La dernière grosse nostalgie que j'ai eu, c'est en écoutant ce livre audio. Au tout début, quand il dit "à mes potes du théâtre Antoine. Il est vilain, il n'ira pas au paradis celui qui décède sans avoir régler tout ses comptes"
Ca m'a rendu extrêmement nostalgique d'une période que je n'ai pas connu, d'un pays qui n'est pas le miens.
Sans doute que la valse russe en fond sonore y est pour quelque chose…