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f0cad9  No.47008

Un avis sur cet auteur-animateur de la catho-dissido-sphère ?

47e047  No.47011

Chiant à écouter à la longue mais assez érudit et honnête: je valide.


ebcd69  No.47013

>>47008

Une litanie catho-droitiste saoulante pour celui qui aime DP.

Après c'est loin d'être le pire


248016  No.47014

Cela nous renvoie à cette caste parisienne qui se dit catho, vendent les bouquins des uns des autres…


2dc09f  No.47016

J'aimais bien le personnage mais son obsession de la chrétienté et son absence de recul vis à vis de ça lui font dire parfois des choses désagréables.

J'ai été baptisé mais j'ai quitté, par dégoût des hommes, la religion et pour rien au monde je n'y retournerai. Considérer la chrétienté comme l'alpha et l'oméga de la France est de mon point de vue, une erreur si on souhaite aujourd'hui sauver les meubles et prendre un nouveau départ.


30fc63  No.47017

>>47008

Juste insupportable, ultra catho, et level 0 sur la question juive

Qu'il aille au diable


484163  No.47019

- Antiraciste

- Agaçant, très autocentré pendant les débats

- J'aime pas sa gueule

- "Franco c'est très bien parcequ'il a sauvé des juifs"

Il sera bien chez LR.


e2a58a  No.47072

File: cd929e343c5a327⋯.jpg (12,81 KB, 270x274, 135:137, lepen10.JPG)

"Grand catholique émérite fille aînée de l'église Jeanne au secours !!!!!!"

PS : il a une sale trogne


1b3d31  No.47118

C un cato et il a une sal geul

Eh ben, quand vous donnez vous ne le faites pas à moitié !


88c0cb  No.47119

>>47118

Ouaip.

Jésus était juif et circoncis aussi, sale youtre mental.


57c27a  No.47121

File: c162ec73119b1a5⋯.png (99,34 KB, 613x616, 613:616, deus vult.png)

Les quelques incohérences historico-politiques d’Adrien Abauzit (10 janvier 2018, par le site Deus Vult)

Il ne fait aucun doute qu’Adrien Abauzit est un jeune homme brillant et courageux, possédant un vrai talent oratoire et une belle plume. À la lecture de son dernier livre, La France divisée contre elle-même, on ressent toute la fougue du jeune converti au catholicisme et toute la passion du fervent patriote pour la destruction des mensonges historiques qui polluent l’esprit de notre pauvre peuple depuis des décennies.

Toutefois – et c’est là, selon moi, un défaut récurrent chez lui -, il a tendance à rédiger ses livres un peu vite, sans prendre toute la mesure du raisonnement qu’il tient.

Dans Né en 1984, alors qu’il n’était pas encore converti, il avançait déjà des théories pour le moins discutables, en se faisant par exemple le défenseur de Robespierre.

Ici, en dénonçant l’Anti-France tout en tentant de réhabiliter le Maréchal Pétain, ce qui est de prime abord tout à son honneur, il s’enferre dans une contradiction tellement énorme qu’elle ne peut que sauter aux yeux du lecteur attentif : sans s’en rendre compte, Adrien Abauzit renvoie en effet paradoxalement Pétain et de Gaulle dos-à-dos dans un même mouvement de trahison de la France, et liquide par la même occasion toute la doxa de l’Action Française qui aura du mal à se relever d’un tel ouvrage. Spectaculaire !

Avant de rentrer dans le vif du sujet, passons rapidement sur les excellentes analyses du livre que nous validons sans hésitations :

sa distinction nette – bien que pas complètement aboutie à nos yeux – entre la France née du baptême de Clovis, et l’Anti-France née de la philosophie des Lumières, reprenant ainsi la thèse du grand historien Jean de Viguerie ;

son association justifiée entre l’Anti-France et l’Angleterre, rappelant notamment l’épisode de Sainte Jeanne d’Arc repoussant les Anglois (et non les Allemands !), l’influence de John Locke sur la philosophie des Lumières, ainsi que le rôle de Voltaire, du Duc d’Orléans, de Clémenceau et de de Gaulle, tous agents de la Couronne britannique, contre la France traditionnelle ;

sa relecture pertinente d’Emmanuel Beau de Loménie sur la constitution des élites bourgeoises depuis la Révolution jusqu’à Pétain, remettant à sa juste place le travail de Drumont sur les élites juives.

