment d’influence à Paris pour faire élire l’un des leurs évêque et prendre possession de TOUS les postes ecclésiastiques. (On peut faire remarquer que des Syriens furent à plusieurs reprises papes au huitième siècle et un archevêque de Canterbury, en tant qu’exemple de leur importance dans le commerce en Angleterre, fut un Syrien.) » (Ernest L. Martin, The Race Change in Ancient Italy, http://www.giveshare.org/babylon/racechange.html.)
J’aimerais savoir ce que l’équipe de « Démocratie Participative » pense de tout cela.
Cordialement.
5f22fa No.50178
Bonjour,
Sur l’islam, additionnellement aux deux ouvrages proposés en trente-huitième place, on pourrait également citer, pour le caractère « général » de son étude de l’islam, « L'Islam. Ses véritables origines » de Joseph Bertuel (http://www.freepdf.info/index.php?post/Bertuel-Joseph-L-Islam-Ses-veritables-origines-Tome-1, http://www.freepdf.info/index.php?post/Bertuel-Joseph-L-Islam-Ses-veritables-origines-Tome-2, http://www.freepdf.info/index.php?post/Bertuel-Joseph-L-Islam-Ses-veritables-origines-Tome-3), mais surtout « De Moïse à Mohammed ; l'islam, entreprise juive » de Gabriel Théry, parce qu’il expose tout ce que l’islam doit au judaïsme :
http://www.freepdf.info/index.php?post/Thery-Gabriel-De-Moise-a-Mohammed-Tome-1, http://www.freepdf.info/index.php?post/Thery-Gabriel-De-Moise-a-Mohammed-Tome-2, http://www.freepdf.info/index.php?post/Thery-Gabriel-De-Moise-a-Mohammed-Tome-3, http://www.freepdf.info/index.php?post/Thery-Gabriel-De-Moise-a-Mohammed-Tome-4.
Toutefois, il faut prendre en considération les travaux récents du collectif d’islamologues non-acadhimmiques « Inârah » (http://inarah.net/publications), dont les conclusions sont que le prophète de l’islam Mahomet était en fait un prédicateur chrétien, que le Coran était originellement écrit en syriaque et principalement dérivé de la liturgie chrétienne syriaque (il a également été prouvé, notamment dans les ouvrages de ce collectif, que le Coran a subi – tout comme L’Ancien Testament et le Nouveau Testament – de nombreuses altérations depuis la rédaction de l’originel en arabe), et que l’islam était originellement une secte chrétienne.
L’ouvrage fondateur qui fut à l’origine de la constitution de ce collectif d’islamologues est « The Syro-Aramaic Reading of the Koran » de Christoph Luxenberg : https://archive.org/details/ChristophLuxenberg. Il a reçu une critique positive de la part d’Édouard-Marie Gallez (http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/Luxenberg_s19-24_turc.htm), auteur de « Le Messie et son Prophète », que j’ai cité en trente-huitième place de la liste d’ouvrages que j’ai rédigée, partisan de la thèse selon laquelle, pour comprendre l’apparition de l’islam, il faut remonter jusqu’aux courants messianistes apparus au IIe siècle avant notre ère : ceux-ci préparaient lointainement la mouvance idéologique politico-religieuse qui s’est formée après l’an 70 en opposition à la révélation chrétienne – tout en dérivant de celle-ci. Également très opposée au judaïsme rabbinique, cette mouvance post-chrétienne des « judéo-nazaréens » reconnaissait Jésus comme Messie mais non comme Sauveur (c’est-à-dire comme Celui qui vient visiter son peuple). Ceci avait peu été mis en lumière en amont de l’islam. Au regard de l’histoire, Mahomet apparaît au VIIe siècle non comme annonçant une nouvelle religion, mais comme le chef militaire au service de cette mouvance qui avait déjà eu une influence discrète mais profonde dans le monde au cours des six siècles précédents.
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S’en est suivi un recueil d’études titré « The Hidden Origins of Islam » : https://archive.org/details/TheHiddenOriginsOfIslamNewResearchIntoItsEarlyHistory. Édouard-Marie Gallez en a cette fois fait une critique assez négative à http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/Hidden_origins_of_Islam.pdf.
Sept autres recueils d’études ont par la suite été publiés en allemand, dont le premier a été traduit en anglais (http://inarah.net/publications). Les deux premiers sont lisibles en prévisualisation sur « Google Books » :
Der frühe Islam Eine historisch-kritische Rekonstruktion anhand zeitgenössischer Quellen, https://books.google.fr/books?id=CxIZAnH35AgC&printsec=frontcover.
Schlaglichter Die beiden ersten islamischen Jahrhunderte, https://books.google.fr/books?id=wOMO2s7RRsYC&printsec=frontcover.
Nous devons maintenant considérer, d’après les précédents messages que j’ai postés, que l’islam n’est principalement qu’un amalgame issu du judaïsme, du christianisme et de cultes négro-sémitiques infra-humains et matriarcaux, et que le christianisme n’est avant tout qu’un syncrétisme issu du judaïsme (à cet égard, « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la Loi ou les prophètes [l’Ancien Testament] ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. » [Matthieu 5:17] est particulièrement révélateur. Il existe de plus des similitudes entre les écrits du judaïsme rabbinique et le Nouveau Testament. Au demeurant, cela va de soi puisque les écrits du judaïsme rabbinique, tout comme le Nouveau Testament, sont en partie issus de la « Torah orale » [Joseph Krauskopf, A Rabbi’s Impressions of the Oberammergau Passion Play, Talmudic Parallels to New Testament Teachings, http://www.sacred-texts.com/jud/rio/rio10.htm ; Merrimackvalleyhavurah.wordpress.com, Rabbinic Judaism and the New Testament parallels, https://merrimackvalleyhavurah.wordpress.com/2017/02/12/rabbinic-judaism-and-the-new-testament-parallels/ ; Yashanet.com, Not Subject to the Law of God?, Part 7 – Historical Reality Concerning What Yeshua and His Followers Believed, http://www.yashanet.com/library/law_1.htm, http://www.yashanet.com/library/underlaw.htm, http://www.yashanet.com/library/under7.htm ; Yashanet.com, Yeshua, the Oral Torah and the Talmud, http://www.yashanet.com/library/articles/yeshua.htm ; Torahofmessiah.org, Oral Torah: Proof of its Legitimacy, https://web.archive.org/web/20150520074312/http://torahofmessiah.org/oral-torah-proof-of-its-legitimacy/]), de la philosophie sémitique prétendument « grecque » (à ce sujet, voir notamment https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2013/10/01/la-liberte-un-concept-desclaves-2/ ; https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2014/07/01/la-liberte-un-concept-desclaves-3/ ; Martin West, Early Greek Philosophy and the Orient, https://scribd.com/document/378447905/M-L-West-Early-Greek-Philosophy-and-the-Orient-Oxford-University-Press-1971 ; Walter Burkert, Prehistory of Presocratic Philosophy in an Orientalizing Context, https://books.google.fr/books?id=14muxtEiBG0C&printsec=frontcover), et de cultes négro-sémitiques infra-humains et matriarcaux (voir entre autres les ouvrages que j’ai postés à ce sujet dans les précédents messages, dont Dorothy Murdock, The ZEITGEIST Sourcebook, http://www.stellarhousepublishing.com/zeitgeistsourcebook.pdf ; mais surtout Dorothy Murdock, Christ in Egypt: The Horus-Jesus Connection, http://www.balderexlibris.com/index.php?post/Murdock-D-M-Christ-in-Egypt-The-Horus-Jesus-connection ; ou encore l’ensemble des publications qui abordent ce sujet à https://elementsdeducationraciale.blogspot.com/)
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Ceci posé, on peut en déduire que l’islam et le christianisme sont en quelque sorte une adaptation du judaïsme. Il convient alors de se demander d’où vient le judaïsme. Le judaïsme provient de la religion hébraïque. D’où provient la religion hébraïque ? Raphael Patai a apporté une réponse à cette question dans son ouvrage « The Hebrew Goddess » (voir également Jenny Kien, Reinstating the Divine Woman in Judaism, https://books.google.fr/books?id=P3M6ZzZLCL8C&printsec=frontcover ; Judith Hadley, The Cult of Asherah in Ancient Israel and Judah: Evidence for a Hebrew Goddess, https://books.google.fr/books?id=teiYbFCsZWAC&printsec=frontcover ; Asphodel Long, The Goddess in Judaism - An Historical Perspective, http://www.asphodel-long.com/html/goddess_in_judaism.html), accessible à https://docs.google.com/file/d/0B96SdDtRAES6NDk4N2FlYWItNmZlYS00M2Q5LWIyOTktYTM1Yzg5OThjZjQ3/ : « The Hebrew Goddess » prouve que la religion hébraïque, loin d’être purement monothéiste, comprenait dans les premiers temps des éléments polythéistes marqués, dont le principal était le culte de la Déesse Mère. Est notamment mise en exergue la centralité de la Déesse Mère dans l’ésotérisme juif, la Kabbale, c’est-à-dire dans la partie la plus profonde et fondamentale du judaïsme. Ajoutons, puisque ce que l’on appelle l’« ésotérisme » est abordé, qu’il en va de même pour la franc-maçonnerie, l’ésotérisme musulman et l’ésotérisme chrétien, voir respectivement William Bond, Freemasonry And The Hidden Goddess, http://masongoddess.blogspot.fr/ ; Laurence Galian, The Centrality Of The Divine Feminine In Sufism, http://home.earthlink.net/~drmljg/id8.html ; Timothy Freke, Peter Gandy, Jesus and the Lost Goddess: The Secret Teachings of the Original Christians, https://books.google.fr/books?id=swM_6ufZ2P4C&printsec=frontcover.
