>>97046
merci.
Que dire de plus ? J'étais effaré, mes yeux allaient d'une horreur à l'autre, toutes plus laides les unes des autres. Je ne savais plus où les poser.
J'essayais de me frayer un chemin le plus rapidement possible, sans analyser ce qui se déroulait.
Je savais que si je m'attardais, j'irais à la confrontation. J'avais envie d'y aller.
Comme un lâche, je n'ai rien dis, ni rien fait (bon j'avais 400 nègres autour de moi).
et puis bêtement j'ai donné des coups d'épaules (ce qui n'a pas manqué d'en faire hurler certain et certaines, mais je n'ai pas répondu à leur grimaces, par dédain.)