ses positions sur ce qu’il appelle la « Nouvelle Opinion publique », déconnectée de la propagande républicaine, qui a été engendrée depuis environ 20 ans grâce à Internet, qu’il estime aujourd’hui à 1 ou 2 millions de personnes, et dont il se réjouit sans toutefois croire en ses chances de prise du pouvoir à court ou moyen terme, du fait de son absence complète au sein des élites ;

ses réserves sur les théories complotistes trop appuyées rendant la judéo-maçonnerie coupable de tous les maux de la France, alors que sa puissance n’est en réalité que la conséquence des reniements et des apostasies successives des Français eux-mêmes au cours de leur Histoire. Il est effectivement plus difficile de se remettre soi-même en cause et de reconnaître ses erreurs que d’accuser les autres de ses échecs…

Ceci étant dit, venons-en au morceau de bravoure sur lequel il a le plus travaillé : une synthèse parfaitement honnête de 70 pages sur le rôle du Maréchal Pétain durant la guerre, qui détruit de fond en comble toute la propagande gaullo-communiste édifiée fallacieusement sur le sujet depuis 70 ans.

Car en effet, même si Pétain n’appréciait pas spécialement l’Angleterre, il détestait 100 fois plus l’Allemagne, eu égard à son passé militaire. Toute sa stratégie fut donc de collaborer de façon factice avec Hitler, tout en collaborant en réalité de façon réelle avec les anglo-américains jusqu’à favoriser leur victoire, pensant ainsi servir les intérêts de la France selon le dogme maurrassien « La France seule ».


57c27a  No.47122

>>47121

Oui, Pétain fut le collabo des Anglais et non des Allemands ! Et cela, Adrien nous le démontre avec un luxe de détails impressionnants dont voici les grandes lignes :

17/06/1940 : transfert du bénéfice de tous les contrats d’armement signés avec l’industrie américaine au profit du gouvernement anglais.

18/06/1940 : Pétain prend la décision de transférer l’unique stock d’eau lourde au monde servant à fabriquer des bombes atomiques en Angleterre, qui partira ensuite aux USA. Pétain serait donc indirectement responsable de l’atomisation d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945. Abauzit n’y trouve rien à redire.

03/07/1940 : l’Angleterre coule plusieurs navires français et cause la mort de 1 300 soldats, malgré la garantie des Français qu’ils ne seront jamais livrés à l’Allemagne. Pétain ne bronche pas. Abauzit parle de « prudence ».

09/08/1940 : Pétain cède aux Anglais plusieurs contrats d’affrètement de navires.

23/09/1940 : l’Angleterre s’attaque à l’Empire français et tente de prendre Dakar avec de Gaulle aux manettes, sans succès. Pétain a résisté à cette manœuvre car il craint par-dessus tout la fin de l’Armistice et l’invasion de l’Empire par les Allemands.

28/10/1940 : poignée de main de Montoire entre Pétain et Hitler. Hitler confirme généreusement l’Armistice en pensant que Pétain collaborera loyalement (il aurait pu exiger la Capitulation complète de l’Empire français !). Erreur stratégique fatale : jamais Pétain ne jouera le jeu. De plus, Hitler pense que le flanc occidental de l’Allemagne est sûr, et qu’il peut se lancer à corps perdu dans sa guerre contre l’URSS, sans se douter qu’il se fera poignarder dans le dos par les Français.

