Dans ce bus, ce sont clairement les détenus qui ont le dessus. Ils imposent leur culture, leur musique, leur language, rient et chantent à gorge déployée, au mépris total de l'autorité.
Les deux sous-hommes blancs, résignés, colonisés psychologiquement, entièrement soumis, rient et chantent avec ces criminels.
La sale pute de femme-flic, devant ce spectable ignoble, méprise du plus profond de son âme ses collègues et meurt d'envie d'être livrée à au bon vouloir de cette armée de mâles ultra-agressifs, seuls à même de la dominer et de la discipliner intégralement, tandis que les deux loques humaines blanches seraient forcées de regarder avant d'être égorgées.
La France en 2019.