Ajoutons aussi que ceci permet de mieux comprendre ce qui se terre dans l’idéologie des abrahamismes et de leurs dérivés modernes que sont entre autres le libéralisme (voir Gene Heck, Charlemagne, Muhammad, and the Arab Roots of Capitalism, https://scribd.com/doc/54795008/Charlemagne-Muhammad-the-Arab-Roots-of-Capitalism ; Max Weber, L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, http://classiques.uqac.ca/classiques/Weber/ethique_protestante/Ethique.html ; Werner Sombart, Les juifs et la vie économique, http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/02/25/Sombart-Werner-Les-juifs-et-la-vie-economique) et le communisme (voir Dom Hisoard, La propriété et la communauté des biens depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, https://books.google.fr/books?id=VkgOAAAAYAAJ&printsec=frontcover, https://books.google.fr/books?id=iOw8AAAAcAAJ&printsec=frontcover). D’ailleurs, le capitalisme libéral spéculatif et le communisme, loin d’être en opposition, se complémentent dans l’ « État » Providence « managérial » moderne, machine imparfaite censée devenir parfaite, issue de la doctrine du « Progrès », elle-même issue de spéculations théologiques d’auteurs chrétiens, en particulier de Joachim de Flore, de Nicolas Malebranche et de l’abbé Charles-Irénée Castel de Saint-Pierre (voir Frédéric Rouvillois, L’invention du progrès).
Quant à la symbolique de la franc-maçonnerie, de l’islam et du christianisme, elle est principalement celle de la Déesse Mère négro-sémite, comme il a été expliqué entre autres à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2013/03/19/mon-nom-est-personne/ et https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/08/19/isis-1/, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/02/27/isis-2/, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/07/04/isis-3/. Concernant le judaïsme, la symbolique de la Déesse Mère négro-sémite y est également présente : Voir, par exemple, Asphodel Long, Asherah, the Tree of Life and the Menorah : Continuity of a Goddess symbol in Judaism?, http://www.asphodel-long.com/html/asherah.html.
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Si les abrahamistes, les franc-maçons, les membres des innombrables sectes et sociétés secrètes (et également les satanistes) savaient que le « Dieu » qu’ils vénèrent sous une pléthore de noms masculins est en fait un travestissement de la Déesse Mère négro-sémite, divinité foncièrement anti-aryenne, et que le projet auquel ils participent est celui du retour à l’indifférencié, il n’est pas dit qu’ils changeraient leurs positions. En effet, un « homme » féminin est un « homme » féminin.
En ce qui concerne les enseignements du christianisme, de l’islam, de la franc-maçonnerie et de toutes les sectes et sociétés secrètes apparentées, il faut être stupide pour ne pas se rendre compte que leur enseignement est également matriarcal. Ceci est particulièrement évident à la lecture du Nouveau Testament, singulièrement quand on sait qu’on y retrouve le triptyque de la République judéo-maçonnique matriarcale : « Liberté, égalité, fraternité ». « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. » (Galates 5:1), « Que votre abondance donc supplée maintenant à leur indigence, afin que leur abondance serve aussi à votre indigence, et qu’ainsi il y ait de l’égalité. » (Corinthiens 8:14), « Mais vous, ne vous faites pas appeler « Maître ». En effet, vous avez un seul Maître et vous êtes tous frères. » (Matthieu 23:8).
On consultera de plus https://christianitydebunked.wordpress.com/, qui est une collection de passages du Nouveau Testament qui montre le caractère particulièrement monstrueux, ignoble et anti-aryen du christianisme.
Prenons par exemple les deux passages suivants du Nouveau Testament, que des illuminés (et c’est le cas de le dire, puisque, bien avant Adam Weishaupt, dont dans une de ses correspondances avec un autre membre des Illuminés de Bavière, il affirme que le Christ est « le Grand Maître de notre ordre », et dans une autre que « La franc-maçonnerie est du christianisme dissimulé » [voir https://web.archive.org/web/20190329105519/http://www.freemasonrywatch.org/illuminati.html, qui présente une traduction en anglais de lettres issues de « Nachtrag von weitern Originalschriften, welche die Illuminatensekte überhaupt », https://archive.org/details/nachtragvonweite121duke, recueil de lettres saisies par les autorités bavaroises chez des membres de la secte des Illuminés de Bavière], ce furent les chrétiens qui se désignèrent comme « illuminés » [voir Clément d’Alexandrie, Le Pédagogue, I, 6 ; Luc 11:36 ; Jean 1:9 ; 1 Corinthiens 4:5 ; Éphésiens 1:18 ; 3:9 ; 2 Timothée 1:10 ; Hébreux 6:4 ; 10:32 ; Apocalypse 18:1 ; 21:23]) vont pouvoir, par leur habituel « charabia » théologique (une discipline inconnue des premiers aryens et intrinsèquement non-aryenne, mais en particulier sémitique) constitué d’un mélange de pirouettes rhétoriques et de mauvaise foi sorti d’esprits schizophrènes, nous expliquer :
« Un homme avait deux fils; et, s'adressant au premier, il dit: Mon enfant, va travailler aujourd'hui dans ma vigne. Il répondit: Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla. S'adressant à l'autre, il dit la même chose. Et ce fils répondit: Je veux bien, seigneur. Et il n'alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père? Ils répondirent: Le premier. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, les publicains [les collecteurs de taxes] et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. Car Jean est venu à vous dans la voie de la justice, et vous n'avez pas cru en lui. Mais les publicains [les collecteurs de taxes] et les prostituées ont cru en lui; et vous, qui avez vu cela, vous ne vous êtes pas ensuite repentis pour croire en lui. » (Matthieu 21:28-32)
« [J]e suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison. » (Matthieu 10:35-36)
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Concernant le cas des Templiers, importateurs de la finance sémitique en Europe et promoteurs de la prétendue « République universelle », idée absurde et anti-aryenne qu’ils ramenèrent de ce qui a pris méliorativement, sous l’effet du christianisme, le nom d’« Orient », on pourra lire Michael Tsarion, Power of the Templars, http://www.femaleilluminati.com/article-2.html ; Robert William Billings, Architectural Illustrations and Account of the Temple Church, http://www.themasonictrowel.com/ebooks/freemasonry/eb0042.pdf et Armand Neut, La franc-maçonnerie soumise au grand jour de la publicité, à l’aide de documents authentiques, https://archive.org/details/LaFrancMaonnerieSoumiseAuGrandJourDeLaPublicittLaideDeDocumentsAuthentiquesVol11866. Il y est exposé que les enseignements et pratiques des Templiers se rapportaient directement au culte de la Déesse Mère négro-sémite, en particulier probablement d’Isis.
Tous ces cultes religieux lunaires (au sens évolien du terme) matriarcaux et négro-asiatiques, basés sur la dévotion, le sentiment, l’émotion, la superstition et la croyance, qui trouvent leur source dans l’(infra-)psychique et dont sont d’ailleurs issus les abrahamismes, se subdivisent indéfiniment en raison de leur nature lunaire pour s’opposer les uns aux autres et sont par conséquent de véritables graines de discorde. De leur côté, les cultes solaires spirituels aryens patriarcaux, basés sur le rite, le symbole et le sang dans le sens métaphysique du terme sont une illustration du génie racial aryen en tant qu’ils sont des facteurs de cohésion familiale, villageoise, clanique, tribale, « nationale » et impériale. Le culte romain originel, comme l’a expliqué Julius Evola, est celui qui était resté le plus fidèle au culte aryen primordial.
Pour conclure, je citerai le passage suivant de « La grande déesse » de Jean Markale : « Les gnostiques se saisirent en effet comme d’une proie de la notion de « Jérusalem céleste », image symbolisant l’humanité future complètement rédimée. Puis, par voie de comparaison, ils en vinrent à mettre en valeur l’assemblée elle-même des participants à cette Jérusalem céleste, autrement dit l’Ecclesia, l’Église (« assemblée » au sens étymologique). C’est Jésus lui-même qui fait allusion à cette Jérusalem céleste, et il en parle toujours en termes qui insistent sur la féminité de cette assemblée d’élus. Paul en reprend l’image et l’appellation, et il la définit comme « notre mère », ce qui explique et justifie l’expression bien connue et employée n’importe comment par la suite : « notre sainte mère l’Église ». Il ne s’agit en effet pas le moins du monde d’une Église institutionnelle avec ses hiérarchies, ses règlements et aussi ses aberrations justement discutables, mais de l’assemblée, de la collectivité, de la « communion des saints » [NDLR : Ce qui correspond à « Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » (Galates 3:28)]. Et, dans toutes les traditions, cette communauté est représentée par l’image d’une femme, à la fois mère, épouse ou amante, sœur et fille. Ainsi en est-il d’Isis, de Cybèle et d’un personnage devenu romanesque comme la reine de Guenièvre qui, avant de représenter sa propre individualité, reste la permanente incarnation du groupe social et quasi mystique dont elle est le centre absolu.
On comprend alors comment ce concept d’assemblée d’élus, en quelque sorte épouse et mère du Christ, en même temps que sa fille, s’est lentement identifié au personnage concret de Miriâm, mère de Jésus, mais également mère de tous les hommes. Et si Miriâm est la mère de tous les hommes, être féminin parfaitement historique ou parfaitement historicisé (comme on voudra, le résultat étant identique), elle ne pouvait être saisie de façon sensible que sous un aspect connu et reconnaissable : de là vient qu’elle acquit très tôt, compte tenu d’une savante censure, les caractéristiques essentielles dévolues autrefois à la Grande Déesse universelle, mère de tous les dieux et de tous les hommes. »
Cordialement.
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Bonjour,
Après avoir expliqué dans les précédents messages que le triptyque maçonnique « Liberté, égalité, fraternité », constituant les pseudo-« principes » fondamentaux de la République judéo-maçonnique matriarcale (ainsi que des sectes et sociétés secrètes apparentées), trouve son origine dans le christianisme, puis à son tour dans le judaïsme, dans la philosophie sémitique dite « grecque » (en particulier dans le stoïcisme et le cynisme) et dans les cultes négro-sémitiques foncièrement matriarcaux, examinons le sujet de la laïcité maçonnique et républicaine.
Il se trouve que la laïcité maçonnique remonte aux enseignements du christianisme puisque premièrement, « André Gounelle rappelle que lors des discussions sur la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905 en France, Aristide Briand se référa plusieurs fois à ce passage de l’évangile de Marc et il estime que certains chrétiens, avec les stoïciens, ont été parmi les premiers à nier que l’État ait un rôle déterminant à jouer dans la relation de Dieu avec les êtres humains, de sorte que l’expression peut aussi signifier l’idéal de laïcité. C’est le titre d’un article de Joseph Malègue, « Il faut rendre à César… » (dans « Tendances Liège », décembre 1936) où celui-ci en fait l’éloge. » (https://web.archive.org/web/20140811233340/https://fr.wiktionary.org/wiki/rendre_%C3%A0_C%C3%A9sar_ce_qui_est_%C3%A0_C%C3%A9sar).
