Notre avenir, c'est nous, pas nos enfants.
Ce transfert qui marque le rang de ceux qui ont intégré la mort comme une chose irrémédiable, c'est grotesque.
Je préfère vivre sur le territoire européen débarrassé de 90% de sa population, que de me farcir des chiards partout.
Ça n'est pas plus de "nous" qu'il faut, c'est moins des autres. Ceci, pour des raisons évidentes de contraintes écologiques, cela va de soi.