/dempart/ - Blabla général

Vae Victis est un groupe de rock identitaire français créé en 1993 dont il peut être considéré comme le pionnier du genre. Vae Victis formé à l'été 1993 par Jean-Christophe Bru et François Montagne pendant leurs études universitaires. Les deux hommes ont participé à la Nouvelle Résistance, une organisation affiliée à Troisième Voie. Fabrice Lauffenburger aux claviers, Cathie Mollius à la basse et Thibaud Lamy aux percussions se sont ensuite joints au groupe. Fabrice et Jean-Christophe s'étaient déjà rencontrés lorsqu'ils avaient formé Ultime Assaut.

Après le départ de Cathie et Jean-Christophe pour la formation en Île-de-France, Carine et Philippe ont rejoint le groupe. Carine quittera plus tard le groupe après être devenue mère. Vae Victis se séparerait en 2002.

>La Commune de Paris est un événement particulièrement dramatique de notre histoire. Pendant plus de 70 jours, des revendications patriotiques et sociales nourrissent une révolte sans concession. En dépit de ses excès et de ses erreurs fatales, le magnifique élan populaire du Printemps 1871 mérite d'être mieux connu. En effet, par l'abominable massacre dit de la " semaine sanglante ", la droite Versaillaise menée par Thiers va décapiter le mouvement socialiste français naissant et ses idées Proudhoniennes. A partir de cette date, pour son plus grand malheur, le socialisme français sera peu à peu gangrené par le marxisme.

1871

Les Parisiens sont humiliés

Par la défaite et la colère

Se lit dans leurs yeux fatigués

Plein de mépris pour tous ces gens

Les députés ont foutu l'camp

Car pour ces courageux notables

La France est toujours négociable

Mais le peuple de Paris

Aujourd'hui s'est soulevé

Les politiciens ont trahi

Pas question de capituler

Partout dans la capitale

On dresse des barricades

On met en batterie les canons

Partout c'est l'insurrection

Les pauvres gens n'ont plus rien

La Patrie est leur seul bien

Ils crèvent pour te rappeler

L'esprit de communauté

Les Prussiens tiennent le pavé

Il n'y a plus de gouvernement

Mais la Commune est proclamée

C'est le retour du printemps

Pour quelque temps Paris se grise

On oublie le pouvoir central

On rêve de justice sociale

On chante le temps des cerises

Mais pour Thiers et toute sa clique

Fallait faire taire la populace

Saigner ces bonnes femmes hystériques

Fusiller ces gueux dans leur crasse

Toujours devant

L'invasion

C'est le peuple qui se dresse

Versaillais? Trahison!

Tu as peur pour tes richesses!

Si tu te balades un beau jour

Près du cimetière du Père Lachaise

N'oublie pas d'aller faire un tour

Au pied du Mur des Fédérés

Ici les gars de la Commune

Ont fredonné leur dernier chant

Et leurs corps noyés dans le sang

Ont jonché les fosses communes

Les bourgeois n'ont plus à trembler

Depuis ce joli moi de mai

La république des bâtards

Est née du sang des communards.

>Brocéliande, forêt mythique des chevaliers de la table ronde, est impénétrable à ceux qui nient la réalité des légendes. Au-delà du miroir magique où se reflètent les ombres évanescentes des dames du lac, c'est dans cet espace clos, peuplé de fées et d'enchanteurs, que nos rêves vagabondent à la recherche d'Excalibur, attendant dans son rocher la venue du roi Arthur, ou bien encore du Graal, enjeu suprême d'une " quête " intérieure inaccessible derrière les frondaisons des arbres de la forêt. On aurait pu croire le mythe rompu lorsqu'un incendie ravagea ce temple de notre mémoire. La nature a su néanmoins reprendre ses droits. Aujourd'hui, ce sont les hommes, qui par leur bêtise et leur lâcheté, veulent noyer cette forêt enchanteresse où les étangs et les chênes gardent à jamais la mémoire de la fée Viviane, de Merlin, de Lancelot et de ses compagnons. Peut-on profaner un lieu de culture au nom de l'utilitarisme stérile qui tient actuellement lieu de philosophie dans un monde désenchanté ? Qu'on le veuille ou non, Brocéliande est un sanctuaire, c'est-à-dire un lieu sacré. La flamme indestructible du royaume des légendes brûlera toujours dans le cœur des hommes, plus forte que la mort et le temps qui passe.