Deuxièmement, la laïcité est effectivement l’application au domaine religieux de « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. » (Marc, XII, 13-17 ; Matthieu, XXII, 21 ; Luc, XX, 25).
Troisièmement, la liberté de religion, dogme de la « laïcité », est d’origine chrétienne. Bien avant d’être inscrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ; bien avant d’être incluse dans La loi de séparation des Églises et de l’État en 1905 ; bien avant d’être reprise dans la Constitution française de 1958, puis dans La Convention européenne des droits de l’homme, elle figurait dans l’édit de Milan (313), où Constantin et Lucinius, y « étant heureusement réunis » et ayant naturellement « en vue tout ce qui intéresse l’utilité de la sécurité publique [avaient pensé] que, parmi les autres décisions profitables à la plupart des hommes, il faut en premier lieu placer celles qui concernent le respect dû à la Divinité et ainsi donner aux chrétiens, comme à tous, la liberté de pouvoir suivre la religion que chacun voudrait […] ».
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Quatrièmement, la « laïcité » est elle-même une distillation du substrat primitif des abrahamismes (voir, pour l’emploi récurrent du vocabulaire religieux en politique à l’époque moderne aux Etats-Unis, Lucia Bergamasco, « Évangélisme et politique dans la jeune République », Transatlantica 1, 2002, consultable à l’adresse suivante : http://transatlantica.revues.org/505 ; Mark A. Noll et Luke E. Harlow (éds.), « Religion and American Politics: From the Colonial Period to the Present », Oxford University Press, 2e éd., 2007 ; David C. Leege et Lyman A. Kellstedt, « Rediscovering the Religious Factor in American Politics », M.E. Sharpe, Inc., 1993 , en ce qui concerne la France, le promoteur principal de la « laïcité », l’anticlérical Ferdinand Buisson (1842 – 1931), cofondateur et président de la Ligue des Droits de l’Homme, dont les statuts sont une resucée des Évangiles (voir Port Saint Nicolas, « Fondements bibliques des Droits de l’homme », http://www.portstnicolas.org/article1856 ; Port Saint Nicolas, « Eclairage biblique sur la Déclaration universelle des droits de l’homme », http://www.portstnicolas.org/article1855 ; Alain Goldmann, « Les sources bibliques des droits de l’homme », http://www.cairn.info/revue-pardes-2001-1-page-155.htm ; André Gounelle, « Fondements bibliques des droits de l’homme », http://www.theovie.org/Conjuguer-le-passe-au-present/Les-memes-droits-pour-tout-le-monde-Chretiens-et-Droits-de-l-Homme/La-Bible-a-t-elle-quelque-chose-a-dire/Aller-plus-loin/Fondements-bibliques-des-droits-de-l-homme), ne déclara-t-il pas : « La religion de Jésus est la religion de chaque citoyen républicain » ? (voir http://www.seuil.com/livre-9782020985215.htm). Voir également les extraits de livres du juif franc-maçon Vincent Peillon lisibles à https://fr.wikiquote.org/wiki/Vincent_Peillon, où il y est notamment écrit que la République doit « arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » afin d’« opérer ce miracle de l’engendrement par lequel l’enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré-républicaines, va s’élever jusqu’à devenir le citoyen, sujet autonome », ce qui correspond à Éphésiens 4:22-24, qui affirme que le christianisme doit « vous dépouiller, eu égard à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l’esprit de votre intelligence, et à revêtir l’homme nouveau ». Quelle en est la finalité ? L’avènement du mélangé racial androgyne qui, sous le prétexte de l’idolâtrie de la notion abstraite de « Progrès », par ce que l’on appelle la science appliquée et la technologie (d’origines non-blanche), et sous la direction des forces infra-humaines qui dirigent le monde par le biais de leurs agents infra-humains, est voué à être transformé en une machine, une bête, un végétal. Il s’agit du prétendu « transhumanisme ».
En conclusion, on peut affirmer que le christianisme, qui utilisa, comme expliqué dans le prochain paragraphe, la laïcité pour affaiblir les cultes non-chrétiens dans l’empire romain, en est venu, finalement, à l’instigation entre autres de la franc-maçonnerie, à être miné par cette même laïcité.
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Quant à Constantin (un efféminé qui se convertit au christianisme sous l’effet de prétendues visions ; qui portait des robes de soie brochées d’or et était couvert de perles, de pierres précieuses, de colliers, de bracelets, etc. ; qui, dans l’architecture, révérait les courbes, formes féminines répandues dans l’architecture des non-blancs, en particulier des Sémites, avec leurs dômes qui rappellent autant que possible la forme d’un sein), premier empereur chrétien et également premier empereur à avoir promu la religion chrétienne en tant que culte d’État, tout en concédant que les cultes non-chrétiens seraient tolérés, ce ne fut aucunement, comme l’a indiqué Lucien Jerphagnon dans « Histoire de la Rome antique », une marque de bienveillance à l’égard de ces cultes et de leurs adeptes, mais dû simplement au fait que les chrétiens étaient à son époque encore assez peu majoritaires dans l’empire romain, et que l’interdiction de tout autre culte que le christianisme aurait alors déclenché à minima de graves troubles dans l’empire romain, voire une guerre civile et des sécessions, y compris au sein de l’armée romaine.
Les chrétiens utilisèrent donc cette forme de laïcité afin de pouvoir continuer à tranquillement progresser dans la christianisation de l’empire romain tout comme les musulmans utilisent aujourd’hui la laïcité afin de pouvoir continuer à tranquillement progresser dans l’islamisation de ce qui a pris péjorativement, sous l’effet du christianisme, le nom d’« Occident ».
De toute façon, à l’époque de Constantin, l’empire romain était déjà largement majoritairement peuplé de Sémites et non-blancs pratiquant des cultes négro-sémites (comme l’est le christianisme), et il ne restait plus qu’une (très) petite minorité de Romains Aryens (aristocrates) qui étaient restés fidèles au culte originel du mos majorum.
La fin du culte originel du mos majorum fut promulguée par l’interdiction de Théodose des cultes non-chrétiens. Il est vrai que l’on était alors bien loin de l’édit d’Auguste interdisant les cultes orientaux à Rome et de celui de Tibère interdisant le judaïsme en Italie, bien qu’il ne s’agisse ici que d’un simple problème religieux et non racial, et que le problème primordial n’est pas d’ordre religieux mais racial ; ce qu’il aurait donc fallu faire aurait été d’interdire les « Orientaux » et plus généralement les non-blancs dans l’empire romain.
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Anecdotiquement, par rapport aux origines négro-sémites du christianisme, le Magistère infaillible de l'Église catholique a de tout temps affirmé que, lors de l’eucharistie, le vin censé être le sang du Christ et l’hostie la chair du Christ sont au sens PROPRE le sang du Christ et la chair du Christ, faisant des catholiques des cannibales du fait que le Christ est à la fois Dieu et homme selon le christianisme, et plus précisément Fils de Dieu dans le catholicisme (qui nous explique, avec son dogme de la Trinité [qui remonte, comme l’a montré Yoel Nathan dans son ouvrage « The Jewish Trinity. When Rabbis Believed in the Father, Son and Holy Spirit », http://www.yoel.info/TheJewishTrinity.pdf, ainsi que dans « The Jewish Trinity Sourcebook », http://www.yoel.info/sourcebook_2003_1_of_7.pdf, au judaïsme et à la religion hébraïque, religion hébraïque qui a elle-même certainement reprise la conception trinitaire au polythéisme syncrétique matriarcal centré sur la Déesse Mère dont elle est issue, les Déesses Mères étant fréquemment trinitaires] que l’unité est multiple et que la multiplicité est une). Affirmer que le vin ne contient le sang du Christ et l’hostie la chair du Christ qu’au sens figuré est une hérésie d’après l’enseignement théologique de l’Église catholique. Il s’agit d’une des pratiques qui révèlent ce que le christianisme doit aux cultes négro-sémitiques.
Cordialement.
5f22fa No.50466
Post-scriptum :
Additionnellement aux ouvrages déjà cités sur l’islam et le christianisme, on peut indiquer :
A) Max Cabantous, La création de l'islam, http://www.histoireebook.com/index.php?post/Cabantous-Max-La-creation-de-l-Islam.
Il s’agit d’un ouvrage critique de l’historiographie de l’islam.
B) Michael Cook, Patricia Crone, Hagarism; The Making Of The Islamic World
https://archive.org/details/Hagarism
Il s’agit d’une étude polémique des origines de l’islam. Par l’examen de sources non-musulmanes, les auteurs montrent le lien intime entre la religion juive et l’islam des origines.
C) Benedikt Koehler, Early Islam and the Birth of Capitalism, https://ribanomics.files.wordpress.com/2018/02/early-islam-and-the-birth-of-capitalism-benedikt-koehler.pdf.
Il s’agit d’une étude prouvant que le capitalisme se développa originellement en Arabie, sous l’influence de l’islam, et non pas dans les Cites-États italiennes de la fin du « Moyen Âge ». Les théories, institutions et pratiques financières, commerciales et économiques islamiques en vinrent à être adoptées par Venise et Gênes, où elles furent ensuite adaptées et développées, avant de se répandre dans le reste de l’Europe.
D) Alexander Hislop, Les deux Babylones, http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/07/30/Hislop-Alexander-Les-deux-Babylones
Il s’agit d’une étude polémique visant à montrer ce que l’ Église doit aux cultes négro-sémites. Elle a en partie été réfutée.
E) Louis Newman, Jewish Influence On Christian Reform Movements
https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.191337
Une étude de l’influence juive sur les mouvements réformateurs, ainsi que, plus généralement, sur le christianisme.
5f22fa No.50469
Deuxième post-scriptum :
Finalement, parmi les nombreux ouvrages qui pourraient être cités au sujet des influences non-blanches décisives dans la formation de cette monstruosité qu’est la civilisation « occidentale » moderne, en voici trois qui traitent de ce sujet que les prétendus « racialistes » ne veulent pas aborder :
E) John Hobson, The Eastern Origins of Western Civilization
https://epdf.tips/eastern-origins-of-western-civilisation.html
F) Sigrid Hunke, Le soleil d’Allah brille sur l’Occident
https://archive.org/details/LeSoleilDAllah
G) Joseph Needham, The Grand Titration: Science and Society in East and West
https://books.google.fr/books?id=dWL_AQAAQBAJ&printsec=frontcover
L’ouvrage et été en partie traduit en français sous le titre de « La science chinoise et l’Occident ».
