>>79723
Désolé mais je préfère Hitler.
Mein Kampf :
Quand des dignitaires de l'Eglise se servent d'institutions ou même de doctrines religieuses pour porter atteinte à leur race, on ne doit jamais les suivre dans cette voie, ni les combattre par les mêmes armes. Les idées et les institutions religieuses de son peuple doivent rester toujours inviolables pour le chef politique; sinon, qu'il cesse d'être un homme politique et qu'il devienne un réformateur
C'est ainsi qu'en particulier, j'ai toujours eu le sentiment que les soi-disants réformateurs religieux - à la vieille mode allemande - n'étaient pas suscités par des puissances désirant le relèvement de notre peuple. En effet, toute leur activité s'emploie à détourner le peuple du combat commun contre l'ennemi commun qui est le Juif ; et, au lieu de le conduire à ce combat, elle l'engage dans de funestes luttes religieuses intestines. C'est justement pour cela qu'il était utile de doter le mouvement d'une force centrale pratiquant l'autorité absolue dans le commandement.
Sans un dogme précis, la religiosité, avec ses mille formes mal définies, non seulement serait sans valeur pour la vie humaine, mais, en outre, contribuerait sans doute au délabrement général.
10° Le mouvement se refuse à prendre position dans des questions qui sortent du cadre de son travail politique ou qui ne paraissent pas d'une importance fondamentale. Son but n'est pas une réforme religieuse, mais une réorganisation politique de notre peuple. Il voit dans les deux confessions religieuses des appuis également précieux pour la conservation de notre peuple ; il combat donc les partis qui contestent à la religion son rôle fondamental de soutien moral pour n'en faire qu'un instrument à l'usage des partis.
(Mein Kampf)
Pour la question de l'euthanasie :
-surestimée (comme la "shoah") par les antinazis
-arrêtée dès que l'Église s'en est mêlée (Mgr Van Galen proteste publiquement en 1941, le mois suivant le programme Aktion T4 est arrêté)