11/11/1940 : ratification du Gentleman agreement entre Pétain et Churchill, accord secret de collaboration entre les deux nations qui maintiendront entre elles un état de « froideur artificiel ». Le prince Xavier de Bourbon-Parme indique « qu’à partir de ce jour, le maréchal s’est considéré comme lié par son accord avec les Britanniques, et qu’il en a exécuté rigoureusement toutes les clauses. »

13/12/1940 : Laval manque de provoquer une guerre avec l’Angleterre, Pétain le limoge aussitôt et nomme Flandin à sa place, un anglophile notoire.

Novembre 1942 : Pétain, Weygand et Darlan avaient signé un accord secret ayant pour but de préserver l’Empire colonial français afin de servir plus tard de base arrière aux anglo-américains contre les forces de l’Axe. L’Opération Torch est ainsi lancée : les anglo-américains débarquent en Afrique du Nord, prémices du débarquement en Sicile (juillet 1943) puis en Provence (août 1944).

27/11/1942 : Darlan saborde la flotte française, de peur que les Allemands ne s’en emparent, comme convenu avec les Anglais et avec Pétain.

Relations entre l’Allemagne et la France : Pétain mettra le maximum de bâtons dans les roues des directives allemandes : ruses pour limiter le STO, l’arrestation des juifs et des résistants communistes, refus du soutien aux volontaires français partis combattre le bolchevisme,…

20/08/1944 : arrestation de Pétain par la Gestapo, qui l’emmène de force à Sigmaringen pour l’avoir sous la main.

Récapitulons donc brièvement la thèse d’Adrien Abauzit :

Il y a 2 pays qui se combattent à mort l’un l’autre : la France et l’Anti-France.

Derrière l’Anti-France se cache depuis toujours l’Angleterre, siège du schisme anglican, de la Franc-maçonnerie mondiale, de la Finance internationale (la City), du communisme (Marx et Engels) et de l’islam politique (Frères Musulmans).

Pétain, suivant l’idéologie de Maurras, s’oppose à la domination allemande en collaborant avec les anglo-saxons, qui n’en demandaient pas tant : après s’être servis de Pétain, il le culbuteront facilement en 1944 pour mettre à sa place leur homme de main, de Gaulle, chargé notamment de saborder l’Empire colonial français, de noyer la France au sein d’une CEE à leur botte, et d’épurer le pays de toutes les forces vives traditionnelles (concession faire à Staline sans doute à Yalta).

De façon très surprenante, la victoire des Alliés charrie avec elle le retour au pouvoir de l’Anti-France, plus vengeresse que jamais. Ça alors !


57c27a  No.47123

>>47122

Là, notre ami Adrien ne comprend plus. Il se morfond. Il se plaint de l’incroyable décadence spirituelle, morale, intellectuelle, culturelle et économique de notre pays. Il accuse de Gaulle ! … en oubliant que le principal artisan de la victoire des Alliés fut Pétain, comme il vient brillamment de le démontrer !

Faut-il en rire ou en pleurer ?

Comme disait Mgr Bossuet « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. » Et comme disait Notre Seigneur, « On reconnaît un arbre à ses fruits ! » (Mt 7,16)

Pour nous, qui sommes réalistes et cohérents avec nous-mêmes, il n’y avait que deux camps durant la Guerre : l’Axe (Berlin-Rome-Tokyo) et les Alliés (Londres-Washington-Moscou). Pas trois !

Il fallait choisir entre un camp nationaliste attaché aux valeurs spirituelles qui luttait courageusement contre la décadence, les puissances d’argent et les sociétés secrètes, et un camp cosmopolite sans foi ni loi ! La « troisième voie » proposée par Maurras, à savoir le dogme de la « France seule », était une imposture caractérisée qui nous a jeté au final dans les bras de la ténébreuse alliance capitaliste-communiste, pour notre plus grand malheur jusqu’à aujourd’hui !

Quand finira-t-on par comprendre que la percée de Sedan en mai 1940 fut une libération qui parvint à abattre la République, tandis que le débarquement du 6 juin 1944 sur les plages de Normandie fut une invasion ayant pour but de nous soumettre au capitalisme anglo-américain et au matérialisme soviétique ?