5f22fa No.50677
Addendum
1) Pour en rajouter à ce que j’ai écrit à propos de l’incompatibilité entre national-socialisme et christianisme dans le message 49874, je poste cette étude titrée « Accueillir l’étranger dans la Bible », d’Emmanuel Lafont : http://www.steinbach68.org/page94.htm.
2) Il se trouve que l’édition de « L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme » de Max Weber que j’ai postée dans le message 50180 ne contient pas un autre de ses ouvrages complémentaire sur le sujet, à savoir « Les sectes protestantes et l’esprit du capitalisme ». Celui-ci est accessible à http://classiques.uqac.ca/classiques/Weber/sectes_protestantes/sectes_protestantes.html.
3) L’édition de « Les Juifs et la vie économique » de Werner Sombart que j’ai postée dans le message 50180 est incomplète. Je renvoie donc à l’édition traduite en anglais sous le titre « The Jews and Modern Capitalism », accessible à http://classiques.uqac.ca/classiques/sombart_werner/Jews_and_modern_capitalism/Jews_modern_capitalism.html.
4) Les trois ouvrages suivants d’Edwin Johnson sont les trois ouvrages fondateurs de l’étude des origines du christianisme :
Antiqua Mater: A Study of Christian Origins, https://archive.org/details/antiquamaterast01johngoog.
The Rise of Christendom, https://archive.org/details/riseofchristendo00johniala.
The Pauline Epistles: Re-studied and Explained, https://web.archive.org/web/20110719074724/http://www.radikalkritik.de/PaulEpistles.pdf.
5) L’ouvrage « Against the Galileans » de l’empereur Julien, accessible à https://en.wikisource.org/wiki/Against_the_Galileans, expose une critique du christianisme.
6) Afin de faire contrepartie à l’« Histoire des Perses » d’Arthur de Gobineau, je propose « The History of Aryan Rule in India » d’Ernest Havell : https://archive.org/details/historyofaryanru01have.
7) Robert Graves, « The Greek Myths », pour son exposé intégral des mythes grecs et sa discrimination, dans les mythes grecs, de ce qui est, d’un côté, d’origine pélasge, non-aryen et matriarcal, de l’autre côté, de ce qui est aryen et patriarcal : https://scribd.com/document/179831629/Robert-Graves-The-Greek-Myths-pdf.
8) « Le livre des ruses », qui est un recueil de récits de ruses écrit originellement en arabe et est très instructif quant à la ruse des Sémites et, plus généralement, des non-Aryens. Les chapitres du livre sont :
Chapitre I : Le mérite de l’intelligence et ce que l’on a dit à ce sujet
Chapitre II : L’instigation à l’emploi des ruses et la manière de les mettre œuvre
Chapitre III : La ruse de Dieu, sa bienveillance et la perfection avec laquelle Il organise les choses pour le bien de ses serviteurs
Chapitre IV : Les ruses des anges et des djinns
Chapitre V : Les ruses des prophètes – que le salut soit sur eux
Chapitre VI : Les ruses des khalifes, des rois et des sultans
Chapitre VII : Les ruses des vizirs, des gouverneurs et des gens de l’administration
Chapitre VIII : Les ruses des juges, des témoins honorables et des procureurs
Chapitre IX : Les ruses des jurisconsultes
Chapitre X : Les ruses des hommes pieux et de ceux qui pratiquent l’ascèse
Le livre n’est pas disponible en ligne mais un compte rendu est accessible à https://web.archive.org/web/20160830205849/querellesdorient.fr/le-livre-des-ruses-la-strategie-politique-des-arabes-an/. Le livre prouve également la fable d’Ésope « Le chariot d’Hermès et les Arabes » : https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/11/20/le-chariot-dhermes-et-les-arabes/.
5f22fa No.50689
5f22fa No.51083
Deuxième addendum
Afin de faire contrepartie à « L’Amérique juive » de Pierre-Antoine Cousteau, on peut citer « La Russie juive » de Kalixt de Wolski : https://archive.org/details/larussiejuive00wols.
5f22fa No.51141
Troisième addendum
Additionnellement à « Anatomie du pouvoir féminin, une dissection masculine du matriarcat », indiqué en dix-septième place de la liste précédente, on peut citer :
A) Esther Vilar, The Manipulated Man.
https://www.naturalthinker.net/trl/texts/Vilar,Esther/The_manipulated_man.pdf
https://archive.org/details/TheManipulatedMan1971-EsterVilar
B) Esther Vilar, The Polygamous Sex.
https://archive.org/details/ThePolygamousSexAMansRightToTheOtherWoman-EstherVilar1976
C) Esther Vilar, Das Ende der Dressur: Modell für eine neue Männlichkeit.
https://books.google.fr/books?id=2MEXDAAAQBAJ&printsec=frontcover
D) Simon Sheppard, All About Women: What Big Sister Doesn't Want You To Know.
https://archive.org/details/AllAboutWomenWhatBigSisterDoesntWantYouToKnowSimonSheppard1998
Pour information, Simon Sheppard est l’administrateur de http://www.heretical.com/.
E) Simon Sheppard, Sex & Power - A Manual on Male-Female Relations.
https://archive.org/details/SexPower-AManualOnMale-FemaleRelations2014-SimonSheppard
F) Simon Sheppard, The Tyranny of Ambiguity.
https://archive.org/details/TheTyrannyOfAmbiguity-AnAccountOfTheDevelopmentOfASystemOfHumanBehaviourAnalysis
G) Jack Kammer, If Men Have All the Power How Come Women Make the Rules.
https://archive.org/details/IfMenHaveAllThePowerHowComeWomenMakeTheRulesAndOtherRadicalThoughtsForMenWhoWant
H) Lawrence Shannon, The Predatory Female.
https://archive.org/details/ThePredatoryFemaleAFieldGuideToDatingAndTheMarriageDivorceIndustry1986LawrenceShannon
I) Andey Randead, The Great Female Con.
https://archive.org/details/TheGreatFemaleConTheBookEveryFemaleDoesNotWantHerManToRead2006AndeyRandead
J) Matthew Fitzgerald, Sex-Ploytation.
https://archive.org/details/SexPloytationHowWomenUseTheirBodiesToExtortMoneyFromMen1999MatthewFitzgerald
5f22fa No.51302
Quatrième addendum
A) Eustace Mullins, The Secrets of the Federal Reserve.
https://archive.org/details/pdfy-LzPJrXY17uzk3bu9
Il s’agit d’une édition plus récente que celle que j’ai proposée en cinquante-sixième place de la liste précédente.
B) Eustace Mullins, The Federal Reserve Conspiracy.
https://archive.org/details/pdfy-Yc5BED-gpTNRjLh6
En premier complément de « Les secrets de la réserve fédérale ».
C) Eustace Mullins, The Biological Jew.
https://archive.org/details/Mullinseustace-TheBiologicalJew1967Incl.Biblio.pdf
En second complément de « Les secrets de la réserve fédérale ».
D) Eustace Mullins, Mullins' New History of the Jews.
https://archive.org/details/MullinsNewHistoryOfTheJews1968
En troisième complément de « Les secrets de la réserve fédérale ».
E) Eustace Mullins, The World Order, A Study in the Hegemony of Parasitism.
https://archive.org/details/EustaceMullins-TheWorldOrderAStudyInTheHegemonyOfParasitism1985
En quatrième complément de « Les secrets de la réserve fédérale ».
F) Eustace Mullins, The World Order, Our Secret Rulers.
https://archive.org/details/EustaceMullinsTheWorldOrderOurSecretRulers2ndEdition1992
En cinquième complément de « Les secrets de la réserve fédérale ».
G) Henry Ford, The International Jew.
https://archive.org/details/TheInternationalJewByHenryFord1920
H) James Combs, Tolerance: Jewry's War On Whites.
https://archive.org/details/ToleranceJewrysWarOnWhites199-JamesCombs
I) Maurice Samuel, You Gentiles.
http://www.balderexlibris.com/index.php?post/2012/08/18/Samuel-Maurice-You-Gentiles
Un juif dit ce qu’il pense des non-juifs.
J) Richard Fuerle, Erectus Walks Amongst Us.
https://archive.org/details/ErectusWalksAmongstUsTheEvolutionOfModernHumans2008-RichardFuerle
Un livre assez intéressant sur les nègres et les différences entre les races, bien qu’écrit d’un point de vue évolutionniste.
5f22fa No.51303
K) Le premier volume de « March of the Titans: The Complete History of the White Race » d’Arthur Kemp est disponible à https://archive.org/details/HistoryVolumeI, pour se donner une idée du livre. Je recommande toutefois d’acheter l’édition intégrale en un volume de l’ouvrage, afin de soutenir l’auteur, à http://marchofthetitans.com/.
L) Kersey Graves, The World's Sixteen Crucified Saviors or Christianity Before Christ.
https://archive.org/details/TheWorldsSixteenCrucifiedSaviorsOrChristianityBeforeChrist1875-KerseyGraves
En complément de « Bible Myths And Their Parallels In Other Religions », proposé en vingt-neuvième place de la liste précédente.
M) Christine Johns, Christianity Exposed.
https://archive.org/details/ChristianityExposed1985_20160416
Il s’agit d’un ouvrage critique de l’historiographie du christianisme.
N) Ralph Perier, Christianity - A Religion for Sheep.
https://archive.org/details/Christianity-AReligionForSheep1980-RalphPerier
Une critique du christianisme.
O) William Simpson, Which Way Western Man ?
https://archive.org/details/WhichWayWesternMan1978-WilliamGayleySimpson
Un livre politique assez intéressant.
P) Savitri Devi, Souvenirs et réflexions d'une aryenne.
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/03/07/Savitri-Devi-Souvenirs-et-reflexions-d-une-aryenne
Ensemble d’essais qui contiennent des considérations assez intéressantes.
Q) Matthew Hale, Ending White Slavery.
https://archive.org/details/EndingWhiteSlavery2015-MatthewHale
R) Matthew Hale, The Racial Loyalist Manifesto.
https://archive.org/details/TheRacialLoyalistManifesto2016-MatthewHale
5f22fa No.51307
S) Gustave Le Bon, Psychologie des foules.
http://classiques.uqac.ca/classiques/le_bon_gustave/psychologie_des_foules_PUF/psychologie_des_foules.html
Un ouvrage classique de sociologie.
