>>97566
Et mon cul, c'est du poulet ?
Bien évidemment qu'il y en a tjs pour souffler sous les braises qu'ils ont sciemment amassé, pour tirer les marrons du feu.
Nous trancherons ce nœuds gordien avec la même brutalité qu'un orage d"été. Il n'y aura aucun marron à prendre, car il n'y aura plus de mains pour les saisir, plus de langues pour se lamenter, plus de nez pour nous effrayer, plus d'oreilles pour nous enrhumer.
>>97580
Pour l'instant, c'est toi qui flippe grand nez. Le chaos que vous faites monter en intensité ne me dérange en rien. Les miens grandissent dans la guerre depuis des siècles. C'est plutôt vous qui commencez à avoir la tremblotte, car si nous décidons de faire s'effondrer ce monde, ce dont nous sommes parfaitement capables tu n'auras aucune issue. C'est ce qui vous pend au nez et à vos grandes oreilles, car on ne va pas s'emmerder à jouer selon vos règles. On est plus fainéant qu'il n'y parait, et plus efficace que ne le laisse entendre notre bonhomie ; on choisira tjs la table rase plutôt que la dialectique de pédales dans laquelle vous nous invitez à prendre part.
Vous allez manger les bicots que vous avez fait venir. Nous, on reste en retrait, avec un cocktail au bout d'une paille, et on les regarde tout saccager. C'est mieux qu'à la TV.
De toutes façons, ce monde, nous le vomissons. Cette société, nous la détestons. Tout ce qui va dans le sens de sa destruction, nous l'embrassons. Mais nous restons en retrait, car la pudeur et la modestie nous le commandent. :-)