>" Nulle forêt au monde n'est plus sacrée que celle de Brocéliande " Jean Cau

Caressée par la brume qui l'enlace jalousement

La lame plantée dans un rocher impénétrable

Elle attend prisonnière l'heure de sa délivrance

Figée dans sa gangue de granit jusqu'à la garde

Arthur saisit l'épée et d'un geste viril

L'arrache insolemment de sa geôle de pierre

Et dresse Excalibur, dure foudre invincible

Ferment de l'unité du roi et de sa terre

Excalibur

Marchant sur des sentiers qui ne mènent nulle part

Des chevaliers perdus errent dans la forêt

Ils cherchent le chemin qui les mènera au Graal

Eprouvés, fatigués par leur quête éternelle

Détournés de leur route au hasard d'une clairière

Le temps d'un corps à corps, ils terrassent les spectres

Tombant sous le charme de créatures enchanteresses

Envoûtés par leurs innombrables sortilèges

Excalibur

Allongé sur la mousse de la forêt profonde

Un vieil homme sauvage dont le nom est Merlin

A percé les secrets du souffle du dragon

Enchante l'avenir et lit dans le destin

Caché dans la nature aux multiples apparences

L'ombre du vieux démiurge plane sur Brocéliande

Cathédrales de chênes aux étendues immenses

Menacée par les hommes et leurs égarements

Excalibur

Les progrès sans limites du monde matériel

Qui prétendent ignorer la mémoire éternelle

Ne pourront profaner le royaume des légendes

Car l'esprit de Merlin enchante Brocéliande.

Initialement écrit par le groupe Ultime Assaut, prédécesseur de Vae Victis

Ils chevauchent dans la steppe,

Tête rasée, barbe au vent

Les cosaques…

Ils chevauchent dans la steppe

Insouciants, riants, chantants

Les cosaques…

Dans les plaines enneigées,

Par les taillis des forêts,

Hurle la horde indomptée

Que jamais nul ne soumet

Libres cosaques du Don, de la Volga

Pourvus des fusils du Tsar, affranchis de ses lois,

Poudre à canon, vodka, nagaïka, les cosaques sont rois

Netchaï !

Ils rêvent au clair de lune,

L'astre danse dans leurs yeux

Les cosaques…

Ils rêvent au clair de lune,

De rivages merveilleux

Les cosaques…

Sur le bord du fleuve,

Veille un soldat seul

La nuit luit

Lui veut chasser mais sommeille

Le gibier passe sans bruit.

Libres cosaques du Don, de la Volga

Pourvus des fusils du Tsar, affranchis de ses lois,

Poudre à canon, vodka, nagaïka, les cosaques sont rois

Netchaï !

Remonter aux sources de la vie

Puiser la sève aux plus profondes racines

Chercher la lumière du soleil

Sortir enfin des ténèbres

Poursuivre sa quête

Au plus profond de soi

Franchir les âges

Etre passé et futur

Se retrouver

Maillon d'une chaîne

Membre d'un lignage

De terre, de sueur et de sang

Être, ne pas disparaître

Rester fidèle à son clan

Etre, ne pas disparaître

Rester fidèle à son sang

Ancré dans le granit ancestral

S'élever entre terre et ciel

Pouvoir penser librement

Vomir les lois des puissants

Dépasser les bornes

Donner sans compter

Se jeter corps et âme

Tout perdre pour tout gagner

Être une flamme

Transmettre le feu

Gravir les sommets

Toucher du doigt l'éternel

bien a chier quand meme

pour compléter la chariah blanche il est plus judicieux d'écouter du rap blanc kheyou

Traboule Gones était un groupe lyonnais de rock alternatif avec des influences distinctes du punk rock. Le groupe s'est formé avec des amis en 2001. Après l'enregistrement et la sortie de deux albums, le groupe s'est séparé en douceur en 2005.

La cour du collège était pleine

De cris, de joies et de peines

D'élèves bigarrés, prêts à se bagarrer

Tu venais juste d'avoir 15 ans

Tu étais plutôt bel enfant

Tes poches ils les ont vidées

Tous les jours tu en as chialé

Écoles de la violence

De la haine, de la terreur

Bourreaux de professeurs

Qu'on nomme inciviles pour chasser la peur

Professeur d'histoire-géo

Tu ne faisais que ton boulot

Un jour pour un zéro pointé

A la sortie ils t'ont lynché

Écoles de la violence

De la haine, de la terreur

Bourreaux de professeurs

Qu'on nomme inciviles pour chasser la peur

Sur le chemin des écoliers

Les barres de fer et les couteaux

Ont remplacé les stylos

Et le sang coule sur le tableau

Entre le fumeur de joint

Et le semeur de coups de poings

Dans ces lycées à problèmes

C'est le royaume de la haine.