T) Edward Bernays, Propaganda. Comment manipuler l'opinion en démocratie.
http://data0.eklablog.com/ae-editions/perso/bibliotheque%20-%20pdf/bernays%20-%20propaganda.pdf
Une traduction préfacée et annotée du premier chapitre est également lisible à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/09/13/de-la-propagande-en-democratie/.
U) Paul Friedland, Political Actors: Representative Bodies and Theatricality in the Age of the French Revolution.
https://books.google.fr/books?id=ts0v9ce9Jq8C&printsec=frontcover
Il s’agit d’un ouvrage pionnier très important qui prouve que ce que l’on appelle « démocratie représentative » est du théâtre au sens propre du terme. Accessoirement, il montre que le théâtre, tel qu’il était devenu avant la « Révolution française », fut un précurseur de ces imbécilités que sont les films, les séries télévisées, les dessins animés et le reste des contenus médiatiques apparentés, contenu médiatique qui en vient dorénavant à culminer dans cet oxymore qu’est la prétendue « réalité virtuelle », parfaitement adaptée à l’individu contemporain schizophrène et foncièrement passif. Voici la présentation de l’ouvrage qui est écrite sur la quatrième de couverture :
« From the start of the French Revolution, contemporary observers were struck by the overwhelming theatricality of political events. Examples of convergence between theater and politics included the election of dramatic actors to powerful political and military positions and reports that deputies to the National Assembly were taking acting lessons and planting paid "claqueurs" in the audience to applaud their employers on demand. Meanwhile, in a mock national assembly that gathered in an enormous circus pavilion in the center of Paris, spectators paid for the privilege of acting the role of political representatives for a day.Paul Friedland argues that politics and theater became virtually indistinguishable during the Revolutionary period because of a parallel evolution in the theories of theatrical and political representation. Prior to the mid-eighteenth century, actors on political and theatrical stages saw their task as embodying a fictional entity - in one case a character in a play, in the other, the corpus mysticum of the French nation. Friedland details the significant ways in which after 1750 the work of both was redefined. Dramatic actors were coached to portray their parts abstractly, in a manner that seemed realistic to the audience. With the creation of the National Assembly, abstract representation also triumphed in the political arena. In a break from the past, this legislature did not claim to be the nation, but rather to speak on its behalf. According to Friedland, this new form of representation brought about a sharp demarcation between actors - on both stages - and their audience, one that relegated spectators to the role of passive observers of a performance that was given for their benefit but without their direct participation. Political Actors, a landmark contribution to eighteenth-century studies, furthers understanding not only of the French Revolution but also of the very nature of modern representative democracy. »
En complément, au sujet de la « théâtrocratie » et du rôle prépondérant qu’a joué la religion chrétienne dans l’apparition de cette dernière, voir https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/04/20/theatrocratie-1/, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/07/14/theatrocratie-2/, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/09/30/theatrocratie-3/.
5f22fa No.51308
V) Connexement à « Le livre des ruses », à « Propaganda. Comment manipuler l'opinion en démocratie », et à « Political Actors: Representative Bodies and Theatricality in the Age of the French Revolution », voir également « Machiavelli's Arab Precursor: Ibn Zafar al-Siqilli » à https://www.jstor.org/stable/826088, https://scribd.com/document/325834615/Machiavelli-s-Arab-Precursor-Ibn-Zafar-al-Siqilli.
« Virtually unknown to contemporary Western scholars and most Arab intellectuals is the political thought of Ibn Zafar al-Siqilli, a distinguished Arab philosopher and political activist of the twelfth century. First discovered in mid-nineteenth century by an Italian Arabist, Ibn Zafar was considered a worthy precursor to Machiavelli by Gaetano Mosca. This paper presents an analysis of Ibn Zafar's theories of power and leadership and draws relevant parallels between Ibn Zafar's magnum opus, Sulwidnal-Muta', and Machiavelli's Prince. Written in the genre of 'advice to theprince', Ibn.Zafar's book offers an empirical analysis of power and a set of maxims and strategies to be used by a virtuous ruler in order to preserve his power and secure his realm. It will be shown that Ibn Zafar's maxims, likeMachiavelli's, transcended his historical milieu and therefore, deserve attention by modern students of Arab political thought. »
Le passage suivant est particulièrement intéressant :
« Hila.The employment of Hila (ruse or artifice) or a stratagem based on guile and trickery, is proposed by Ibn Zafar as a possible alternative to the use of force. Indeed, it was Ibn Zafar's advocacy of artifice that prompted Mosca to view the Sicilian Arab as a precursor of Machiavelli. Clearly, for Ibn Zafar, who so often preached truth and morality, the use of artifice is a contradiction. But he resolves it by stating that the end justifies the means, i.e.the use of falsehood is permitted, but only for raison d'état:
Falsehood is like unto poisons, which cause death if they are used alone, but when mixed in the compounds of the apothecary, may be of service. A king may not permit falsehood except in those who use it for the good of the state. As for example: to deceive the enemy, or to conciliate the disaffected. »
5f22fa No.51340
Particulièrement intéressant parce qu'il s'agit du mode opératoire de tout régime de type démocratique.
Au sujet de « Political Actors: Representative Bodies and Theatricality in the Age of the French Revolution », on peut trouver un essai de Paul Friedland titré « Métissage : The Merging of Theater and Politics in Revolutionary France » à https://www.sss.ias.edu/files/papers/paperfour.pdf, dont il s’est servi afin de rédiger son ouvrage.
55e2b5 No.51401
Dès 1922 en Allemagne, la carte de membre du NSDAP donnait les prérequis de lecture national-socialiste ("Bücher, die jeder Nationalsozialist kennen muß").
5f22fa No.54729
Conclusion – Première partie
Dans les grandes lignes, en plus des auteurs que j’ai cités précédemment, et sur lequel on peut faire des recherches complémentaires (par exemple, Julius Evola [http://the-eye.eu/public/Books/4chan_pol_Archives/PDFs/Philosophy/Julius%20Evola/ ; http://the-eye.eu/public/Books/Temple_Of_Solomon_The_King/Evola/] et Hans Günther ont rédigé d’autres ouvrages qui ont trait à la race), on pourra se renseigner sur les auteurs suivants :
1) Achibald Ramsay, The Nameless War
2) Alexandre Netchvolodov, L'empereur Nicolas II et les Juifs
3) Alexandre Soljénitsyne (« Deux siècles ensemble »)
4) Alphonse Toussenel, Les juifs rois de l'époque: histoire de la féodalité financière.
5) Andrey Diky (Andrey Zankevich), Jews in Russia and the USSR
6) André Baron, Les sociétés secrètes. Leurs crimes.
7) Anonyme, Les juifs, ennemis de la nation, https://scribd.com/doc/32634352/Ennemis-de-La-Nation (voir également « Les juifs qui dominent et détruisent la France », http://www.der-stuermer.org/french/Ils%20sont%20partout.pdf.
8) Anonyme, Les protocoles des sages de Sion (avec éventuellement, en complément, « La genèse des protocoles des sages de Sion »)
9) Anonyme, SS Race Theory and Mate Selection Guidelines
10) Anonyme, The Radical Homosexual Movement Is Run By Jews
11) Anonyme, The Ugly Truth About the Anti-Defamation League
12) Anonyme, Who Brought the Slaves to America ?
13) Arnold Leese
14) Auguste Chirac, Les Rois de la République. Histoire des juiveries.
15) Bernard Marillier, Le Svastika, petite bibliothèque des symboles.
16) Bruno Gheerbrant (pour son livre « Le racisme antiblanc »)
17) Carleton Stevens Coon
18) Ch. Fleury, La République juive
19) Cherep Spiridovich, The Secret World Government
20) Claude Nancy (« Les races humaines »)
5f22fa No.54730
21) Claude Wacogne, Jean Bertrand, La fausse éducation nationale – L’emprise judéo-maçonnique sur l’école française
22) Colin Jordan
23) Collectif, Der Untermensch.
24) Collectif, Fag Facts, http://www.jrbooksonline.com/PDF_Books_added2009-2/FagFacts.pdf.
25) Collectif, German Propaganda Archive : https://research.calvin.edu/german-propaganda-archive/
26) Collectif, Institut d'Étude des questions juives
27) Collectif, « Les Juifs en France » (ouvrage collectif comprenant quatre études de George Montandon, Fernand Querrioux, Lucien Pemjean et Lucien Rebat, « Comment reconnaître le Juif ? », « La médecine et les Juifs », « La presse et les Juifs », « Les tribus du cinéma et du théâtre », http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/02/26/Les-nouvelles-editions-francaise-Les-juifs-en-France-Historique-et-quatre-volumes)
28) Collectif, Missing Links. The Definitive Truth About 9/11, http://911missinglinks.com/. https://archive.org/details/TruthAbout911 (voir également Matthew Hale, « The Truth About 9-11 » ; Victor Thorn, « 9-11 Evil. Israel’s Central Role in the September 11, 2001 Terrorist Attacks »)
29) Collectif, SS Ideology. Translated from original SS Publications.
30) Collectif, sur l’eugénisme : http://the-eye.eu/public/Books/4chan_pol_Archives/PDFs/Racial%20Science/Eugenics/.
31) Collectif, sur la génétique juive : http://www.mazornet.com/genetics/ ; http://www.khazaria.com/genetics/abstracts.html ; http://www.khazaria.com/genetics/abstracts-jews.html ; https://web.archive.org/web/20140422032923/http://www.jewishgeneticdiseases.org/.
32) Collectif, The Jewish hand behind Internet.
33) D. Petrovski, La Russie sous les juifs
34) David Duke
35) Denis Fahey, The Rules of Russia
36) Dominique Setzepfandt (voir aussi, sur la symbolique matriarcale, Jordan Maxwell, « Matrix of Power » ; Alan Butler, « City of the Goddess: Freemasons, the Sacred Feminine, and the Secret Beneath the Seat of Power in Washington », DC ; Charles Westbrook, « The Talisman of the United States: The Mysterious Street Lines of Washington D.C. »)
37) Edgar Steele, In Defense of Anti-Semitism
38) Éd. Picard, Voici les vrais maîtres de la France.
