Ben quoi, c'est la jeunesse festive et créatrice des quartiers qui paie de sa personne et sur ses propres deniers pour célébrer dignement notre fête nationale du 14 juillet, nous rappelant que l'infâme a définitivement été écrasé dans notre beau pays ouvert est tolérant.
Je trouve bien plus grave que des gens arborent, en démocratie, des tatouages "Mon combat" écrits en allemand. En allemand ! Imaginez-vous (cela me fait frissonner rien que d'y pense), qu'à l'heure actuelle, nous pourrions être en train de parler allemand, au lieu de notre beau français ambiancé, créolisé et épicé de la langue des quartiers (encore un des apports de la diversité qui n'est pas assez célébré).