Frakass la blanche hermine

>>77175

En 480 avant notre ère

Sur la terre hellénique se dessine l'invasion perse,

Massée aux portes des Thermopyles

Armes au poing font face les fils de sparte,

Tous alignés tel un rempart,

Véritable machine de guerre.

Spartiate !

Un mur d'acier

Spartiate !

Forgé dès l'enfance

Spartiate !

Bouclier contre boucliers

Spartiate !

Lance contre lances

Casques étincelants, lances hérissées,

Impavides et fiers de leur lignée,

Inspirés par les dieux

Le salpigx sonne l'assaut : « La mort, la vie »

Une masse compacte de bronze écrase l'ennemi,

Achevé au xiphos

Spartiate !

Un mur d'acier

Spartiate !

Forgé dès l'enfance

Spartiate !

Bouclier contre boucliers

Spartiate !

Lance contre lances

Après six jours de combat acharné

Aux murailles de feu : résister

Les armes brisées, cassées

À cent contre des milliers, les Spartiates

Se battent à mains nues, le corps écarlate

Résister et mourir

Spartiate !

Un mur d'acier

Spartiate !

Forgé dès l'enfance

Spartiate !

Bouclier contre boucliers

Spartiate !

Lance contre lances

La mort de plein fouet, le fracas, la boucherie

Mais ils sortent vainqueurs par l'esprit

Leur courage embrasa tous les hommes du pays,

L'Hellade s'unifia et bouta l'ennemi

C'est qui, Elendil??!!!!

Le groupe a été fondé par Pierre (synthé) et mademoiselle Javelle, la chanteuse, à l'époque dans un trip gothique. D'ailleurs le premier morceau composé par le groupe fut Dona Eis Requiem, ressorti sur l'album Chants de Colza.

"Elendil est né il y a cinq ans, jailli entre autres projets plus ou moins enterrés, de l'imagination incontrôlée des deux premiers : à l'époque c'était un groupe qui se voulait plutôt gothique, disons cold wave…" (extrait d'un interview à un fanzine)

Et puis est arrivé dans le groupe Paul-Edouard, avec sa gratte, et vite fait ELENDIL a viré "punkie"

" mais ce style de musique supporte mal l'artisanat, et le groupe a rapidement dérivé plutôt rock, entre le ska et le punk, évolution aidée par l'arrivée dans le groupe de la guitare de Paul-Edouard, et confirmée définitivement par l'inclusion d'un batteur, Stan"

Enfin Stan a intégré la joyeuse bande, avec sa batterie, pour le plus grand plaisir de la mère de Pierre qui a vu les répèts du groupe se déplacer de chez elle chez la mère… de Stan, celui-ci ne pouvant décemment se balader avec une batterie sous le bras.

C'est la belle époque, on compose sur les quais de la Seine des morceaux inoubliables tels que Pierre Chausson ou Hôtel des Verrous, sans parler de Père Noël, créé lors d'une soirée d'été plus conviviale encore que d'habitude, sans compter les innombrables inédits d'ELENDIL que les membres du groupe (et un petit nombre d'initiés soigneusement sélectionés) appellent affectueusement le "worst of"….

Et puis le guitariste part faire ses études, la chanteuse rencontre celui qui allait devenir son mari, le synthé part faire son service, le batteur passe son bac…. Elendil existe encore, mais devient moins productif… Mais ce n'est que pour mieux repartir, avec le premier CD: Sur les Toits !

L'ELENDIL de Sur les Toits

Julien, un pote (qui jouait auparavant dans un groupe avec Paul et Stan, groupe déserté par Paul puis Stan, lesquels devaient trouver un temps asile chez ELENDIL), propose de produire Elendil… OK, très drôle la blague. Et Julien insiste, et il s'avère que ce n'est pas une blague. Alors on se prépare. Stan entre-temps a intégré un autre groupe : qu'à cela ne tienne, il est remplacé par Nico, batteur de son état, et qui, lui, entre-temps, a épousé mademoiselle Javelle… Après deux répètes en studio, le groupe est prêt… La première expérience en studio d'enregistrement sera un peu douloureuse pour tout le monde, car on n'était peut-être pas si prêts que ça tout compte fait ! ELENDIL est un groupe de potes, plein de génie c'est un fait, mais qui n'a pas assez bossé !!!! Enfin une fois dans le coup, tout va bien et on rentre Sur les Toits!

