Imaginons un pays européen avec au pouvoir un parti fasciste solidement installé. Ce pays aurait mit en route une politique de natalité pour subvenir aux besoins futurs de la nation.
Ensuite, il aurait dégagé manu militari tous les étrangers se trouvant sur place.
Ensuite, il aurait mit au travail le maximum de blancs.
Mais malgré cela, ce pouvoir fasciste serait en manque de main-d'œuvre. Alors, il ferait venir un peu de japonais pour épauler.
Ces travailleurs auraient été fait venir par un pouvoir fasciste et auraient pour finalité de retourner chez eux. Dans ce cas de figure, trouveraient-on normal que nos camarades japonais, par exemple, venu nous épauler à bâtir notre nation fasciste seraient insulté par quelques méticuleux camarades ? N'étant là que pour travailler, dégagé dans la seconde où nous serions informé qu'ils aggressent une blanche, ne serait-il pas normal qu'ils soient respecter ?
Ne tombant pas dans ce piège de l'inhumanité. Je veux dire que notre posture doit être plus sensé et plus subtile que cela.
Le problème n'est pas que des touristes et quelques immigrés (choisis par les fascistes) ne soient pas lynché en place publique mais que nous mâles blancs n'avons plus le pouvoir.
Cette ukrainienne ne pense pas à mal. Si vous appeller à lyncher ces touristes malvenus, j'en convient, vous êtes à côté de la plaque.
L'idée n'est donc pas d'appeler au lynchage des touristes et immigrés mais à démonter le délire du racisme. Nous devons déconstruire ce baratin du racisme.
De sorte que cette ukrainienne, sans appeler aux lynchages des touristes du tiers mondes, ne les interroges pas sur ces foutaises de racisme. Le racisme n'étant que l'affirmation des mâles blancs chez eux.
Nous devons défendre notre droit à nous affirmer, non pas à lyncher un travailleur japonais parce que non blanc.
Compris ?