/dempart/ - Blabla général

La ville, déchirée, ne forma plus un tout ensemble, et, comme on n’en était citoyen que par une espèce de fiction, qu’on n’avait plus les mêmes magistrats, les mêmes murailles, les mêmes dieux, les mêmes temples, les mêmes sépultures, on ne vit plus Rome des mêmes yeux, on n’eut plus le même amour pour la patrie, et les sentiments romains ne furent plus. Les ambitieux firent venir à Rome des villes et des nations entières pour troubler les suffrages ou se les faire donner ; les assemblées furent de véritables conjurations ; on appela comices une troupe de quelques séditieux ; l’autorité du peuple, ses lois, lui-même, devinrent des choses chimériques […].

Montesquieu. Considérations sur les causes de la grandeur des romains et de leur décadence.

C'est triste de voir que la chute de l'Empire Romain est comme la chute de l'Europe (la vraie).

Grandeur des siècles passés et puis décadence depuis la défaite de 1945 :

> L'Europe épuisée par tant de guerres raciales chez elle et pour le compte des juifs à l'étranger se fit tant de nouveaux citoyens du monde ou par brigue ou par raison, qu’à peine pouvait-elle se reconnaître elle-même parmi tant d’envahisseurs qu’elle avait naturalisés. Les pays se remplissaient de barbares : le sang européen se métissaient : l’amour de la patrie par lequel les pays européens s’étaient élevées au dessus de tous les peuples du monde n’était pas naturel à ces envahisseurs ; et les autres se gâtaient par le mélange racial. Les partialités se multipliaient avec cette prodigieuse multiplicité d'européen "nouveaux" ; et les juifs y trouvaient de nouveaux moyens de brouiller et d’entreprendre.