Petite histoire de l'AFP pré-WWII.
L’AGENCE HAVAS
Drainer l’épargne au profit de la puissance Juive, c’est ce qui apparaît trop clairement à travers maints scandales financiers. Après Panama, que nous avons évoqué, combien nous retrouverons sur notre route de ces noms trop tristement fameux pour nos mémoires.
Mais drainer les cerveaux, accaparer les esprits, former les opinions, n’est-ce point l’arme la meilleure, le moyen le plus sûr pour permettre aux fils d’Israël de tisser leur toile, comme une gigantesque araignée. De là tout peut découler : le lancement d’une affaire qui enrichit des juifs et appauvrit le peuple, le succès d’une politique nécessaire aux hébreux, même la déclaration d’une guerre, comme nous en avons fait l’expérience affreuse.
C’est ainsi que la création d’agences de presse qui imposent les nouvelles qu’elles veulent, sous la forme qu’elles désirent, qui déforment des faits, en inventent d’autres, cette création, au profit du juif, est peut-être le scandale le plus gros de conséquences qu’il nous soit permis d’étudier.
Certain jour qu’il avait bien déjeuné, Arthur Meyer, le juif converti (ce sont souvent les plus dangereux), directeur du « Gaulois », fumant un gros cigare et dégustant une vieille fine « maison », devisait avec le comte de Paris d’une éventuelle restauration. « Monseigneur, dit-il, ce n’est pas un journal qu’il faut, même pas le « Gaulois », qui est insuffisant. Il importe d’avoir à sa dévotion une ou plusieurs agences. L’agence est anonyme et d’une portée illimitée. »
Arthur Meyer ne s’y trompait pas. Et s’il songeait aux agences de presse, c’était moins au profit d’une restauration royaliste que pour assurer, avant tout, la domination juive.
Et puisque nous parlons d’agence de presse, un nom vient aussitôt aux lèvres : Havas.
Charles-Louis Havas, juif (en doutez-vous ?), avait acheté, en 1835, au juif allemand Bœrnstein, sa Litographierte Korespondenz ; et, avec comme collaborateur le juif Bernard Wolf qui, en 1849, créa l’agence Wolfische Telegraphen Buro et le juif Josaphat Beer, qui installa à Londres l’agence Reuter, Havas fonda le Bureau Havas, qui devint plus tard l’ « Agence Havas ».
Balzac, dans le second numéro de « La Revue parisienne », parle ainsi d’Havas et de son agence :
« Le public peut croire qu’il y a plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitive, qu’un seul journal.
« Il existe à Paris, rue Jean-Jacques Rousseau, un bureau dirigé par M. Havas, ex-banquier (naturellement !), ex-copropriétaire de la « Gazette de France », ex-co-associé d’une entreprise pour l’exploitation des licences accordées par Napoléon à l’époque du blocus continental… (Serait-ce un précurseur du marché noir ?…)
« M. Havas a une agence que personne n’a intérêt à divulguer, ni les ministères, ni les journaux d’opposition. Voilà pourquoi M. Havas a des correspondances dans le monde entier, il reçoit tous les journaux de tous les pays du globe lui le premier. Aussi est-il logé rue Jean-Jacques Rousseau, en face l’Hôtel des Postes, pour ne pas perdre une minute. » (Depuis, l’ « Agence Havas » a été transférée place de la Bourse et possède un bel immeuble rue de Richelieu…)
« Tous les journaux de Paris subventionnent M. Havas pour recevoir de lui, à l’heure fixe, les nouvelles de l’étranger, ou de France. »
Inutile d’ajouter que ces nouvelles sont celles que l’on veut bien laisser passer. L’on juge ainsi de l’influence que peut avoir sur l’opinion une pareille entreprise ; et avec quelle maîtrise les juifs, qui ont la haute main sur l’Agence, surent jouer de son influence sur le peuple.
Cette agence étant en la possession d’un consortium de financiers ou d’hommes d’affaires, il devient possible à ce consortium de dicter à un peuple sa politique sociale et de la conduire, au gré des intérêts d’un gouvernement occulte, sur la pente de la guerre, aussi aisément que sur celle de la paix.
Rappelez-vous les heures tragiques qui ont précédé Munich, et 1939… L’ « Agence Havas », obéissant à la haute finance juive, modelait la pensée populaire… et la guerre fut déclarée !
Haute finance juive ? Oui, puisque c’était Havas, Wolff, Beer, qui avaient créé l’agence : Erlanger, Hirsch, Meyer, qui en avaient accru sa puissance, et Horace Finaly, Jacques Stern et Rosenbleth, tous trois banquiers juifs, n’en étaient-ils pas, ces dernières années, les principaux actionnaires ?
Horace Finaly et Jacques Stern possédaient chacun 20.000 actions et Rosenbleth 1.522 actions de l’ « Agence Havas ».
Le capital de l’agence était, en 1879, de 8 millions 1/2. Il passe, vers 1900, à 15 millions ; en 1920, à 18 millions 1/2 ; en 1921, à 27 millions 750.000 francs ; en 1922 à 37 millions ; en 1924, à 50 millions ; en 1927, à 87 millions ; en 1930, à 105 millions. C’est la valse des millions !