>>107449
Ça n'est pas avec les sciences sociales que tu feras bouger quoi que ce soit.
Il faut faire les liens entre la race, les capacités et besoins de l'organisme en fonction de la race, la culture qui lui correspond, dont l'alimentation, et enfin, la santé.
Là, tu verras que si tu leur expliques que le Celte DOIT bouffer certains trucs et pas d'autres s'il veut garder une bonne santé, et que c'est différent chez les gnoules ou les négros, ou encore les niakwés, sans quoi, c'est la santé qui est en jeu, alors il y aura bcp plus d'écoute, et de facteurs de réussite.
Les blonds de l'ouest possèdent des caractéristiques qui les contraignent à un certain régime alimentaire, s'ils veulent :
1) garder leurs tifs
2) ne pas chopper le cancer
3) rester en bonne santé le plus longtemps possible d'une manière générale.
Suffit de regarder quel était notre régime alimentaire AVANT, et notamment, de comprendre les raisons que nous avions de bouffer des trucs improbables, dont des navets, ou des racines au gout piquant comme le raifort, ou des légumes anciens comme les rutabagas, le panet, etc …
Suffit de voir comment tournent ces populations avec la bouffe actuelle, une bouffe complètement déconnectée de leur race. Ce sont des gros déchets maladifs. Maintenant, dans les pays du nord, ils ont plein de problèmes osseux . . .
Personne ne pourra te contrer si tu avances dans cette direction, car cela voudra dire qu'il veut ta mort, indirectement, en te laissant ignorant de tes besoins vitaux spécifiques à ta race.
Et si l'interlocuteur qui te porte la contradiction a une face de cul avec des binocles, il est tricard d'office. Donc, ça exclue quasiment toutes les vieilles pédales de la droite à bicots fan de négros, et toute la gauche à clandos. Bref, ça exclue tout le spectre des vieux connards qui nous pourrissent l'existence, ainsi que la leur et celles de leurs gosses, par la même occasion.
Ce sont des singes. C'est pourquoi ils ont reçu délégation d'autorité pour exercer leur fonction de pourrisseurs de vie. Il faut les dégager. Ils ont fait trop de dégâts d'est en ouest, du nord au sud.
Les gnoules, par exemple, sont très souvent porteurs d'E.Coli sans manifester de symptômes apparents ( Leur bled en est gavé.) Mais les bestioles font quand même leurs dégâts, et les côtoyer signifie aussi côtoyer ces bactéries.
Ce sont les sciences dures qui assurent la victoire, pas les sciences molles. La première est source de faits, la seconde d'opinions. Une opinion peut se discuter, un fait ne se discute pas. C'est ainsi, et pas autrement.
On ferait des économie d'énergie si le territoire ne contenait que les Celtes d'origines, car ils possèdent un système de chauffage interne lié aux bactéries qu'ils hébergent, et dont les déchets génèrent des réactions exothermiques au sein de l'organisme. C'est la raison pour laquelle un véritable Celte peut rester en caldé et marcel d'hiver en été, à Montpellier, alors que les autres sont en anorak à compter de sept-oct.
Pour les mêmes raison, les besoins en alimentation sont réduits, car une partie du boulot de digestion est fait par des bactéries qui font du gras, et le gras est un carburant pour les cellules qui génèrent moins de déchets et d'oxydants, plus d'ATP à quantité égale. Ce gras est a chaîne moyenne et est donc directement assimilable par les cellules.
C'est par la science dure qu'il faut avancer, le sociale, c'est de la merde en barre. Le social comme pseudo-science ne fait que desservir tout le monde. C'est que de l’esbroufe de frangins planqués et de youds tarés qui se donnent des grands airs à la con, en pesant ainsi dominer le monde. Ça mérite des tartes les socialos, rien d'autre. Et leurs souteneurs, c'est pareil.