>>14624
>j-je vais éviter de citer le commandement qui nous dit d'honorer nos parents parce que sinon ça va un peu ruiner mes arguments
>puis je vais choisir seulement des choses qui ont l'air antinationalistes hinhinhin
>m-mais préférer notre Créateur aux créatures c'est mal !!!
Ok. Mais,
« Quiconque maudira son père ou sa mère sera puni de mort »
Lévitique 20, 9.
>il faut aimer son prochain ? donc tu dois aimer les nègres de l'autre bout de la terre plus que tes frères de sang !!! grrr
« Selon la nature et les affinités que nous avons avec nos parents, nous sommes tenus de les honorer. C'est le commandement de Dieu, comme le montre le livre de l'Exode (20, 12). Mais nous devons les haïr selon qu'ils sont pour nous un obstacle dans notre montée vers la perfection de la justice divine. »
Saint Thomas d'Aquin
« Les Pharisiens ayant appris que Jésus avait réduit au silence les Sadducéens, s’assemblèrent. Et l’un d’eux, docteur de la loi, lui demanda pour le tenter :
"Maître, quel est le plus grand commandement de la Loi ?"
Jésus lui dit :
"Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C’est là le plus grand et le premier commandement. Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. A ces deux commandements se rattachent toute la Loi, et les Prophètes. »
Mt 22, 34-40
« puisque Dieu et celui qui aime sont les principes de l'amour, il est nécessaire qu'il v ait un plus grand sentiment de dilection, selon que celui qui en est l'objet est plus rapproché de l'un de ces deux principes. Partout en effet où il y a un principe, l'ordre se mesure par rapport à ce principe, nous l'avons dit. »
St T. d'A.
« après Dieu, l'homme est surtout redevable à ses père et mère et à sa patrie. En conséquence, de même qu'il appartient à la religion de rendre un culte à Dieu, de même, à un degré inférieur, il appartient à la piété de rendre un culte aux parents et à la patrie. D'ailleurs, le culte des parents s'étend à tous ceux de la même ascendance, comme le montre Aristote. Or, dans le culte de la patrie est compris le culte de tous les concitoyens et de tous les amis de la patrie. C'est pourquoi la piété s'étend à ceux-là par priorité. »
St T. d'A.
>religion de bolchéviks insoumis !!!
« Soyez donc soumis à toute institution humaine à cause du Seigneur, soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme délégués par lui pour faire justice des malfaiteurs et approuver les gens de bien. Car c’est la volonté de Dieu que, par votre bonne conduite, vous fermiez la bouche aux insensés qui vous méconnaissent. Comportez-vous comme des hommes libres, non pas comme des hommes qui se font de la liberté un manteau pour couvrir leur malice, mais comme des serviteurs de Dieu. Rendez honneur à tous ; aimez tous les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi. »
1 Pierre 2, 13-17
« Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures ; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par lui. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité, résiste à l’ordre que Dieu a établi et ceux qui résistent, attireront sur eux-mêmes une condamnation. Car les magistrats ne sont point à redouter pour les bonnes actions, mais pour les mauvaises. Veux-tu ne pas craindre l’autorité ? Fais le bien, et tu auras son approbation ; car le prince est pour toi ministre de Dieu pour le bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant ministre de Dieu pour tirer vengeance de celui qui fait le mal, et le punir. Il est nécessaire d’être soumis, non seulement par crainte du châtiment, mais aussi par motif de conscience. C’est aussi pour cette raison que vous payez les impôts ; car les magistrats sont des ministres de Dieu, entièrement appliqués à cette fonction. Rendez [donc] à tous ce qui leur est dû : à qui l’impôt, l’impôt ; à qui le tribut, le tribut ; à qui la crainte, la crainte ; à qui l’honneur, l’honneur. Ne soyez en dette avec personne, si ce n’est de l’amour mutuel ; car celui qui aime son prochain a accompli la loi. »
Romains 13, 1-8