39) Elizabeth Dilling, The Octopus
40) Emmanuel Chabauty (« Les juifs, nos maîtres »)
5f22fa No.54732
41) Emmanuel Ratier
42) Eric Butler, The Enemy Within the Empire
43) Ernest Belfort Bax (pour ses ouvrages contre le « féminisme »)
44) Ernest Martin (déjà cité. Pour son ouvrage « The People That History Forgot. The Mysterious People Who Originated World’s Religions », http://www.askelm.com/people/index.asp.)
45) Étienne Casanova, Jean-Louis Stepanov, Les origines masquées du bolchevisme
46) Eugen Fischer (« Racial Origin and Earliest Racial History of the Hebrews »)
47) Eugene Michael Jones, The Jewish Revolutionary Spirit and Its Impact on World History
48) Fayolle-Lefort (« Les juif, cet inconnu »).
49) François Trocase, L’Autriche juive.
50) Frank Britton (« Behind Communism »)
51) Friedrich Jünger (dont j’ai fait une traduction annotée de son ouvrage majeur « Die Perfektion der Technik » à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/04/17/le-zenith-de-la-technique/ et https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/03/31/le-zenith-de-la-technique-2/. Voir également « Les titans et les dieux » [https://www.theoccidentalobserver.net/2014/03/20/friedrich-georg-junger-the-titans-and-the-coming-of-the-titanic-age/ ; http://archaion.hautetfort.com/archive/2006/12/14/friedrich-georg-junger.html ; https://www.polemia.com/les-titans-et-les-dieux-de-friedrich-georg-junger/], et, plus généralement http://vouloir.hautetfort.com/archive/2010/08/31/fgj.html)
52) Friedrich Wiebe, Germany and the Jewish Problem
53) Fritsch Theodor, The riddle of the jew's success.
54) Fritz Weitzel, The Celebrations In The Life Of The SS Family
55) Gaston-Armand Amaudruz
56) George Armstrong (« Rothschild Money Trust »)
57) George Cohen, The Jews in the making of America.
58) George Montandon
59) George Wesley (« The Biology of the Race Problem »)
60) Georges Batault (notamment pour « Israël contre les nations »)
5f22fa No.54734
61) Georges Dumézil
62) Georges Ollivier, L’accession des juifs au pouvoir.
63) Georges Vacher de Lapouge
64) Gottfried Feder
65) Gustave Le Bon (déjà cité. Pour son ouvrage « Lois psychologiques de l’évolution des peuples », http://classiques.uqac.ca/classiques/le_bon_gustave/lois_psycho_evolution_peuples/lois_psy_evolution_peuples.html)
66) Gustave Tridon, Du molochisme juif
67) Hanns Andersen, J. Keller (« The Jew As Criminal »)
68) Harold Covington
69) Henri Faugeras
70) Henri Labroue, Voltaire antijuif, https://archive.org/details/VoltaireAntijuif.
71) Henri-Robert Petit (ou Henry-Robert Petit)
72) Henry Coston
73) Hermann Göring
74) Hervé Ryssen (dont l’ouvrage de synthèse « Understanding The Jews, Understanding Anti Semitism » est accessible à https://archive.org/details/UnderstandingTheJewsUnderstandingAntiSemitism. On trouvera également sa publication « Les origines politico-religieuses du mondialisme » à https://archive.org/details/HerveRyssen ; https://docplayer.fr/80927108-Les-origines-politico-religieuses-du-mondialisme.html ; « Cinéma sans frontières à https://archive.org/details/CinemaSansFrontieres ; « Israël et la traite des Blanches », https://archive.org/details/IsraelEtLaTraiteDesBlanches ; voir également « White Slave-girls in Israel », http://www.der-stuermer.org/white_slavegirls_in_israel.pdf)
75) Hinton Rowan Helper (« The negroes in negroland »)
76) J.-A. Mathez, Le passé, les temps présents et la question juive
77) Jacques Bordiot (Jean Costes)
78) Jacques de Mahieu
79) Jan Udo Holey (Jan van Helsing)
80) Jane Birdwood, The Longest Hatred. An Examination of Anti-Gentilism.
5f22fa No.54735
81) Jean Boyer, Les pires ennemis de nos peuples
82) Jean Drault, Histoire de l’antisémitisme
83) Jean Haudry, (déjà cité. Pour « Les peuples Indo-Européens d’Europe », http://www.histoireebook.com/index.php?post/Haudry-Jean-Les-peuples-indo-europeens-d-Europe)
84) Jean Lombard, La face cachée de l’histoire moderne
85) Jean Mabire
86) Jean Tharaud, Jérôme Tharaud, Quand israël est roi
87) Jean-Baptiste de Mirabeau, Opinions des Anciens sur les juifs.
88) Jim Harlownry, Sephardic Pirates of the Revolutionary War
89) Johann Jakob Bachofen (en particulier pour son ouvrage « Le Droit Maternel, recherche sur la gynécocratie de l'Antiquité dans sa nature religieuse et juridique »)
90) John Beaty, The Iron Curtain Over America
91) John Campbell (« Negro-mania »)
92) John Coleman (pour son ouvrage « The Tavistock Institute For Human Relations »)
93) Joseph Deniker
94) Joseph Goebbels
95) Joseph Lehmann (notamment pour « L'entrée des Israélites dans la société française », « Les juifs dans la révolution française », « La prépondérance juive ».)
96) Joseph Pomeroy Widney, Race life of the Aryan peoples
97) Jules de Gaultier (pour « Le bovarysme: la psychologie dans l’œuvre de Flaubert », dont un extrait préfacé et annoté est lisible à https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2016/07/01/sur-le-bovarysme/)
98) Jüri Lina (pour « Under the Sign of the Scorpion: the Rise and Fall of the Soviet Empire »)
99) Karl Earlson (pour « Racial History Research Website », https://www.theapricity.com/earlson/)
100) Karl Kautsky, Are the Jews a Race ?
5f22fa No.54737
101) Laurence Austine Waddell
102) Léon de Poncins (et Emmanuel Malynski, principalement pour leur ouvrage « La guerre occulte »)
103) Lothrop Stoddard (déjà cité. Pour son livre très instructif « The French Revolution in San Domingo [Haïti] » (https://archive.org/stream/frenchrevolution00stoduoft), dont William Pierce a fait un résumé à https://www.youtube.com/watch?v=pMlVJgkJpJ8, https://www.youtube.com/watch?v=G94GZvqdYnE.)
104) Louis Darquier de Pellepoix (« Le Juif »)
105) Louis Ferdinand Clauss
106) Louis Vial, Le juif roi
107) Marcel Jouhandeau, Le péril juif
108) Marcus Eli Ravage, Un vrai grief contre les juifs, http://www.histoireebook.com/index.php?post/Ravage-Marcus-Eli-Un-vrai-grief-contre-les-juifs.
109) Max Radin, The Jews among The Greeks and Romans
110) Michael Collins Piper
111) Michael Hoffman (pour « They Were White And They Were Slaves », en complément de « Who Brought the Slaves to America? »)
112) Nesta Webster (en particulier pour « The French Revolution : A Study in Democracy »)
113) Osman Bey (« The Conquest of the World by the Jews »)
114) Otmar von Verschuer (« Racial Biology of the Jews »)
115) Parti National Radical, Les Juifs qui dominent la France, https://archive.org/details/LesJuifsQuiDominentLaFrance.
116) Patrick Mignard, L'illusion démocratique
117) Paul Ferdonnet
118) René Binet
119) René Martial
120) Robert Brown (pour son livre « Semitic influence in Hellenic mythology », https://archive.org/details/semiticinfluence00brow)
5f22fa No.54738
121) Robert Davis (pour son ouvrage sur la traite des Blancs titré « Esclaves chrétiens, maîtres musulmans »)
122) Robert Edward Edmondson
123) Robert Shufeldt (« America's Greatest Problem - The Negro » ; « The Negro:A Menace to American Civilization »)
124) Roger Lambelin (« Le péril juif. L’impérialisme d’Israël » ; « Le péril juif. Les victoires d’Israël »)
125) Rolf Wiggerhaus, The Frankfurt School: Its History, Theories, and Political Significance
126) Romy Nolan, Les grandes conspirations de notre temps
127) Silas Walter Adams, The Legalized Crime of Banking
128) Stuart Landry, The Cult of Equality
129) Sun Tzu (dans la même lignée que « Le livre des ruses », pour son livre l’« art de la guerre », qui permet de bien comprendre la ruse des jaunes. De plus, sur les mongoloïdes, voir Arthur Henderson 130) Smith [en particulier, son ouvrage « Chinese Characteristics »] et Jean-Jacques Matignon [« La Chine hermétique, Superstitions, Crime et Misère »].)
131) Théo-Dœdalus, L’Angleterre juive
132) Thomas Telemachus Timayenis (« The American Jew » ; « The Original Mr. Jacobs ; Or, An Account Of The Life, Customs And Habits Of The Jews »)
133) Thomas Wilson, The Swastika
134) Wayne Macleod, The importance of race in civilization
135) Wilhelm Marr, The Victory of Judaism over Germanism
136) William Hearn, The Aryan Household
137) William Reade, Savage Africa
138) Willie Martin, 1001 Quotes About Jews
139) Xénophon (pour sa description [discutable] de Sparte et sa critique d’Athènes)
140) Yann Moncomble
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Post-scriptum :
Pour revenir au sujet du christianisme, il est stupéfiant de constater que le modèle de la plupart des chrétiens prétendument racialistes est Charles le « Grand » qui, d’un côté, fit tout ce qu’il put pour détruire le culte (qui, comme le culte aryen primordial, était racial, ethnique et se transmettait héréditairement) et les traditions des peuples germaniques, en particulier des Saxons (qui étaient potentiellement purement aryens), dont il fit massacrer l’aristocratie à Verden, au motif que celle-ci refusa la conversion au christianisme (voir Jean Mabire, « Les Vikings », chapitre I, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2011/11/03/le-sang-appelle-le-sang/), et fit condamner à la peine de mort toute personne qui refuserait la conversion au christianisme ou continuerait à observer toute pratique correspondant à leur tradition pré-chrétienne ; de l’autre côté, se montra, comme la grande majorité des rois chrétiens, bienveillant à l’égard des Juifs (voir Bernard Bachrach, « Early Medieval Jewish Policy in Western Europe »), en conclut des alliances avec plusieurs dirigeants Sémites musulmans :
« En 777, les souverains pro-abbassides du nord de l'Espagne entrèrent en contact avec les Carolingiens pour leur demander de l'aide contre le puissant califat omeyyade dans le sud de l'Espagne, toujours dirigé par Abd al-Rahman Ier. Les Abbassides espagnols trouvèrent plusieurs intérêts dans une alliance avec Pépin le Bref ; la dynastie de Cordoue constituait une menace militaire constante sur le sud-ouest de la France.