Après une semaine non stop de stud', on est tous au bout du rouleau mais cela valait la peine !

Son CD en poche, l'avenir d'ELENDIL se profile bien. Paul repart à l'autre bout de la France pour ses études (encore) mais le groupe est bien décidé à répéter le week-end sachant que Paul rentrera dès qu'il pourra à Paris.

Hélas il rentrera surtout quand il aura de l'argent pour se payer son billet… et ce n'est pas le reste du groupe qui va pouvoir aligner ce qu'il faut…

A Paris on rencontre Jack, guitariste reconnu, qui dit qu'il adore Elendil… et en plus c'est vrai ! Du coup on commence à répéter avec lui et puis finalement il remplace Paul-Ed' qui est vraiment trop loin.

Et c'est Chants de Colza !

L'ELENDIL de Chants de Colza

Il faut quand même rendre à Paul ce qui est à Paul ! c'est lui qui gratte le premier titre de l'album, avant que le train ne devienne vraiment hors de prix.

Pour le reste, on retourne chez Pierre répéter, sa mère est ravie de nous retrouver, et on se remet à composer… On ne reprend pas les vieux morceaux (la seule reprise est le Dona Eis Requiem des débuts), car ce qui nous éclate, c'est la compo : déjà mettre une intro et une fin sur une chanson est un supplice, surtout pour Pierre qui supporte mal de jouer plus de trois fois le même morceau, il préfère en composer un nouveau… Finalement la discipline imposée à coups de diplomatie ou de gueule, cela dépend, permet de mettre en forme cette énergie créatrice débordante.

Jack, qui ne voulait pas "briser l'alchimie" ELENDIL, et refusait d'intervenir dans la compo, s'intègre petit à petit et devient plus ELENDIL qu'ELENDIL !

Le style évolue un peu, suivant la guitare de Jack, moins rock punkie et plus… plus Jack, on ne voit vraiment pas quoi dire d'autre.

Le résultat est rock, ska, parfois bon rock basique parfois bidouillage technologique, avec des morceaux uniques dans leur style comme Petit Fantôme, humour avant tout, ce qui n'empêche pas des oeuvres bourrées de sens comme Pavé d'Amour. Le pur délire satirique de AdidHasch côtoie les affres métaphysiques d'Il Faut Renaître, bref du ELENDIL inclassable, inclassé, de l'OMNI (Objet Musical Non Identifié).

ELENDIL après Chants de Colza ?

Comment survivre à un tel monument ? Y'a-t-il une vie après Chants de Colza ? ELENDIL connaît un petit temps mort dans la production, histoire de souffler un peu… Quelques concerts saluent la sortie du disque, quelques bières là-dessus et chacun reprend ses esprits !

Depuis plusieurs morceaux sont déjà prêts pour le prochain disque.

Pour quand celui-là ?

Dieu seul le sait (et encore…). ELENDIL en tout cas n'en sait rien (et s'il le savait il ne le dirait pas). Ce qui est sûr c'est que ce n'est pas fini et que cela va ancore assurer grave sa face !

ELENDIL vaincra !!!!

>>77151

« Il n’y a pas de rock à Paris comme il n’y pas de baguette à Londres »

John Lenon

>>80021

https://www.youtube.com/watch?v=G_9Gu8TNo9I

Je suis un fist dans le cul de Marianne

Ma première piste c'est « Supremacy Aryan »

Je suis le vice, les couilles grosses pourries du Roi

Expéditif comme une croisade de Godefroy…

>>80144

Run rabbit, run

Dig that hole, forget the sun,

And when at last the work is done

Don't sit down it's time to dig another one

La musique vous devez la connaitre…

Le rock n’est ni votre musique, ni votre nature, le français est raffiné, cérébral, pas spontané pour un sous comme dirait Asterix de DP (qui avec son intuition a touché un peu de ce coté -là il y quelques temps), la langue même s’y prête pas.

https://www.youtube.com/watch?v=y8ofjF4_e1Y

Ça OUI !!

Bump

Je ne sais pas si cela à déjà été posté, m'enfin.

L'album entier est super !

Je ne suis pas sur qu'il soit complet sur (((you)))tube.

Bump