Quand comprendra-t-on que l’Europe véritable est morte dans les ruines de Stalingrad en 1943, tandis que l’Union Européenne qui a pris sa place n’est qu’une chimère aux ordres de l’Amérique ?

Osons dire que les Français les plus clairvoyants de l’époque se nommaient Robert Brasillach, Maurice Bardèche et Joseph Darnand (trois catholiques), mais aussi Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, Paul Ferdonnet, Marcel Déat, Jacques Doriot, et beaucoup d’autres. Ces soi-disant « collaborateurs » n’étaient en aucun cas des traîtres, mais bien des amoureux de leur pays qui avaient compris que la seule chance de survie de la France à long terme consistait à prendre place dans le Nouvel Ordre Européen impulsé par le Troisième Reich, quitte à mettre entre parenthèses une indépendance nationale qui n’est en aucun cas un dogme de foi ni une garantie de vertu.

Rappelons que Notre Seigneur, qui s’est incarné au sein d’un peuple colonisé par l’Empire Romain, n’a jamais remis en cause le principe de colonisation temporelle, louant au contraire l’ordre et l’obéissance des armées romaines païennes et ne succombant jamais aux injonctions des zélotes indépendantistes comme Barrabas et consort.

La Monarchie Française des Valois et des Bourbons, puis Napoléon et Maurras jusqu’à Pétain, furent en quelque sorte les zélotes de l’indépendance française à tout prix et de sa domination sur l’Europe. Or pour fonder un Empire et dominer d’autres nations, encore faut-il le mériter. La France d’Ancien Régime n’a cessé de contracter des alliances illicites et impies avec les hérétiques protestants et les Turcs mahométans contre le Saint Empire Romain Germanique catholique, ce qui est un péché extrêmement grave ! Seules des alliances avec des païens contre d’autres païens sont licites (ex : l’alliance ponctuelle des Francs avec les Mongols contre les Musulmans pendant les Croisades), pas contre d’autres catholiques !

La France a également développé en interne des hérésies gravissimes comme le jansénisme, le gallicanisme et le philosophisme, préludes à la Révolution de 1789 qui renversa l’ordre mondial. Avait-elle les faveurs du bon Dieu ? Méritait-elle de dominer l’Europe ? Nous sommes loin d’en être convaincus. Et l’Anti-France au pouvoir, de Napoléon à aujourd’hui, le mérite évidemment encore moins.


57c27a  No.47125

>>47123

Sur cette base, et à mesure que s’étend la décadence et la ruine sur notre pauvre continent, les derniers Français honnêtes ne pourront pas éviter à l’avenir le procès de l’Action Française et du pétainisme, fourrier paradoxal et involontaire, peut-être, mais objectif, du salut de la République, et détenteurs d’une vision étriquée et rance de l’Histoire de France, se refusant de comprendre que le plus grand danger du XXè siècle fut le bolchevisme athée « intrinsèquement pervers ».

Que l’on songe par exemple à la fameuse « l’Union sacrée » prônée par l’AF – maladivement germanophobe – dès 1914, au prix de la mort inutile d’1,4 millions de soldats français, là où les Chouans avaient refusé la conscription républicaine les armes à la main et où le Saint Curé d’Ars avait préféré déserter plutôt que servir Napoléon dans sa guerre contre l’Espagne catholique.

Que l’on songe également que la doctrine de l’AF (divinisation de la Nation et du Roi) a été condamnée par Rome non seulement en 1926, mais encore en 1937 dans l’Encyclique « Mit brennender Sorge », contrairement au national-socialisme dont le Saint-Père dénonçait seulement, à juste titre, les excès de sa frange néo-païenne : « Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable,- quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique, celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu. »

Il faudra aller encore plus loin, et faire le procès du Ralliement à la République prôné par le Pape Léon XIII en 1892, cause première de notre chute, et dont l’AF n’est qu’une triste conséquence.

À la lecture de ce petit argumentaire, nous ne doutons pas que Monsieur Abauzit, qui est quelqu’un d’intelligent et qui, en bon catholique, est attaché à la vérité et à la justice, tiendra compte de ces remarques et qu’il amendera ses positions dans le bon sens pour son 3ème ouvrage.