Sulayman al-Arabi, le gouverneur (wali) pro-abbasside de Barcelone et de Gérone, envoya une délégation à Charlemagne à Paderborn, offrant sa soumission, ainsi que l'allégeance de Hussein de Saragosse et Abou Taur de Huesca en contrepartie d'une aide militaire. Les trois dirigeants pro-abbasside transmirent l'information que le calife de Bagdad, Muhammad al-Mahdi, préparait une force d'invasion contre le souverain Omeyyade Abd al-Rahman Ier.
Lorsque cette alliance fut scellée à Paderborn, Charlemagne marcha à travers les Pyrénées en 778 « à la tête de toutes les forces qu'il put rassembler ». Ses troupes furent accueillies à Barcelone et à Gérone par Sulayman al-Arabi. Comme il se dirigeait vers Saragosse, ses troupes furent rejointes par des troupes menées par Sulayman. Hussein de Saragosse, cependant, refusa de livrer la ville, affirmant qu'il n'avait jamais promis à Charlemagne son allégeance. Pendant ce temps, la force envoyée par le califat de Bagdad semble avoir été stoppée près de Barcelone. Après un mois de siège à Saragosse, Charlemagne décida de retourner dans son royaume.
[…]Après ces campagnes, il y eut encore de nombreuses ambassades entre Charlemagne et le calife abbasside Hâroun ar-Rachîd à partir de 797, apparemment en vue d'une alliance abbasido-carolingienne contre Byzance, ou en vue d'obtenir une alliance contre les Omeyyades d'Espagne. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Alliance_abbasido-carolingienne)
Au sujet de Charlemagne, voir https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2012/12/29/charles-le-grand-2/.
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Quant à son père, Pépin le Bref, il alla même jusqu’à concéder une seigneurie aux juifs :
« En application d'un accord passé, Pépin le Bref fonde une seigneurerie juive, dont Narbonne est la capitale.
Son seigneur : Makhir Natronai ben Habibi le Resh Galuta ou Théodoric Ier de Septimanie descendant du roi David.
Quelques années plus tôt, en Orient, en 632, à la mort de Mahomet toute une population de nouveaux croyants s'enflamma et prit le chemin des conquêtes. Craignant une collusion entre les juifs et les musulmans, l'empereur Héraclius contraignit tous les juifs à la conversion. Il convainquit le roi franc Dagobert d'appliquer la même politique, ce qui entraîna un reflux de nombreux juifs vers la Provence, alors tenue en partie par les Visigoths et toujours à l'abri du fanatisme.
[…]Battus à Poitiers par Charles Martel en 732, les Arabes se replient sur Narbonne, qui devient l'un de leurs bastions.
Pour remédier à la situation, Pépin le Bref, fils de Charles Martel, a besoin de l'appui de l'importante communauté juive de la ville. Il parvient à un accord, mais à une condition : permettre la création d'une seigneurerie juive.
Comme promis, les Juifs et les Visigoths, aidèrent à la reddition de Narbonne, assiégée par les Francs, en 759. Pépin nomma premier Nasir Natronai-Makhir, de la race de David, qui avait été forcé de s'exiler vers l'ouest par un bouleversement politique à Baghdâd. Il devint le premier Nasir [patriarche] sous les rois Carolingiens, à leur invite.
Pépin reçut Makhir dans la noblesse franque et l'adouba avec le nom distinctif de Théodoric.
Les lois carolingiennes accordèrent à Makhir-Théodoric une propriété terrienne en libre aloi, incluant d'anciens biens ecclésiastiques, situés en Septimanie et dans le Toulousain, et étendus à d'autres en Espagne. Par acte d'ordonnance, Makhir-Théodoric devint vassal des Carolingiens et, en retour, assuma la suzeraineté des Juifs comme une évidence supplémentaire de son ascendance davidique.
Makhir prit pour femme une princesse carolingienne, apparemment Alda, sœur de Pépin. Leur fils fut Guillem ou Guillaume, comte de Toulouse.
A l'époque Makhir, appelé également Al-Makhiri ou Ha-Makhiri, vint à être connu comme Aymeri le fameux guerrier et géniteur d'une lignée de héros célébrés dans les chansons de geste.
Son fils, le comte Guilhem ou Guillaume de Toulouse, servit bien des foisCharlemagne dont il fut aussi proche que Roland. Fils de Pépin le Bref, Charlemagne, sacré roi des francs en 771 et empereur en 800, avalise le pouvoir de Guilhem. Il sera suivi par le calife de Bagdad et, à contrecœur, par le pape Stéphane. Tous les trois reconnaissent en lui, Guilhem, de la maison de Juda, un lointain héritier du roi David.
Guilhem exerce une influence importante à la cour des Carolingiens. C'est son influence à la cour, aussi bien sous Charlemagne que sous Louis le Pieux qu’il laissa une trace intéressante et la possible conversion au judaïsme de plusieurs personnalités du pays.
Le plus marquant fut la conversion à la génération suivante de Bodo, diacre de l'empereur Louis le Pieux. En 791, il crée l'Académie judaïque de saint Guilhem du désert.
Le membre le plus remarquable de la dynastie de Makhiri fut un fils de Guillaume, nommé Bernard de Septimanie. Son nom de cour "Naso" tire pour origine le titre hébreu de "Nasir" au milieu de son propre peuple, quoique cela lui fût octroyé avec intention malveillante par ses opposants comme une référence dérogatoire concernant son nez. Bernard, en tant que chambellan de Louis le Pieux et second après le roi, fut un homme d'état majeur dans le royaume à partir de 829.
Il épousera en juin 824 Dhuoda, peut être la fille de Charlemagne, au palais d'Aix-la-Chapelle, dont il aura deux fils : Guillaume (né en novembre 826) et Bernard (né en mars 841). Le premier sera un prestigieux militaire, le second tenant les rênes de l'Aquitaine, où il se pose en rival de Louis II.
[…]Par le jeu des mariages, la famille royale anglaise se revendique descendante de David. La reine Victoria, était très fière de ses ancêtres juifs. La tradition veut que les Princes héritiers anglais soient circoncis en rappel de cette ascendance davidique. Lady Diana, interdit la circoncision de ses deux fils, William et Harry. Ce n'est qu'après sa mort qu'ils purent respecter la tradition familiale. » (https://web.archive.org/web/20110908081020/lepost.fr/article/2009/08/10/1653073_histoire-des-royaumes-juifs-et-communautes-juives-hors-d-israel-les-juifs-de-narbonne.html)
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En ce qui concerne la conversion des juifs au christianisme, elle allait leur permettre d’accéder à tous les postes qu’ils souhaitaient, en particulier dans la noblesse, et de détruire la race blanche par le mélange avec les Blancs chrétiens (voir Nicholas Wade, « Gene study shows Spain's Jewish and Muslim ancestry », https://www.nytimes.com/2008/12/05/health/05iht-05genes.18425407.html ; Louis Ferdinand Destouches (Céline), https://democratieparticipative.club/avec-cette-coupe-du-monde-relisons-le-bon-docteur-ferdinand-celine/ ; Edward Kritzler, « Les pirates juifs des Caraïbes : L’incroyable histoire des protégés de Christophe Colomb », Introduction, https://web.archive.org/web/20150501001626/http://www.andreversailleediteur.com/upload/args/krizler_mepdefprotege.pdf ; « Le changement racial dans la noblesse espagnole (700-1600) », https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2015/02/12/le-changement-racial-dans-la-noblesse-espagnole-700-1600/, https://elementsdeducationraciale.wordpress.com/2017/05/30/le-changement-racial-dans-la-noblesse-espagnole-700-1600-2/)
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Quant aux méthodes de conversion des chrétiens, elles rappellent « étrangement » celles des islamistes :
La cause principale des raids Vikings.
Un peu d'histoire et d'archéologie :
Certains ont avancé quelques raisons démenties depuis par les historiens et archéologues, comme le réchauffement qui a induit une surpopulation et un manque de terres où s'établir. L'archéologie à maintes fois démontré qu'il n'en était rien et que de nombreuses terres fertiles sont demeurées vierges toute la période viking. D'autre part la population Scandinave n'atteignait même pas le million d'habitants, nous étions très loin d'une surpopulation. D'autres encore parlent de politique, mais la politique des envahisseurs chrétiens a toujours été de christianiser. L'Europe devenue chrétienne devrait suffire pour s'en convaincre.
La cause principale des raids vikings est sans coup férir, la réaction à la christianisation forcée. Tous les faits et les témoignages l'attestent, et il est temps de rétablir cette vérité trop longtemps occultée.
Depuis que le christianisme existe, les chrétiens n'ont eu de cesse de convertir tous les païens [terme fourre-tout de l’apologétique chrétienne ne voulant rien dire, servant à désigner les populations rurales de la Rome antique qui n’avaient pas encore été converties au christianisme, celles-ci étant en effet difficiles à convertir par la prédication] à leurs doctrines. Les textes bibliques imposent en effet le prosélytisme aux chrétiens sous peine d'être anéantis par la colère divine. Concernant la période "Viking", l'Eglise ne parvenant pas par la parole, ni par le chantage, corruption et le vandalisme, les chrétiens commirent des crimes terribles pour convertir à la foi chrétienne durant toute la période viking. C'est ainsi que les Vikings se révoltèrent et se vengèrent en devenant de dangereux guerriers.
Brève chronologie de la christianisation :
Clovis accepte, non sans difficultés, de devenir chrétien et d'imposer à son tour cette religion à son peuple Franc.
En 678 Saint Willibrord et Wilfrid d'York ont pour mission d'évangéliser Heligoland et le Danemark.
En 716 Boniface de Mayence poursuit l'évangélisation sans succès.
Willibrord évêque d'Utrecht, récidive vers 725 mais il échoua à convertir les Danois.
Les missionnaires pour répandre leur foi en Scandinavie, détruisent des stèles païennes.
Il est utile de bien avoir à l'esprit que le but de l'Eglise est de christianiser par tous les moyens :
Conversion par la parole : Les évangélisateurs parcourent la Scandinavie pour répandre leur foi avec pugnacité mais sans résultats.