En attendant, il peut commencer par méditer ce passage uchronique de Jean-Jacques Stormay (Nous et Civitas – Sans Concession n° 61 à 64 : http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/09/20/Sans-Concession-61-62-63-64) sur ce qu’aurait signifié la victoire du IIIè Reich pour l’Europe et pour le monde :


57c27a  No.47128

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>>47125

>« Si Hitler avait gagné la guerre, tout aurait été possible pour les catholiques du monde entier. Vatican II, suscité par les personnalistes, les modernistes, les judéo-démocrates, n’aurait jamais vu le jour et, s’il l’avait vu, c’eut été celui de l’achèvement nécessaire et parfaitement catholique de Vatican I, en même temps que celui du redressement des erreurs philosophiques (mais non encore théologiques) des papes ayant régné entre Léon XIII et Pie XII inclus.

>Les colonies européennes, françaises, anglaises ou portugaises, eussent pu être acheminées lentement vers une autonomie respectueuse de leurs identités respectives, mais capables de conserver le meilleur de l’universalisme occidental voué à être assumé par leurs génies propres.

>L’URSS eut été écrasée, les réseaux crypto-marxistes en Europe (qui sévissent plus que jamais en France en particulier) eussent été définitivement dissous. L’Europe unie se fut faite sous la direction d’un Saint-Empire reconstitué progressivement : il n’est pas de dictature qui tienne longtemps sans se stabiliser en monarchie. Et les nations européennes fussent redevenues monarchiques.

>Si Hitler avait gagné la guerre, l’Amérique se fut repliée sur elle-même pour en venir à dépérir et à recouvrer le statut ― qu’elle n’aurait jamais dû quitter (encore une faute politique de la France de Louis XVI…) ― de colonie du monde européen.

>Si Hitler avait gagné la guerre, il lui aurait fallu affronter une nouvelle bataille non moins redoutable : gagner la paix ; aucun pouvoir ne peut rien contre des peuples qui ne lui accordent pas leur aval au moins tacite. Les excès racialistes de certains des appuis (au reste minoritaires…) du régime national- socialiste eussent dû être mis en veilleuse ; l’assomption allemande de tout l’héritage européen eut exigé que les vainqueurs, à peine de voir l’Europe entière s’en retourner à ses déjections démocratiques et marxistes, se fissent un allié du dépositaire papal de l’autorité spirituelle universelle. Et puis les crispations paganistes et anticléricales, suscitées en grande partie par le sentiment de la décadence, se fussent apaisées avec la certitude d’une identité européenne hégémonique recouvrée. La France eut recouvré sa vraie vocation : se faire le principe d’une synthèse entre toutes les formes du génie européen, se faire ainsi la conscience de soi de la culture européenne. La France est à l’Allemagne comme la Grèce le fut à Rome : vocation à l’hégémonie culturelle non ablative des cultures qu’elle féconde, et en retour synthèse des cultures par lesquelles elle se fait conditionner en sa vocation universaliste ; rôle spéculatif plus que directement pratique ; jamais la Grèce ne sut faire son unité par elle-même, jamais la France ne sut entreprendre de fédérer le monde occidental sans dénaturer ce dernier.

>L’Église aurait su (elle en a vu d’autres) faire s’approprier le national-socialisme aux exigences du catholicisme, en moins de cinquante ans. »


1b3d31  No.47129

>>47119

Qu'en sais-tu que je suis chrétien ?


d9e71c  No.47143

>>47118

Faut bien admettre qu'il a une gueule de phoque similaire à Philifiotte, Navalny Kurtz, Bellamy et autre cucks de la même division

Des macrons de droite en somme…

Le genre de gus qui m'inspire tout sauf confiance


e2a58a  No.47165

File: fbf08eeeebb1ee3⋯.jpg (21,08 KB, 290x218, 145:109, 290px-Halichoerus_grypus_H….jpg)




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