Conversion par le chantage : Les Vikings ne peuvent plus commercer en terres chrétiennes s'ils n'acceptent pas de se faire baptiser (prima signatio).
Conversion par le vandalisme : Devant le peu d'intérêt que les religieux rencontrent lors de leurs évangélisations, les hommes d'églises insultent les Divinités païennes, les diabolisent et vandalisent les stèles représentant les croyances Vikings. Ils se font chasser, parfois certains extrémistes religieux sont tués.
Conversion par la corruption et la violence: Ne parvenant pas à ses fins ni par la parole, ni par la menace, ni par les actes de vandalismes, l'Eglise eut recourt à la corruption de certains princes et à d'extrèmes violences.
Conversion par l'épée: Charles Martel poursuivit la christianisation de l'Europe mais fut arrêté dans sa conquête chrétienne par les Danois. En 737, le Roi Scandinave du Danemark érigea la première muraille du Danevirke contre les incursions de Charles Martel.
« le baptême ou le massacre » « Répandre sa foi par le fer et le sang » (Charlemagne)
Ne parvenant pas à ses fins l'agression chrétienne arrive à son paroxysme avec Charlemagne qui extermine quiconque refuse le baptême. Il se disait lui-même « investit par Dieu pour christianiser les Païens. »
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Lors de la campagne de 772, Charlemagne fait abattre Irminsul, ce merveilleux symbole afin de “chasser le diable de Saxe. ” Profondément religieux, Charlemagne était convaincu que le dieu de la bible avait confié au peuple franc et à son souverain la tâche de répandre et de défendre la foi chrétienne par tous les moyens. Il consacra sa vie à combattre tous les païens d'Europe. Par le fer et le sang et des crimes horribles, il réussit à établir un empire chrétien sur la majeure partie de l'Europe occidentale. Particulièrement, le peuple qui occupait le nord de la Germanie à la frontière du Danemark, fut victime d'épouvantables massacres.
Le roi franc employa la force et la terreur « le baptême et la conversion ou la mort ». Le crime le plus marquant pour tout le monde païen fut sans doute le massacre de Verden en 782, les Francs décapitèrent 4500 personnes, déportèrent 12000 femmes et enfants parce qu'ils refusaient le baptême.
Le chef des Saxons Widukind résista très longtemps et se réfugia à plusieurs reprises chez ses voisins et parents Vikings Danois et se mit sous la protection de Siegfried Ier de Danemark « roi des Danois » puis il bénéficia de la protection du roi viking Godfred, son parent le successeur de Sigfred. Les Saxons et les Danois étaient très proches, ils avaient les mêmes croyances, la même culture, ils firent cause commune pour résister à l'empire chrétien. Widukind devint le parent de Godfred en épousant la princesse viking Geva de Vestfold, fille d'Oystein (Eystein) Ier de Vestfold (Westfold, Norvège).
La destruction du célèbre sanctuaire païen d'Irminsul, les crimes abominables des chrétiens, et les tentatives militaires répétées contre le Danevirke n'eurent pour effet que d'inciter les Vikings à se venger.
L'émoi et le traumatisme des massacres de Charlemagne se firent ressentir dans toute la Scandinavie. Le faible nombre d'habitants à cette époque contribua à renforcer les liens entre païens. Ils se sentaient tous concernés par la menace chrétienne. Ce fut l'une des raisons qui provoqua les raids vikings qui souhaitaient se venger de la christianisation forcée.(Alain Decaux, André Castelot, François Neveux, Rudolf Simek…)
Les crimes chrétiens marquèrent profondément les Païens et notamment les Vikings pour qui l'honneur et la renommée sont des valeurs essentielles.
C'est pour cette raison que tous les premiers raids vikings visaient les édifices chrétiens et pas seulement pour leurs richesses, tous n'en détenaient pas.
La chrétienté était pour eux la cause de leurs malheurs.
En réaction les Vikings veulent marquer les esprits à leur tour en s'attaquant à Lindisfarne, le 8 Juin 793. Ce prestigieux sanctuaire constituait le symbole de réussite de la christianisation en Angleterre.
Les Vikings renversèrent la croix de pierre, piétinèrent les saintes reliques, insultèrent, outragèrent et tuèrent les moines, muent d'une véritable haine de la religion chrétienne.
Tous les témoignages des clercs chrétiens précisaient que les Vikings non contents de voler les biens de l'Église, profanaient et s'acharnaient sur les symboles chrétiens et ses serviteurs.
Les historiens voient dans ces sacrilèges des représailles à la christianisation forcée et les menaces contre le paganisme. Ils soulignent que la conquête de la Saxe par Charlemagne et ses attaques contre les Danois coïncide exactement avec les premiers raids vikings.
Les Vikings ne se contentèrent pas de piller le tombeau de Charlemagne à Aix la Chapelle , Là encore ils profanèrent la sépulture et la dépouille du grand Empereur de la chrétienté.
Cela explique bien qu'ils n'étaient pas que de simples pillards mais qu'ils agissaient pour la plupart d'entre eux en représailles aux exactions chrétiennes et contre cette religion qui voulait imposer son dieu unique en détruisant la culture païenne.
La résistance à la christianisation forcée ne fut pas anodine et explique le phénomène viking, bon nombre d'entre eux se rebellaient contre la puissante Église.
Pour illustrer son propos, l'historien François-Xavier Dillmann cite Montesquieu dans « De l'esprit des lois » :
« Les Vikings attribuaient aux ecclésiastiques la destruction de leurs idoles, et toutes les violences de Charlemagne, qui les avoient obligés les uns après les autres à se réfugier dans le nord. C'étaient des haines que quarante ou cinquante années n'avoient pu leur faire oublier. »
« Les chroniqueurs ont dépeint de la manière la plus noire, ces bandes de Vikings qui mettaient à sacs les édifices chrétiens, en leur prêtant là, des intentions religieuses. Quels motifs auraient pu empêcher ces bandes de maraudeurs nordiques d'attaquer des sanctuaires chrétiens, alors que les missionnaires chrétiens détruisaient les temples païens et qu'ils le feraient encore longtemps jusqu'à la christianisation totale des païens. »
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Durant cette période, les Vikings ne pouvaient plus commercer avec le reste de l'Europe devenue chrétienne, ils étaient cantonnés au Nord. Fort heureusement la route de l'Est perdurait et l'un des plus importants carrefours commerciaux devint Haitabu, non loin du Danevirke à la frontière Danoise vers 815. Tous les Vikings convergeaient vers ces centres commerciaux et leurs activités se trouvaient de plus en plus menacées par les attaques chrétiennes. Cette menace économique se rajoutait aux crimes de conversions forcées, ce qui a amplifié la détermination de poursuivre les raids Vikings contre les chrétiens.
Les Arabes bloquaient depuis plusieurs décennies le commerce en méditerranée, les routes commerciales viking et varègue permettaient de contourner le blocus arabe. En convertissant les Païens du Nord, l'Eglise bénéficiait ainsi de cet essor économique à moindre frais.
Après la mort de Charlemagne, l'échec guerrier des chrétiens contre les Vikings impose un changement de stratégie à l'Eglise. Le commerce reprend peu à peu entre païens et chrétiens mais l'Eglise impose la « prima signatio » (baptême simplifié) aux Vikings s'ils veulent continuer de commercer dans le monde chrétien. Peuple de commerçants avant tout, les Vikings acceptent d'autant qu'ils ne voient pas d'objection à compter parmi leurs dieux un de plus, qui demeure très insignifiant à leurs yeux. Lors de la cérémonie, ils reçoivent une « aube » blanche. La plupart se font baptiser plusieurs fois afin d'obtenir plusieurs tenues que leurs épouses transformaient.
Vers 822-825 la Scandinavie fut déclarée terre de mission. Les premiers vrais baptêmes furent prodigués dès 823 par Ebbon, archevêque de Reims envoyé par Louis le Pieux.
Puis en 826 par Ansgar moine de Corbie.
Vers 832-851 l'Abbe Wala poursuivit la christianisation.
Le changement décisif se produisit lorsque l'Eglise parvint à corrompre de grands chefs Scandinaves souhaitant plus de pouvoir. Ces chefs opportunistes acceptèrent de se convertirent, trahirent la foi de leurs Ancêtres et leurs peuples, devinrent chrétiens et détrônèrent les rois païens grâce à l'appui des troupes chrétiennes.
Vers 876 le moine Anschaire et Harald à la dent bleue, évangélisèrent leurs sujets mais sans grands succès.
En 911 en Francie, le Jarl Rollon accepta d'être baptisé en échange de recevoir un territoire qui allait devenir le duché de Normandie.
La christianisation engendra des résistances suivies de bannissements et de brutalités, car cette nouvelle foi était coercitive, imposant un dieu unique.
Les Vikings avaient l'obligation d'abandonner leurs anciennes croyances. « L'Église n'autorise pas d'autres dieux, qu'elle considère comme des démons et des forces du Mal. Freyja, la Grande Déesse Mère des Vikings, symbole de la fécondité, fut pour l'Église un objet de ridicule et de mépris »
La christianisation s'étend sur toute la période Viking sans interruption et avec beaucoup d'acharnement.
« Le baptême ou la mort » de Charlemagne jusqu'à « En avant, en avant, hommes du Christ, hommes de la croix, hommes du Roi! », (Fram, fram, Kristsmenn, krossmen, konungsmenn!) ou le cri de bataille des convertisseurs « Christ, Croix et Roi » d'Olaf Tryggvason, … la christianisation s'étend sur toute la période Viking sans interruption. L'Ere viking s'achève quand les Scandinaves deviennent tous chrétiens. Le but de l'Eglise est atteint.
Cette détermination d'évangélisation annonçait les futures croisades :
Déclaration du grand assaSaint Olaf : «Nous allons marquer notre emblème sur nos casques et boucliers. Dessiner à la peinture blanche la Croix Sacrée ».
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Docteur Celticus : Les 19 tares corporelles visibles pour reconnaitre un Juif (1903).
https://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=iau.31858014662161;view=1up;seq=1
9e26b1 No.61999
Merci pour ces posts passionnants, Elements d'Education Raciale. Vous avez des conseils de lecture sur tout ce qui touche au paganisme, à la spiritualité, à la métaphysique, à la philosophie ?
J'ai lu ce post avec intérêt : >>49668
Étant déjà un grand fan de Guénon et des Vedas.